‘un personnel de langue française.
: érends Pères Rédemptoristes.
. faiet d'
| Le œul journal français | Saskatchewan | ! | “1 l française du Noïd-Ou
pommes
SSSR Ar _ £
LEE . :
n @ Œ
à Li
. 4
| ï
,
Organe des Catholiques de langue ||
Le “Patriote” est. lu chaque seima par plus de 30,000 personnés
TT. © de la
ee
est | Î
ine
=
y. LANGLOIS, ©
j5ème Année
eee
ee pe La Liaison Française . & 1 42 A eg A6 ‘ dans lOuest
Cent dix excursionnistes, dont; Bénédiction du SS. Sacrement :
a moitié sont des membres participent à ce second la “Liaison française” organisé par À. l'abbé TJ, À. Ouel- Jette, directeur des missionnaires- colonisateurs du Dominion avec la collaboration du service de colo- nisation du Chemin de fer natio- nai dut Canada, On compte parnmit eux des représentants de nos gran- des institutions, lPhon. A. Sauvé, chef de l’'Opposition, M. Ouelleite, député de Dorchester et représen- tnt du gouvernement provincial, XL l'abbé Crrille Gagnon, directeur du grond-séntinaire de Québec; M. Léo Brown, du ministère de Pagri- euture provincial, M. Jean Lan- drieu, représentant du ‘Figaro de Paris, plusieurs autres person- nes et un groupe de journalistes. | Attention qui est fort goûtée des æxcursionnistes, le Chemin de fer national du Canada a fotrui pour le train spécial de la “Liaison”
olus de Is du clergé, voyage de
Un char-chapelle
Les membres du clergé appré- cient beaucoup aussi le wagon- chapelle mis à leur disposition part le réseau national. Ce wagon spé- ciat représente une heureuse ins novation car c’est la première fois qu'une chapelle ambulante circule ainsi sur uu réseau canadien, Dou- ze prétres peuvent y dire la messe à In fois,
Ce privilège de dire la messe sur un train a été accordé en vertu d'en indull spécial sollicité par SE le cardinal Bégin,
Ainsi il se dit en moyenne 30 messes par jour à bord du train, ce qui fera à peu prés 600 messes au cours du vovagg.-*Nons pou- vons ajouter que, gl'âce à’ ce char- chapelle, la Linison française, cet: te année, est une paroisse cana- dienne-fryncaise mobile. et qui s'est ébrantée pour visiféi” ses.saeurs de tous les points du vafle“tetritoire canadien, x
Le 0
drrivée dans l'Ouest
Aujourd'hui, 15 juillet, Ja “Liai- son Francaise” est à $e reposer à Vancouver après avoir traversé le Canada de l'Est à l'Ouest dans une course d'an-delt de 3000 milles.”
Le train spécial du Canadien, Na- tional vst arrivé dans l’ouest le 7 juillet avre ses 110 voyagours.- tous frais et dispos après avoir passé la veillée prérédente à -Minaki, Ont. où is visitérent les plus beaux en- droits de la région et prirent le |
diner an chalet du chemin de fer
tational, À Ste-Anne-des-Chênes
À Sle-Anne-des-Chênes aprés la messe célébrée par les prêtres ex- twsionnistes, il v eut célébration de la fête nationale, avec grarid’- messe solennelle à 9 h, : Puis les Yoïageurs ont fait une excursion en autos à travers fa campagne manito-! bine #1 sont revenus pour le di- ner offert par les Dames de la Daroisse snus le patronage des ré-
#5 Yoyageurs sont repartis dans l'après-midi, vers 4 heures, à des- tination de Winnipeg. ie \ . À Winnipeg à Winnipez, le 8 juillet au soir, Ë$ asistéront à «xn splendide ban- et an grand hôtel Fort Garry. Le lendemain matin Ja cathédra- 8 «le #, Bonifare leur ouvrait ses Pres, les conviant à une messe aniretinire chanté pour le renos l'âme de Mgr Langevin, O.M.I,
À Hoc y
vi 9, À Hoev. ils furent reçus à tion qurerts par toute la popula- Courn fs centres environnants ,aC- da lat, leur rencontre en dépit Vent ï des chemins qu'avait joli- lidhe JOMPTOmIS la pluie torren- LAS ionrs précédents, _
“enthousiaste réception de Hoev JS distingués visiteurs. fera Île in Compte-rendu détaillé à brachain numéro. Conten- que ps de dire pour anjourd’hui tant di PA Landrieu, représernt- cé qn tante de Paris, a pronon- ke ts éloquent discours’ et que
a
üotre tons.n
deur eux Fi été to que du vieux Québec a été Plétement e lar-
onquis par la AE des fils de notre race ts le joli centre de Ioey.
£e hospitalita étais qu
Le ÂF nince- Albert na main spécial de la “Liaison” iteux RTE de Hoey avec ses
Y OVageurs, le 9 "juillet à 9 ni S0r, Nos amis de Hoey a- n fait Les choses, que fus de Québec s'aitardé- File.” &ux le plus longieips *« à See Cependant n'avait pas fours ge MOS cinquante chauf- int que Mobiles, tant protes- Port Catholiques, qui s'étaient en ire Dour recevoir ct N RTS les principales ee proalle les excursionnise ces do l'Est.
, Grie—
JHiques et Français toujours”, üont
royale de Hoey avait profondément
NL Rédacteur.
Quand la dernière voiture les eut tous déposés au pied.des mar- ches qui montent à la cathédrale, le signal fut donné d'y pénétrer pour adresser en commun une prié. re de -reconnaissance au Dieu qui aime les Francs, Par les portes ou- vertes à deux baïtants, on aperce- vait l'autel brillamment ‘illuminé. M. l’abbé Ouellctte, directeur des missionnaires-colonisateurs y don- na la bénédiction du SS, Sacre. ment, assisté de M. l’abbé H, Fré- chette, curé de Ste Claire, comme diacre et de M. l'abbé FE, Côté, de Québec, comme sous-diacre, A l'or. gue, le choeur de la cathédrale exé- cuta un joli programme musical : Mine Copeland chanta PO Salutaris de V, Cirillo, Mme Morrier l'Ave Maria de Dana: M. Jules Casgrain fut le soliste duTantnm Ergo de Rosewiæ et M. À. Lachapelle celui du cantiqte traditionnel: “Catho-
le refrain fut repris par toute l’as- sistance.
Les discours
Les derniéres notes à ‘peine «- chevées, la foule se réunissait sur Ja pelouse de lévèché décoré’ .a- vec goût, et où des ampoules élec- triques dissimulées dans des lan- ternes chinoises jetaient une dou- ce clarté. La véranda servait de tribune et plusieurs orateurs montérent. “
Le premier à parler fut Mgr Bro- deur, souhaitant la bienvenue: aux membres de la “Liaison”, au nom du diocèse et de toute la popula- tion française du nord de la Sas- katchewan, Nous reproduisons plus bas le texte intégral de ce vi- bfant discours. _ :. Lo
M. l'abbé Ouecllette, directeur du voyagé. dit combien Îles vovageurs appréciaient la chaude réception qui leur-était faite par le person- nel de l’évèché et la population française de la ville, Mais il.se dé- fendit de vouloir faire un discours. “Je ne me suis levé, ajouta-t-il, que pour vous présenter M. E, Proulx, député du comté de Prescott, Ont.
M. le député Proulx
M. Proulx. après les compliments d'usage, parla de la belle résistan- ce des groupes de l'Ouest à J’as- similation, et loua nos ‘organisa- tions nationales si semblables à celles qui font la force de l’Ontario français et lui donneront la victoi- re, Avec de ja persévérance et du dévouement. les Franco-Canadiens n’ont pas de raison de craindre pour avenir: ils surnageront et vivront, Pour atteindre ce but il faut continuer à améliorer les sys- tèmes scolaires, même en marge de la loi, ‘ |
M. le député ajouta qu’au cours du vovage il avait remarqué la grande beauté des récoltes, marque ccrtaine de la richesse de notre sol, et la Jarge'hospitalité de nos popu- lations, preuve non équivoque du sang bien français qui coulait tou- jours en nos veines. La réception
touché le coeur des excursionnis- tes, 7,
Soirée sur la pelouse
Ici on fit trève aux discours : Canadiens de l'Est et Canadiens de l'Ouest se formérent en petits groupes, sur les rangées de chai- ses disposées en hémicycle, pour, faire an bout de causette. Cepen- dant qu’un groupe de nos visiteurs, sous Ja direction de M. Pabbé C Gagnon de Québec, lançait dans la nuit aux échos de notre bonne vil- le les vieux refrains de Chez Nous.
Les douceurs de la conversation entre amis se mélèrent aux rafrai- chissements délicieux d'un copieux goûter servi par de gentilles de- moiselles, et minuit sonnant trouva la pelouse encore peuplée de jo- veux -essaims: d'amis,
Cablogramme de Mgr Prud’homme
Au cours dela veillée, Mar Bro- deur communiqua aux membres de la Liaison la teneur d'un cablo- gramme, recu de S. G. Mgr Pru- d'honime, actuellement en France, dans lequel il leur souhaitait à tous la plus cordiale bienvenue dans sa ville épiscopale, .
. Visite du Patriote-et départ
Les uns après les autres les vova- geurs regagnérent leurs. conforta- bles chars-dortoirs, mais non sans qu'un groupe de journalistes, par- mi lesquels se trouvaient. M. Er- nést Bilodeau, sous-bibliothécaire fédéral à Ottawa, M. Chs Gautier du Droit, M. Jean Landriéu repré- sentant le “Figaro” de Paris, AL abbé Tessier Qu Pien Public de Prois-Diivières, n’allñt. payer ‘une courte vsile aux ateliers de notre, modeste couvre de presse, le Pa-} triole de l'Ouesl. .
{Suite à ln page 2)
NE SR
PRINCE-ALBERT, SASK.,
2%
Nos Amis de Québec
Pendant que nos amis de Québec, d'Ontario et de la Nouvelle- Angleterre, arpentent les rivages de l'Océan Pacifique, adinirent la luxuriante végétation de la Colombie, et se remplissent les yeux des epectacles grandioses des Rocheuses, si nous parlions un peu de ve groupe de visiteurs si intéressant et si sympathique.
* Jlls viennent de parcourir le nord de ln Saskatchewan, c’est le temps de dire les impressions qu’ils y ont laissées; on les attend dans le sud, c'est l'heure de se demander quels visiteurs demain nous nmè- ne. ’
Parler des abseuts n’est guère reçu en bonne compagnie, quoique d'aucuns disent que d'est là le passe-temps favori des dévotes: mais parler d'eux pour prolonger la douceur de leur conversation, pour jouir encore avec eux en leur communiquant comme une seconde pré- sence, celle du souvenir, à coup sûr il n'y a riën là.que d’honnôte et même de louable.
LES MEMBRES DU CLERGE.
Le groupe représentatif le plus nômbreux parmi nos visiteurs est celni des membres du elergé: pélats, curés, vicaires, professeurs de vol. lèges ont voulu voir de leurs yeux cet Ouest inconnu et invetéricuxs, que se disputent toutes les racea du'monde. 11 y ont tous, ici ou IA, des parents, des amis, des paroissiens où d'anciens ‘élèves, [ls sont heureux ‘de les revoir, de s'enquérir de leur santé ’et de leurs affaires, de leur trañsmettre les bonjours et les amitiés dont:les ont charges des Mamans inquiètes, des-{rères affectueux, des amis fidèles. C'est le père qui retrouve ses enfants et cherche avidement à‘ lire sur leurs l'i- gures les traits de la famille, Je caractéristiques dela race; c’est le prêtre qui de son regard accoutumg serute an fond des yeux le secret des ânes. Lo -
Pour ce groupe, la grande question est de savoïr'si ln lumière de la foi ne court pas risque de s'éteindre en, ceux qu'ils aimont, au sein de nos immensités où Je souffle de l'indifférence, du bien-être et du matérialisme, seruble courber {outes les vies sous sa loi. Ÿ at-il chan ce pour des catholiques et des Français de survivre en conservant in- act le double caractère dont la race et l'Eglise les .ont marqués à Ja naisance.
Ja réponse à cette question, ils la reçoivent par In voix de nos clo- chers qui chantent, éperdus, à leur arrivée, le Credo-de notre foi au‘ Dieu de S. Loüis, de Jeanne d'Arc, de Champlain et de Dollard, et le Credo de notre survivance en des paroisses françaises que gardent les senti- nelles vipilantes de nos presbytères et de nos écoles, qt''informe toutes la même âme agissante de nos Associations, et que relié entre elles dans la même pensée, dans le même vouloir et dans In même detion énergi- Bique, l'oeuvre de presée où s'ékprime l'âme collective et: par laquelle se transmettent les ordres des chefs.
a paroisse, cellule-mère de la nationalité canadienne-franenise, nous sauvera el du reniement de notre Dieu et du roniement de nos origines. 1/Eglise où Jésus-Christ réside au milieu de nous nous ex dera catholiques; l’école où persiste âme des aïeux nots conservera Français, Seiwneur, donnez-nous des prêtres selon votre Coeur, c’est- ä-dire aimant les âmes plus que tout et leur patrie plus qu'eux-mêmes ; ‘donnez-nous des instituteurs selon le Coeur de votre Mère, c’est-à-dire n'ayant de repos qu'ils n'aient élevé nos enfants à la hauteur dé leurs devoirs filiaux envers leur Père selon la grâce et leurs pères selon le sang ! à .
LES JOURNALISTES. . Le second groupe est celui des journalistes: c’est le cervean pen- sant de Québec et d’Ontario en quête de renseignements, de stalisti- ques, de connaissances puisées sur les lieux et corroborées par l’expé- rience personnelle. T’Action catholique, le.Devoir,le Droit, la Patrie, la Presse, là Tribune de Sherbrooke, le Bien Punblie et le Nou- velliste y sont représentés ainsi que la grande et belle revue du Cana- da Français. T1 suffit de nommer MA, Jules Dorion, Ernest Bilo- deau et Che. Gautier, dont la répntation comme jourualistes et hom- mes de lettres dépasse les limites de notre pays, our comprendre à quel point la pensée du vieux Québec et de l'Ontario français est sou- tous, d'exprifner toute la vérité à notre sujet ét sur les éhoses de uest. .
SE MIEUX CONNAITRE, :
Les partis politiques eux-mêmes du Bas-Canada s'intéressent à nous, et veulent selon l’expression du chef de l’opposition québecoise, “se mieux renseigner”, pour mieux servir sans doute la cause catholi- que et. française à laquelle notre sort est intimement li£..
En. plus de tous ces hommes publics, la “Liaison Française” comprend une foule de simples particuliers, dont l'action sur l'opinion de nos compatriotes de l'Est, pour être moins étendue ct moins Appa- rente,.n’en séra pa# moins profonde sur la masse du peuple par le ré- eit des choses qu'ils ont vues à leurs cercles respectifs de eonnaissan- ces et d'amis, | 7 La “Tiaison Française” et par les personnalités qu'elle nous amè- ne ét par la somme d'idées qu’elle va mettre en branle, est done beau- coup plus qu'un voyage ordinaire, c’est la compénétralion mntuelle de TEst-et de l'Ouest français, pour permettre aux membres de la mé- ne famille de mieux se connaître pouf nrieux s'aimer, et ensemble mieux servir la religion catholique et la race française. -
Ü. Langlois, O. M. I.
‘L'incident de Bateche
La “Liaison Française” refuse d’acoiter au dévoilement du monument, de Batoche — Magnifique diccours de Mer Brodeur: précisions historiques, fières revendications.
1 - T
Le village de Patoche a été le té-] moin, vendredi dernier, de la cé-{nal!: “O Canada”, et M. H. KE, Ross, lébration du 4bème anniversaire de | ancien prisonnier, de la “rébellion”, la guerre civile qui ravagea ce coin}; établit une comparaison entre la de‘terre en mai 1885, Des centaines ‘de personnes as- sistérent au dévoilement du monu- ment destiné à rappeler cet évé- nement, et érigé sur le terrain de l'église catholique, . .-Des orateurs distingués pronon- cèrent d'importants discours. La fanfare de Prince-Albert rem- plit le programme musical. - La fête avait été organisée par la Sociéié historique de Prince-Albert, et elle weut être fière du succès remporté, L -, Après une parade, la foule rén- nie auprès du monument écouta.a- vec aitention les orateurs,
+
celle de Batoche, Le lieutenant-gouverneur New-
3. E, Laleree, agent général du servi … Mage. ; ". L { National du Canada. M. l'abbé A: Bcneit, Ahunîsie, Qué, M, Fabhé À. Lepare, Montréal, M. l'abbé D, C. L'Heureux, | M, Médule} Lasarre,
A. Eéhert, Thetford Mines,
»
La fanfare joua l'hymne natio-|"
aude Melancon, publicirte français, ‘représer
Montréal, | CU | | D ! . - - Lou ne tt . Mme J. E. Morrier, Prince-Albert, Sask., représen
SRSÉEEERERERERE ES ‘ *
Ÿ La devise de la “Liaison” *
La Ÿ | * “VOIR: SON PAYS FOUR * M L'AIMER ET LE SERVIR” *% & Bo mnrene #. % Il fant visiter son pays pour % % le mieux connaitre. +
I faut connaitre sou pays *! pour le mieux aimer, LE
I daut mieux aimer son * vays pour le faire bien aimer, % + e voyage de la “Liaison À française" aura ces précieut
Y +
Ÿ avantages pour nos amis. %, La Lo
OP OR POP dd de NOR À LM
CO
A ne
* Administration et Rédaction:
. 1303, 4ème Avenue Ouest Prince-Albert, Sask. Tél. 2964
Abonnement:
Un an, Canada. ...,.., $2.00 “Etats-Unis ..... $2.50 “* * Europe ....... $5.00
JE. MORRIER, Administrateur
—.
Ne. 16
nnn à semence me mine à nn.
émane arans an
Les Membres de la _ Liaison Française
Mer, H. Fortier, Saint-Georges de Beauce,
Mur, FE. Roy, Séminaire de Lévis,
Chanoîne ?, Boulay, Trois-Rivières, .
M. l'abbé JA. Ouellette, directeur des Missionnaires Colonisntènrs et directeur du voyage de In Liaison‘ française,
Ernest Bilodenu, Ottawa, reprémentant la “Presse”,
A. Sauviat, Montréal,
Nime A. Sauvint, Montréal,
Arthur Snuvé, chef de l'opposition de Québec, St-Eustache, Qué,
Jolie fête à Mgr Mathieu et à! Ÿ: Fortin, Chicoutimi,
Paris, — La section féminine du comité France-Amérique, sous la présidence de ! rière de Rohan a donné une ré- ception en Phonneur de Ll'hon. I Mercier, ministre des Terres cl Fo- rêts de Hi province de Québec et de LL, GG, NN. SS. Deschamps de Montréal et Mathicu, de Réginn. Au couts de celle réception lécri- ain Alfred Peizat n lu deux scè- ucs de sa pièce Gircé,
ne
Assistant-Rédacteur
Grâce à Ja bicnveillante sollicitu- de du f. P. A1, Auclair, OM, pour loeuvre de son eoeur, et à l'intérêt si grand que porte à no- tre journal le KR, P, Villeneuve, O. MT, provincial des Oblats de l'Est, nous sommes heureux de présenter aux anis et le R. P. Albert Toupin qui remplira les fonctions d’'assistant-rédacteur.
Après de brillantes études 4 PU niversité d'Oltawa et au Scolasti- ‘at S. Joseph de sa communauté, le Père Toupin fut placé à fn tête d'oeuvres de jeunesse dans ai po- puleuse paroisse de Notre-Dame de lil. C'est li que Pobéissance est allé le chercher pour consacrer ses dalents à Ja défense des causes ca- tholiques et françnises dela Saskat- chowan,
IT a été choisi par le R, P, Au- clair, C’est assez dire de quelle con- fiance el de quelle joie nous sa
Inons sa venue au milieu de nous,
manne mme ce Première guérison miraculcu- se à Wakaw
M. Colin Lepage, de Prud'bom- me, afiribie à la petite Thérèse fn guérison de sa 3 ans.
L'enfant avait subi en novembre
1924 l'opération de fa mastoïdite,
- la suite de cette opération on
petite fille âgée de
constata une suppuration purulente du conduit auditif, Pendant six mois elle demenura sous Jos soins du médecin. Le jour du pélerinu- ge au sancliuaire de la pelite Thé- rèse à Wakaw, le 17 juin, les deux orcilles de la petite fille stuppurant tonjours, la famille entière s'y ren- dit pour prier Ja grande thauma- turge de nos jours, Paimable sainte de Lisieux. Une neuvaine fut com- mencée ec jour-là, et le dernier
jour de Ja nenvaine enfant se trouva parfailement gnérie, , Le médecin coustala une gméri-
son compléta extraordinaires son témoignage écrit ne parle pas de miracle, mais d'une guérison con plète extraordinaire. ° ‘
Les parents et la miraculée fi- rent de nouveau fe pélerinage de Wakaw pour remercier leur insi- gne bienfaitrice, °
lands fit l'éloge des deux chefs d'ar- mée, Middleton et Biel, ct des sol. | dats canadiens, Mgr Brodeur
Mgr Brodeur, vieaire-général du diocese de Prince-Albert et de Sas-! katoon dénonca vigoureusement l'attitude du gouvernement d’Otta-i wa en 1885, attitude due à l'igno- rance ef à la haine de la religion: catholique. ,
De plus il déclara que le contrat, ! conclu entre le Roi d'Angleterre, Georges V, représenté par le minis- tre de Pintérieur du Canada, et la Corporation épiscopale du diocèse de Prinec-Albert, à été gravement violé.
L'inscription que porte le mo- nument, loin de rendre justice aux | deux partis, les vélontaires et les: rebelles, est une insulte grossière: à Riel et à ses compagnons d'ur-|
bataille des Plaines d’'Abrafam et [qe l'inscription devait être hilin-
a duchesse douni- ty
lecteurs du Patriote, l
l M.
HE, Dorais, Montréal, A. Spénard, Trois-Rivières,
E. Proulx, MAP, F'Orignal, Ont, dépulé de Prescott, Mile A. Noël, Saint-Mare, À. Mongenn, St Lambert,
Mme IE À, Mongeau, St-Lnmhert,
M. l'abbé P, M. Rousuel, Verner, Ont. : M. Nagan, professeur à l'Ieole d'agriculture de Ofa, P. Lalonde, Verdun,
W. Guérin, représentant le “Devoir”,
Cbs. Gaultier, rédaeteur en chef du “Droit
Jean Landrieu, reprécentunt l'OfMiee français d'élevage et le Figaro” de Paris, Nantes, France,
PF. Robidoux, Shcrhrooke, rédacteur en chel de la “Tribune”, BB. Dorais, Montréal,
N. PF. Vanasse, Louiscville,
E, l'roulx, L'Oripnal,
Æ Robi, chef des nouvelles, La “Patrie”, "A, Gagnon, Beole d'agriculture de Oka, Donat Bergeron, Outrémont, vainqueur du concours de fa “Liaison
française",
Où
LPS "A,
CIE Gariépy, Frois-Riviéren, représentant le M. l'abhé L. 1. Gravel, Montréal,
UM. Pabhé 4 À. Dalpé, Worectter, Mass, M, l'abbé C, Minette, Montréal,
M. l'abbé 4 Leclair, Chute à Biondeau, Ont. D M, l'abhé A. Trudel, Suint-Sévère,
M. l'abhé J. Lévèque, Val d'Amour, N. B, M, l'abbé EE Marsolais, Lachute,
M. l'uhbé N. Favreau, Sherbrooke,
M. l'abbé 1 HE Goyette, Vallesfield,
M, l'abbé P. Méthot, Shawinigan,
M. l'abbé W. Lamarche, Toronto, . LE, C..Oucllette, député de Dorchester, représentant offiéiél du gou- vernement de Québee,
l'abhé Pl, Bilodoau, Saint-Victor de Tring, l'abbé I Joly, Saint-Enstache,
Î M, l'abbé J, À. Normandeau, Montréal,
M, l'abbé A, ‘Fessier, Troisftivières, représentant le “Bién Publié”, M. l'abhé P, Heynon, curé de Biuxeiles, Mau,
M. l'abbé IL Lapointe, Saint-Isidore, Man.
8, Tessier, Québec,
F. Goulet, Québec,
LL Cosseite, Shawinigan. Que,
; ©. Dorion, Quéhec,
4. Morin, Sle-Claire,
1 P, A. Héçrin, Shorhrooke,
1 $. Tremblay, Québec,
M, l'abbé À, 8. Deschêner, Quéhee,
,. Hudon, Québece, représentant de PA. CC.
A, Tourangeuu, Quéhec,
M. Fabhé J, Dérome, Portage la Prairie, ‘
M. l'abbé 4H Cossette, Shavvinigan, Qué,
À. Doyon, Bruxelles, Man.
U. Allard, Québec,
FM. Fabhé #. X, Dubac, Saint-Prosper, I M, l'abbé 0. Blanchet, St-Grégoire de
“Nouvelliste” et le “Flambeau”,
M. M.
Montmoreney,
| M, l'abhé 3. L. Pelletier, St-Camille, ,
DAT:
M. l'abbé. P. H. Roy, Rivière du loup, M. labhé J. A. Alexandre, Saint-Louix, M. l'abbé A. M. Tremblay, Chambord, . “Mlle M. Renand, Québec, ‘ ’ M. Jules Dorian, rédacteur en chef de “l'Action Catholiqne”, Mme J Dorion, Québec, T
M. Léo Brown, du ministère de lagriculiure, de Québec, 1 Mme }. Brown,
Mile R, Patvin, Québer,.. '
Mme LB. liset, Saint-Komuald, ’ M, H, Samson; Saint-lrosper,
ÏM. Arthur Matte, Rimouski,
M. 3, Parent, Charleshoursy,
M. l'abbé O. Gosselin, Québec,
Fabhé A. Lessard, Sillery.
M. Fabbé V. East, Saino Laurent,
M. l'ahhé A, Lemay, Quéhee, :
M, l'abbé G. Lemieux, St-doachim,
M. l'abbé E, Côté, Québec,
M, l'abbé H. Frécheïte, S.-Claire, Doftchester,
M. labbé J. Roy, Lévis,
M. l'abbé £ À. Lachance, Lévis,
R. P. $. Lajoie, O.M.L, représentant du diccése de Kapuskasing, Ont, l'abbé À. Roy, S.-Julie,
Hearst,
M.
i. Brodeur demandà que la! M. l'abhé 3. À. Provencher, S.;Anastasie, / Mgr Brodeur demand: » Ja; hhe die Che ! j | présente inscription soit enlevée et! M. l'abbé 0. Poirier, Charny, qu'une autre, conforme au contrat,i. M. l'abbé W. Ferland, Québee, lüi soit substituée, Il rappela aussil M, l'abbé 4 Paquette, Pariaville, Î : . à ‘ à : | M. J'abbé C. Gagnon, directeur du grand séminaire et représentant du #uc. RCE TL “Can: de F « ais" Qué - (Suite à la page 2) ‘anade FTANGAIS , AMC , ‘ M. Fabbé H. Pegroches, St-Pascal Baylon, Qué, RS M. l'abbé O. Savard, Québec, x ' ce des v*essources naturelles, Boston, | M, l'abhé R, Lamontagne, Bueckland, Maÿss, É te M, l'ubbé S. Villeneuve, S.'Rédempteur, Lévis, : tant le Chemin de fer M, l'abbé A. Poulin, Fast Broughton, . ‘ . ‘+ LM, l'abbé P. À. Hégin, Sherbrooke, Lo os
tn . eo gras ous -
M, l'abbé À, Roy, Pintendre, Lévis, c* . . M, l'abbé O0. Savard, S;Pierre, Île d'Orléans; M. l'abbé À. N. Lebel, Montréal, . | LL
iont du- “Patriote .de l'Ouest”, : Ù
D
œS : û
| éiatonn Frannaton! nn Élhe | La “üiaison Française” à Princo-Altert | ne (Suite de la jère page) = lé Tribune” des journalistes, si
Melançon, que vous trouverez vos meilleur, collaborateurs pour micux faire connaître et “La Doulce Pro- vince” et ses jeunes soeurs de l'Ouest! ' -
À 5.80 hrs di matin, le 10 juillet, la “Liaison Française” reprenait $a course vers la côte du Pacifique, en s’acheminant vers Duck Lake et Rosthern. Mine Morrier, repré- sentant le Patriole, s'était jointe à ses membres avec son fils Roland.
DISCOURS DE MGR BRODEUR
M. le Directeur de la Liaison Française, Mes vénérés confrères, Mes chers amis.
D
A la province de Québec
La Province de Québec nous don- ue une preuve d'in'érêt qui nous réjouit grandement en débuant vers nous M. Oualette, membre de la Législature pour le Gonté de Dor- chester, Le choix a été judicietix puisque M. Onellette est un des omames es plus en vue non seule- ment dans son parti mais dans a Provinces; l'expérience de M. 1e député lui permettra de renseigner ecux qui l'envoient sur notre situu- tion sigricole ét éranomique, Qu'i' sé fase notre interpréte auprès de lbonorahle Premier Ministre pour Bi exprimer notre reconnaissance, Qui sait? Pareequ'il a beaucoup aimé, peut-être bi sera-t-il boat coup pardonné! A M. Oucllette qui personnifie en ce moment lt Pro: vinee-Mère, sineère, cordiale, affec- tueuse bienvenue!
4
La joie qui se reflète sur nos traits. la cordialité de notre accueil vous diront, mieux que mes paro- les, le bonheur que rrssent cé 5oir la populaïñon française de Prince- Alb:rt, Si nos lèvres ne réussis- sent pa: à vous exprimer les senti- ments dont nos coturs sont rem- plis, dil:s-vous bien que ce sont des orphelins qui ce soir recoivent des fréres Jéintaias, en déplorant l'absence du Père qui aurait été si heureux de vous faire lui-même des honneurs de sai maison, TŒt je Île sais, vous vous êtiez fait une fête de saluer ici le jeune évêque pa'rin- te qui honore l'Eglise de Prince- Albert, et que Ja Providence de Qué- bec, dont vous êtes les dignes re- présentants, accueille toujours avec tant d'empressement ct de générosi-
Au chef de l'Opposition
Bicnvenue à vous. M. le Chef de la lovale opposition de Sa Majesté Que n'étes-vous le chef de Pau- re opposition! Avec notre bienve- nue, arceplez nos félicitations, Vous
té, disiez, il va 8 jours à Montréal :
“lo pars pour FOuest dans le but
Bienvenue de me renscigner sur la situation
a des nôtres dans Jes lointaines
Quoiqu'il en soit, mes chers amis, prairies des Tacbé, des Grandin, des veuillez croire que vous êtes chez Grouard,
vous chez l'Evêque de Prirce-Al- bert! Les enfants ont reen l'or! dre— et jatuais ordre ne sera’ mieux exécuté par les jeunes com: me par Jes vieux.—d'ouvrir bien -randes les portes de la eathédra- le, de Pévèché, et surtout... de nos coeurs! |
L'émigralion est chez nous un pro- hlème très sérieux et l'homme po: litque doit Fétudior à fond pour en chrreher Ja meilleure solution. “Ah! cest que vous avez fait vôtre ln belle devise de fa Liaison Fran- case: Voir son pari pour Paimier et Je servir, aprés lavoir vu, et vous le servi rez, C'est vous dire que nous ero- vons désormas avoir un défenseur au Parlement de Québec, et ce n’est peut-être pas suni besoin, Car, psrmettez-nons cel orgueil, nous ne erovous pas être les moutons noi ; re de Ha famille”, ceux que la ra-! ce doive renier parce qu'elle en | rougit et qu'ils a Non, nous con'inuons ici les tradi-
A- Messeiynenrs
Messeigneurs savez les bienve nus!- Si votre présence a jeté des reflets de pourpre sur vos cempa- gnens de voyage, soyez assurés que nous apprécions l'honneur de vo- te visite! Votre réputation d'édu- cateur et de pasteur reconnus par Rome vous a précédés dans nos ré- gicns lointaines,
de no: origines. “Nous, nous ou venons"! Que: Le bonne vicille grand'maman de Quüébec soit donc remerciée de nous avoir unvoré un de ses fils les plus illustres--d'au euns, des méchants sans donte, nré
Aux collèges
Bienvenue à vous, représentants de nos séminaires ct collèges de Ia qhére province! fi and Séminaire de Québec où se forment nos prê-. Lo À c'oet le : . , tres de demain; collèges où se Dré. tendrontque eÿt le plus ut bulent
. - {de a “Maison”! L'an prochain. parent les hommes dont Rous. Au | te nous en envoie un autre: et rons besoin, vos délégués ne Sont Come vous, Honorable M Sauvé, pas pour nous uniguement de: fré- | s'en resournern en répétant avée res, ce sont des bienfaifeurs, Dans | César: Je suis vent, j'ai VU, à j'ai nas souhait de benrene quils| fé aiment Non bas Dar nos hat
eue RES . at mes, nous n'avons pas celte nré- naissance sincère et profonde! tention, mas bien par la fertilité de notre sol. notre ciel pur. Fair salubre de nos prairies aux lirges horizou:, nos promesses d'avenir, et surtout, notre indéfectible volon- té de ne pas mourir, de rester Ca- tholiques et Canadiens...toujours !
Aux journalistes
Bienvenue aux journalistes de a! Liaison Française Bicnvenue ! Vous “* broderez’”’ mieux que moi, sur ce simple mot. Votre visite “nous fait trop de bien pour qu'on puisse dire du mal de vous”; mais parfois, hélas! la presse de la dou-
Au représentant d'Ontario
M. de député de Prescott, soyez
Aoinant fait tr at k , ge Pi ovince nous fait trop de ee le ‘ bienvenu! Vous renrésentez peur qu on DUISSe OUJOUTS CR CES parmi nous une minorité devant
du bien! “Ce qui ne nous empè- che pas, crovez m'en de recevoir ses représentants avec une joir: sans mélange. Nous connaissant mieux, ils nous apprécieront Me
laquelle nous nous inclinons avec admiration et sur laquelle nous à vons soustamment les yeux, pour l'imitor!
tage ct mettront un jour à notre service, sans exception aucune, la grande influence dont ils jouissent. Ou'il sern consolant alors de voir “La Presse”, de “La Patrie” faisant de l'“Action Catholique” dans Île “Cannda-Français”, et renrissant son “Devoir” au service du “Droit” et du Public”! C'es
Au clergé
Bienvenue à vous, mes chers con- frères Avec tout le pérsonnel de la famidle épiscopale e’est de tout coeur, en vous accueillant, que nous entonnons un vibrant “Quum bo- vu e quam jucundinn habitare
“Bien st dans fratres in unuw’”! Et notre petit
Pour refaire ses forces et stimuler son estomac, M. Raoul Jetté, de Woonsocket, R.I., prend des
“Depuis quelques semai- nes, je me sentais moins fort; le soir, lorsque j'avais fini ma journée de travail, j’étais ex- cessivement fatigué. L’ap- pétit me manquait, ma diges- tion se faisait moins bien et souvent j'avais des maux de reins. Le matin, je n'étais pas complètement remis et peu disposé à me mettre à l'ouvrage. Je me suis pro- curé des Pilules Moro parce que ce que j'en avais entendu dire avait gagné maconfan- ce. Je les ai prisés réguliè- rement et, en quelques se- imaines, j'ai augmenté mes - forces et depuis je me porte bien”. M. Raoul Jetté, 104, Brook, Woonsocket, R. IL
IL n'existe pas de remède comparable aux Pilules Moro dont lés effets sur les nérfs et sur Îe sang sont merveilleux. Les hommes .affaiblis dont l'estomac est détraqué devraient en prendre pour s'éviter les ennuis de la dyspepsie et de l'épuisement. —.
| Léo Pilules Moro gont éa vente chez tous les morchondh de remèdes, Nous les envoyons aucoi par Îa poste, au Canada et aux Etato.Unie, our réception du pris,
É
F4. RAOUL JETTE, 104, Brook, Woonsocket, R, Le
7:59 cœue la boite.
COMPAGNIE MÉDICALE MORO, 274, SeDents, Montréal
“Vous aimerez FOuesE'
|
|
" LE PATR
mme te mie om ee em
groupe. français de la paroisse ca- thédrale ‘sait trop bien ce.que la
nhtion canadienne doit à son cler- sé, pour ne pas tré:saillir d'aise en vous voyant si nombreux parmi n05 amis de la Liaison Française. Si était permis d'avoir des préféren- ces, sans faire de jaloux, veuillez croire que vous seriez doublement benvenus sous l'humble toit d'un évéque que vous recetez chez vou comme un véritable prince. Puis- ve fa chaleur toute fraternelle de notre modeste réception vous don- ner un bon petit goût de “revenez- y"! :
Aux laïques
ù Î
Bienvenue à vous, mesdames et! messieurs, nos chers amis, nos fré- res du pays d'En-bas! Qu'il fait bon vou: revoir et vous recevoir ! Vous nous apnortez le salut, je pour- rats dire le baiser du village natal, de Ja Province d'autan® plus aimée que nous en sommes bien éloignés, Votre visite nous cause grande joir. nous apporte un réconfort dont nous avons besoin, Sur Je champ de combat, à Ja caserne, dans Ja citadelle, au milieu du carnage, Île; soldat n'epprécie-til pas ceux qui viennent lui dire: “Courage! Tiens tte à Pennemil La victoire s’en vient "Mes chers anus, permettez- nous de vous dire, cocur à cour, ce que Hhous sommes ef voulons ètre, nous vous voyons si peu souvent, profitons de notre veillée, nous sommes des soldats de Ja CauseNa- Hionale; nons sommes et voulons rester des Canadiens sans peur et sans reproches, réclamant poui eux les droits qu'ils accordent volon- liers à tous les concitoyens! Nous ne vantons pas. chez nous, ètre traités comme des étrangers! En chez nous, c'est tout le Canada, tout le pavs découvert. colonisé et évan- uéBsé par les nôtres! Nous n'en voulons pas de La théorie de la “Réserve québerquoise?! Ei, par- re que nous sommes chez pous, nous voulons vivre no’re vie catho- ligue et française, Ce sont donc des soldats qui vous reçoivent, Dès lors. n'aftendez pas d'eux tous les raffinements de vos grandes cités, Comme nos Péres, qui d'une main tenaient leurs mousquets et de Fau-
re conduisaient Ja charrur, ainsi les franco canadiens des Prairies doivent sans cesse tre à Paffüt,
pré‘s à se battre si c'est nécessaire, et parfnis nous x sommes forrés! et vouttlez croire que nous connatis- sons autre chose que des défaites!| À notre bienvenue, nous ajoutons
désbonorent un cordial merci; c'est le mot que
nos mères uous ont appris quand
‘ions d'un passé glorieux, et. fiers! oïles nous berraient sur les bords! Y
du St-Laurent” au: majestueux
| rours”, eur les rivages fleuris du son nom. au nôtre. Merci
ds + à
LI
pr
(Suite à la Térce page) Le discours de Mgr Brodeur fut
à maints endroits couvert par les,
apphaudissements et Les bravos de la foule. Les Métis surtout, à qui
le texte de l'inscription du monu-: ent actuelle fait injure, ne se pos- |
sédaient plus' de joie d'entendre leurs droits si fièrement et si élo- quemment revendiqués. - Tous nos lecteurs seront heureux de posséder, de lire et de relire, cette magistrale mise au point d’u- ne question tant controversée, Nous remercions Mgr Brodeur d'avoir réservé à nos amis la primeur. de son discours, que nous reprodui- sons plus bas in extensa. Autres orateurs Les autres orateurs de la fête fu- rent le chanoine Strong de l'Eglise anglicane, M, Angus McKay qui parla en cris, Le KR. P, Delmas, O.M. L, principal de l'Ecole indienne de S. Michel de Duck Lake, le maire Branion de Prince-Albert, et le pro- fesseur Underhill de l’Université de Saskatoon. °
La Liaison Francaise s'abstient
La “Liaison Française” qui se trouvait de passage ce jour-là à Duck Lake et devait se rendre à Batoche, avait entendu parler des termes plus où moins injurieux dans lesquels l’inscription du mo- aument ctait rédigée. Ne voulant pas sembler approuver de sa pré- sence l'érection d'un monument qui est dans sa forme actuelle une insulte à des compatriotes et la violation d’un contrat signé de bon- ne foi, les chefs de l’excursion en- voyérent une délégation s'assurer sur place de la vérité des rapport qu'on leur avait faits.
Ceux-ci s'étant trouvés véridi- que, la “Liaison” refusa d'assister en corps au dévoilement de ce mo- nument, protesta contre la manière d'agir du Bureau des sites histori- ques et des monuments du Canada, et envoya à Ottawa une dépêche en ce sens, * 1 ‘$fle Quelques-uns cependant des mem- bres de la Liaison se rendirent à la cérémonie, et de ce nombre se trouvait M. E. Proulx. député. de Prescott qui expliqué aux promo- teurs de la fête l'attitude prise par la “Liaison Française” et les rai- sos qui motivaient leur conduite en cette circonstance, Les direc- téurs s’empressèrent de reconnai- tre la justesse de leurs plaintes et dirent qu’en pareille occurence ils auraient eux-mèmes agi dé la sorte.
Il est bien entendu que la Socié- té historique de Prince-Albert et les officiers de l’Université de la Saskatchewan ne portent aucune- ment la responsabilité de ce,re- grettable incident, Ils ont à plu- sieurs reprises manifesté leur dé- sapprobaticA de la manière dont l'érection de ce monument avait été conduite. .
1 semible que Îa lumière sur la rébellion de 1885 n'ait guère péné- tré dans certains milieux de l'ad- ministration fédérale à Ottawa mê- me après 40 ans, M, Howard G. Kennedy, correspondant officiel de guerre pour les journaux de Mon- lréal pendant la rébellion, ‘avait raison d'attribuer dans son dis- cours: du dévoilent .du monu- ont de
TEEN
auus «
eu.
|
.dien.
|
00
IRAN MAMPENITE LT frs Paiocho, Fiveuroction doi
(c]
di, 15 juillet 1925
Richelieu ou du lésendaire Outa- oùais, au versant des verdoyantes collines des Cantons de l'Est où à l’orée des Bois-Franes! Merci d'être venus; anerei de penser à nous, de ’nêtre pas de ceux qui oublient ct qui renent! Mrorei de vous inté- resser à mous! Et quand, votre ran- donnée terminée. vous réintègrerez vos fogers et qu'à uns frères de Jà- bas votis parlerez de nous, dites- leur bien... g'e.t notre unique mes- sage en relour de tous ceux dont vos meins, vos lèvres et surtout vos coënts sont chargé: à notre adresse, … dités-leur bien que nous ne S0Ont- mes pas dégénéré . que nous SOnr de vous ct que
xs ‘ =
° Justification : = = = LT À , 79 A “Ts - TE à
ils furent bel et bien des héros,. À PU N oodmes À Re ue E Æ 5 Qu'ils furent aprés tout LATTES EL VOTÉSS10 Tel Et malgré cela, ne trouvez pas | — nn LC *
—— ES;
tranges, mesdames et mcs:iieurs, que représentant bien humble de lV'E- glise Catholiqué dans-ceïte partie du pass, je fasse entendre ma voix en pareille occurrènce. “Alors mè- me que nous ne pouvons témoigner
ram aeses ec
AVOCAT, SOLLICITEUR
#
de sympathie pour une elasseit À. . d'hommes" en révolte ouverte. con . l SANUE pr à tre. J'autorité légitime, quelle que'!f: : ù FACTURIER , L grande qu'ait.él* la provocation,|| Etude légale, en haut du bureau |1f cu AUSSURES Et} #
nous devotis êwre ns50z juste pour i accorder aux métis de 1885 le tri but d'éloges qui-leur revient par le courage et Dhabilité qu'ils: témoi-
a mme Ce
Tanneurs et Corruyeuro j ——.— ï
de billets du C. N.R..
mes toujours dignes | nous sOmInes touinurs vivants ! Et! gnèrent. (E, Morice. OM). de 116 Helgerson Block, 2e Ave. ï5 poreau et Fabrique Un,
la preuve de natre survivance, icil n'en veux d'autre preuve que ces ns - 45 à-49 Square Victor | n S$ si i or
en Saskatchewan, voyez-la, mes! parcles de Sir Danicl Wilson: “On SASKATOON, Sask. : MONTREAL, ia | chers amis, dan, lPexisience de no-! admettait sans difficulté gue pau: _ nus CE | tre Association Catholique France vroment jétuinés et peu pourvus,| = ns en | | Conadienne. C'est une armée de! comme ils l'étaient, des nécessités Ll DS ; = SR nee 5,000 combat'ants qui n° capitnic-} premières pour lutter avec une for- SALLUSTE LAVERY, D.C.L. ARTHUR n BOYER 1
ront iamais ot qui porteront tou- jours haut et ferme le drapeau qu'ils ont apporté de chez vous, le vôtre! Noire vie, elle + manifes“e. par no- re journal Le Patriote de l'Ouest. C'est nn peu le votre, il est vrai, cor à ce vailant brieur toujours sur la brèche, à cette sentinelle vigi- lante qui ne conuait jamais le re- pos, vous fournis.ez parfois la pou- dre et Les muntions. Pour lui, pour nous, Merci! Merci de nou aider à alimenter, car nous x te nons à notre journal: il est néces- saire à notre vie française Le jour où il disparaîtrait de notre Province, vous enlendrez sonner Île glas d'une race qui ne veut pas. ne doit pas mourir dans l'Ouest Cana- Mais. prétez oreille sans crainte au bêuit du grand vent du Nord. I vous apporlera souvent des clameurs de combas, des cris de victoires: mais, des mitirmurcs de déscinérance, jamais! Jamais ! eurtout si chaque année la Liaison Française vient nous répéter d'une voix qui caresse rt encourage: Ve- nez bont La Victoire s'en vient!
Au directeur de la Liaison francaise
Monsieur le Diverteur de la Liüai- son Française, jr nue vons souhaite pas Ja bienvenue vous n’en avez pas boioin! L'Ouest, c'ess votre domaine, vous êles iei chez vous! Cependant. si nous n'avons pas le p'aisir de vous dire: sovez le bien venu! nous nvons le devoir... et nous ne voulons pas nous VY SOUi- trace de venus rsprimer notre re- connaissance pour font ce que voit faites pour nos, Ah! c'est que c'est que vous l'avez vu votre Pays; ous le connaistez l'Ouont Canadien: l'aimez, et vous le servez! En ?
.
vous
ouver- nement canadien, “La rébellion, a- t-il dit, est ‘venue de l'ignorance des Métis, ignorance attribuable à une politique enfantine, et de li- gnorance du gouvernement du Do- minion, ignoranca venant d’une politique sénile”,
* DISCOURS DE MGR BRODEUR asus Excellence, Monsieur le Président, Mesdames et messieurs,
Loin de tout ce qui brille et de °: toùt ce qui tente, Un brave petit peuple avait planté sa tente Au désert, sur les bords des grands lacs ‘ailoycux, Four labourer le sol où chassaient | ses aieux. Bons, paisibles, naïfs, ne ‘isant qu'au grand livre De Dieu, ne demandant rien que le droit de vivre Et mourir à l'abri de toute _ agression, 1ls travaillaient avec la seule : ambilion De léguer à leurs fils le petit coin de terre Qu'ils arrosaient de leur sueur de
cm mt? oO D : = ER
La persécution les atlaqua chez : eux, Et sans même invoquer de . prétextes oiseux, Sur leurs biens, au soleil qui luit pour tout le monde, ontément poser sa patte immonde. Alors ces paysans, sans fusils, . sans canons, Relranchés sous les bois et dans leurs cabanons, & corps leur franchise usurpée, Furent tout simplement des géants . _d'épopée!
S'en vint effr
Défendant corps
Pardonnez-moi, mesdames et mes- sieurs, cette longue citation de no- tre barde national, Louis Fréchette, Rien, il me semble, ne pouvait mieux ‘vous fiure saisir la cause des hos- tilités qui devaient avoir leur dé- nouemuent ici même, à Batoche. J'histoire:est un perpétuel recom- mencement, a-tron dit avec vérité, Ce que la nation métisse devant la- quelle l'Eglise catholique s'incline avec respect. car elle fut en tont temps et en tous lieux, l’amie et 1» nrotectrice des missionnaires de l'Evangile, ce que cette nation eut à souffrir en 1885 n'était que la continuation des vexations et des injustices de 1869 Avec cette dif- férence pourtant... pourquoi, hé- las! l'a-t-on oublié? qu'ici en Sas- katchewan, il y avait une autorité réguliérement constituée, et dont personne ne pouvait contester Ia légitimité. Malheureusement à Qt- tawa, était la cause du malaise qui régnait dans toutes les classes de de la sociêté, anglaise aussi bien que française, et la situation était d'autant plus alarmante que les gou- vernatits de la capitale fédérale pa- raissaient incapables de compren- dre le véritable état des choses dans cette lointaine contrée. C'est 1à le verdict de l’histoire! .
Mais alors, îls étaient donc de vé- vitables révoltés eeux qui ici se soit battus, ceux qui sont tombés? de vous vrénondrni, inosdames ot "s vors du paie :
pilotes
EN:
MPSSÈPUTS. TT :
e
‘prolétaire.. 71
ce de milice bien organisée, condui-: | u ee te par un so'dat anglais plein d’ex- MAURICE D RRERS LLL IMMEUBLES Ci périence, le séngral Midlelon, ils | “ pelle Aceurances Conféderation Lie. firent preuve d'un courage sans . Ê Ge, |). Âvocat Chois de terres en brairies ef
faiblesse cet bravement tinrent' bot|| conre un tombre éerasant de sol-
JULES MARTIN, CR en culture dans le district d
dats munis des engins destruc'ours |£ È ‘ Montmartre,
et la gucrre moderne.” (The lost |} Lavery de Demers MONTMARIRE ‘
AUantis, ete p. 334, ue gam MON'EMARTRIL - On Fa dit et répété avec raison: AVOCATS ET PROCUREURS Re
“L'Eglise est une école de respect!! “EHe enscigne le respect de louto- rité; elle le praique: cle rend RS: César, ce qui appartient à César, Intervention de Mgr Taché En 1870 si le drapeau anglais a pu
19, ruc St-Jacques, MONTREAL Tel, MAIN 4472 :
à ‘
Loi €
| Eanque Canadienne - Nationale
(Banque d’Hochelaga) *
G
Ÿ
ommerciale, Civile et
continuer à flotter librement à la Criminell
brise canadienne et s'il n'a pas été î Criin Ce Siège Social-MONTREAL remplacé par le drapeau étoilé nous [À [ =, ,
le devons, vous Je savez, ne l'ou- : Suceursales:— Capital versé et réserve, |
j
Ste-Agathe-des-Monts,
blions jamais, à la puissante inter: vention de lillns're archevèque Taché de St-Bonifacé, l'ami tou- jonrs fidèle de son peupje bien-ai- mé des bords de Ja Rivière Rouge. En 885, si les missionnaires ca- tholiques n'avaient pas organisé une contre-campagne que serait-il arrit-
$11;000,000. "Actif, plus.de $122,000,000 263 succursales au Canada, dont 219 dans la Provinces
AVOGAT, PROCUREUR ET de Québec
vé? Alexander Beys dans son , É Histoire du Nord Quest nous donne NOTAIRE Filiale. à Parie: 3 la rénonies “Si les Indiens de p . : D l'Ouest, s'étaient joints à leurs frè- anque Canadienne Nationale | res de l'Est et cu Nord, cette hi:i- ee er (France) |: toire aurait eu de p'us sérieux évè- : — net . ‘ - E éoi : , « ee ane 14, rue Aube nements à oenrégistrer, ear lesil , d r | 4 Pieds-Noirs, Piéganes, Gen:-du-Sang, |]. J. F, MacISSAC, LL B — _—
Sarcis et Assiniboines étaient con- nus comme Îles tribus les plus b'l- liqueuies et les plus cruelles des. plaines. La visite du Père Lacom- he, à ce moment eritique, ch son amitié intime avec Pied de-Corbenu et d'autres puissants chefs furent,
7
AVOCAT, NOTAIRE
Mitchell Block, Chambse 9 Tél, 2582
IN. PE
Monuments funéraires
à n'en pas douter, la cause princi- s Ann en marbre > pale de Pinaction de ces formida. | PRINCE ALBERT et cranit [M bles tribns, : (History 'of the N. W.. .... Po E | vol. III, p. 237.) : ‘ portraits É | Oeuvres des missionnaires | sur faïence |} . a r. courot Le Père Lacombe. en maintenant -CHS. €. CLERMONT en nerles | es Pieds-Noirs dans le sentier de : : : J a A n Ê : à 1 à la paix, s’acquit un titre à la grati- Dorteur en chirurgie dentaire EX-VOTO ET tude éternelle de FOuest, Car on pour le Dominion, PIERRES
ne peut penser sans frémir aux ré- sultats d'une révolte à laquelle eut participé. d'une manière active une tribu nombreuse et belliqueuse com- |f me celle de ces ‘Indiens. Le Pere! Päquette en fit autant pour Îles Cris du Lac Vert et le Père Colli- gnon. pour ceux du Lac la Biche, tandis que Jes Pères Végreville, Moulin, Leduc. Fourinond, Legoff et d’autres se firent remarquer par leurs efforts en faveur de-la légali- té contre les menées des esprits re- muants qui cussent‘voulu se join- dre aux troupes de Riel A St-Al- bert, limimense influence du véné- rable Mgr Grandin tint en échec les méêtrs de sa mission, en dépit de leur | mécontentement. manifeste. Dans le Sud, le Père Hugonard, de la val- lée de la Qu’Appelle, empécha à lui seul les Indiens de la montagne de Lime et du lac Croche de se livrer au inassacre. Et Eglise Catholi- que qui eut ses martyrs au Lac ll Grenouille, les Péres Fafard cet Marchand, vit d’autres de ses mis- sionnaires trainés de pläce en place par les Indiens révoltés, tels que es Pères Cochin et Legoff, Et ici même, dans cette maisou qui porte encore les traces de combat, Îles Père; Fourmond, Végreville, Touze et Moulin furent retenue prison- nicrs, Le Père Moulin fut même blessé ogr une balle des insurgés. Et pourtant, telle “était lPaveugle haïne de tout ce qui était catholi- que que des fanatiques, comme il s’en rencontre malheureusement à toutes les époques, ne’ craignirent pas de tenir publiquement respon- 4 sables de’la rébellion ces mêmes |i prêtres qui avaient fait “tout cell aue des mortels pouvaient faire pour l'empêcher”. Comme toujours é- gnlement il se trouva des esprits. droits et justes vour répartir Îles. responsabilités, C’est ainïi que 4e Rév. Newton dans ses “Vingt ans dans Ja Saskatchewan”, après avoir noté les causes de la rébellion qu'il n'hésite pas à mettre au compte des autorités d'Ottawa, écrit au su-
D'AUTEL. 391 rue Dubuc
il Norwood, P. O. Ph. N, {78 7 :ST-BONIFACE, MAN. Maison fondée en 1914
Service des plus modernes. Apvareil de gadiographie, 1. etc.
207 Bâtisse Hammond MOOSE JAW SASK.
passat
OHN DAISLEY PLOMBIER, EXPERY EN CHAUFFAGE
Réparations faites promvlomont
LUSSIER & MARCH AVOCATS ET NOTAIRES Edifice McDonald Ave. Centrale
Téléphone 3288
3, E LUSSIER, BA,
Gradué de l'Université Laval A. C. MARCH, B.A. |
Nous sommes heureux de doi ner estimés pour ouvrages neuf
PT PRES EP
Â|Le meilleur matériel, le meilleur | | ouvrage.
111, 14ème, RUE OUEST. Téléphone 2201
LT rERS à
R. LAURENT ROY
DES HOPITAUX DIE PARIS, + lrance,
Chirurgie et maladies de la
emme. Purçau, 213 McCallura Hill,
Résidence, 3101 Avénue Victoerin|iil ” REGINA, SASIK |
(pour vos Ravaur 00 | NETTOYAGE et de TEINTURE É adrossez-vVous à
HENRI MEUS | 48, 14èmo RUE OUEST Téléphone 4821
MAISON BELGE. TRAVAIL SOIGRE LAVAGD Î
Mocse Jos :
207 Bâtisse Hammond Casier: Postal 549. Tél. 331:
Docteur J. 5. TRUDELLE
DIPLOME EN CHIRURGIE DE « L'INSTITUT CLAMART DE - PARIS,
ne
| ix Modéréo Û Ancien élève de l'Hôpital Nekeï Pris © et Broca, Paris. Ex-fnterne en Chirurgie à l'HÔ ; tel-Dieu de Québec, 1912-1924 |11à Ex-Assistant à la Clinique Chi pin
T4 —
H|rurgical de PUniversité Laval. |
| Chirurgien de. l'Hôpital Générel
À No, 6 pendant la Guerre, 1915-1919,
HALLE Company ENCOURAGEZ LES MANUFAUE
LPC Er erse er tene
jet de Riel: “Il ne réprouva point Ex-Chiturgien Spécialiste pour TURIERS LOCAUX 1 Ann RUE mil put de VE: Malatlies de la femme, Hôtel [Ül Portes doubles, porter Te |
. AR Ut : en. leu, Université Lava k ulures, C0, GE Flore Ce 00) i|Chirurgien décoré par le Gou-lili &e Cain piedo da Jane ct
Et de son côté, €. P. Mulvaney, vernement Français pondont |ilk FIRTURES ET AMEUBLEMENE l'autenr de “L'histoire de a rébel- rélé FUerE ee. - D'EGLISE î lion &u Nord-Ouest, en 1885,” écri- Cléphone 3767 il : ontes les val, un an anrès, Les événements = = i Neco romplisit a don : qu’il racontait: “Riel avait assez 7 RS CD comen ent ; d'intelligence pour voir que, avant de E. MORRIER : À réléphono 9270 d'esnérer pouvoir portes les gens à Arpentour Géomètre et Notaïrol! dre Pno Ouest ot Bo Are!
se révolter, it aurait à déposer les prêtres qui s’opposaient d’une ma-
PROS TPS
229, 1ièmo RUD DET
PRINCH-ALBERT
RSR ATEN
nière véhémente à l’usage de la for-[l nu a ce”, (p. 328). lei, comme ailleurs, Téléphone 25828 Û = à en débit des affirmations cruelle- fi]. mer $ ment. injustes, le clergé catholique |i PRINCH-ALDERT | se É élici avoir mérité pari - ser EG À peut se féliciter d’avoir mérité pa ENCOURAGEZ LES
son respect de l'autorité le, témoi- enage publie que Sir John MacDo- nald lui décernait en Angleterre: “La meilleure police morale du mon- de se trouve dans le Clergé du Ca- nada Français.”
Riel .
Riel le savait bien, Mais nous devons pardonner .à ce pauvre ma- lade, tragué comme une bête fauve, lui dont la tête est mise à prix, de Pavoir oublié, en retenant, cornme prisonniers de guerre, des mmission- naires de paix. et les roligionses de
PT
Hi
‘
es)
& d
d
enri Coutt ANNONCEURS DU
AVOCAT—
E&de
k
SÉRSRRPEREERRTT
RENE]
Des JR MEDIEC
RC
le.
St-Laurent qu'il mauda à. Datoche, | - où il les traita d'ailleurs toujours | pe
avec beutcoup de respect Devant ni, devant soû inforiune, nous dr
vons nous inclinor Dion bas, ea " (Suite à ln pose 4) à
— =: - *J | , 9
- à" ss CORTE DR TCRTÉE LE Guen.
[ASE re Eu
pépart et retour de lesprit
Bo
"£a
SC & ee
è = re] [#2]
Ame & 1 XF LAIT, 43455 5 Le nt S,Mque Pesprit fut
i d'un h re ÿ Fa arides, cherchant le re mais il ne le trouvo point (Li). dit alors ma demet
ant A Mrs . re de ce qui la süuillait el or-
née. 1! va prendre alors sepi au- tres esprits plus pervers que lui Is entrent | ï dan
re et s'y établissent, et Île dener état de cet home devient pire que le premier (2), - Ainsi en sera-t-il de cette race détestable.
NOTES. ;
NOTE “L'esprit impur, chassé du
milieu des Juifs, lorsqu'ils reçurent ET
Ir Héaient comme de vastes dé-
serts où ne descendait paint la vi- tifiante rosée de la grâce.
& es ad + fa É E
TS le] [41
= +.
tre d'où je suis sorti” En
lorsque les nations furent conver-}
ties, Satan n’y trouvant plus de re- pos, revint avec tous les vices des vaiens dans Je peuple, juif, aban- donné de Dieu, Et l'état de ce peuple est devenu pire que celui où il était avant de recevoir la Loi, Son dernier erime l'a mis en- tièrement à la disposition de Sa- tan” (Saint Jérôme.) | (2) “Si toujours, à chaque re- chute, l’état devient pire dans une ame; si le joug du démon s'affer- mit: si l'on s'enfonce. de plus en plus dans le mal; si les forces di- minuent sans cesse; où cn sera-t- on à la fin, et comment sortir de cet abime? Dieu peut nous en ti- rer, je le sais; mais, s’il n’y a rien à désesptrer, tout est à craindre, (Bossuet.) Dior Des
A
Est-ce qu'on pent faire ses Pâgnes dans une autre paroisse ef que cela compte ?— |
Oui, cependant il convient qu’une personne qui fait ses Pâques dans une autre paroisse en donne avis à son curé. Vi
Est-ce que ce qu'on apoelaif au- trefois le jour du Sabat éiait un jour saint et observé comme le di- manche où si c'était le samedi?—
La situation
Les informations sur la ficie des emblavures pour la _ré- colle de 1925 sont maintenant as- sez complètes. En Europe, Îles pays grands producteurs de blé, comme la France et l'Italie, don-| nent une augmentation de 2 ou 3 p.@, Mais en Espagne, il y a une, diminution dans à peu près la mé. | me proportion. En avril, les chif- fres disponibles montraient que la superficie en blé, en incluant l’Eu- rope et l'Amérique, avait augmenté de 4 pc. comparativement à 1924, et de 5,8 p.c. comparativement à la moyenne quinquennale, mais les chiffres revisés doûnent une dimi- nution de 0.8 p.c. comparativement à 1924, et de 0,6 p.c. comparative- ment à la movenne, le changement venant en grande partie de lim- mensité des abandons de blé tué par l'hiver aux Etats-Unis. Les der ñiers totaux des cultures de blé de 1925 sont de 132,223,700 acres, com- parativement à 13,288/400 acres ‘en 1924, et 133,074,800 acïes, la mo- yenne de 1919-23, Comme le blé d'hiver fournit à peu prés les trois guarts de la superficie de blé, nous pouvons en conclure qu'il n’y aura guère de différence en superficie entre 1924 et 19254 ‘
Pour ce qui est de la production, les indications sont que les récol- tes européennes seront beaucoup Supérieures à celles de 1924; mais. l'influence que ces conditions peu- vent exercer sur la situation généra- le sera probablement contrebalan- Cée par d’autres conditions dans les Pays exportateurs, Jusqu'à pré- Sent, la production estimative, com-
bilée par linstitut ‘International dAgricultmre est, pour : lPitalie.
1224,137,000 boisseaux.:an lieu de 150 millions en 1924),- la: Pologne (47 millions au lieu de 32“ mil- lions}, la Bulgarie (43% millions %e boisseaux au lieu de 28.3 mil- lions) et l'Espagne (129,044,009 boisseaux au lieu de 122,883,000 boisseaux). Il est aussi estimé que la récolte de France sera d'envi- Ton 8412 millions de boisseaux au sieu de 282 millions en 1924, ét que 2 Hongriq produira 62,400,000 0ISSCaux au lieu ‘de 50 millions. ts Days rencontrent une aväñce tonsidérable sur 1924,: et peuvent tfre considérés comme une indi- tation de la tendance générale en Europe, D'autre part, les estima-! tions des Etats-Unis. (661 millions | au licu de 364, 148,006 hoïisseaux ên 1924) accusent une diminution | Prononcée: de sorte qu’en inclu- ant l'Afrique-Nord (l'Algérie, le Maroc français et la Tunisie dont “? broduction estimative est de 104 Millions de boisseaux au. licu de 67,705.000 boisseaux en 1924, la production estimative jusqu’à date Vour 11 pays est de 1,911,609,000 Oiseaux comparativement à 1. 10,036,090 boisseaux en 1924. soit We diminution de 58,347,000-bois- eaux. Les estimations de Broom- #1 donnent à la Russie un. sur- : uS disponible pouf ‘exportation (e 4.8 millions de tonnes, mais cela comprend tous Jes grains, et il ne gemble pas qu'il existe actuelle- DAS informations séparées sur
qq +
es traits caractéristiques de lai de gtion sont done la réduction Fa na tes des Llais-Unis et del ee Onnant aux surplus expor-! C5 de ces deux pays des nro- Poriions à } f j AVC L ré ts: Go pone récolte iotale Fe exporter daus Les € SEE nes avec le 2 Milfons de hoisse Dfs de daufe que T Eiioble de Pinde din
To du rendeme
t | était, lo jour du Geis:
+ “Je retournerm dans!
il la trouve inlnbitée, pu-|
tons ensemble dans Îa}
s’en alla chez les nations]
SES EP Re nr ee
mondiale
L
ifique des Dints-Unis
: - , $ AEX DEL CE !
x
: “à push, Ce à, 5% à mt) LUKE, 869 »
Besse, + a .®
| Juifs élaiont teuus à le tlue Nous obstrvons Île
[es e]
soPver encore dus
l'Église qui
|
f cités 3, que Îe sur les
Apôtres,
| | nous dit que toutes les religions, sont bonnes? : | ! Que c’est ‘une absurdité: C’est comme si l’on disait que toutes les monnaies sont bonñes! Toutes les | religions ne, peuvent pas être bon- nes ‘car elles se contredisent, Le “oui” et le “non” ne sont pas éga. lement vrais: le blanc et le noir ne se ressemblent pas; le jour n'est pas semblable à la nüit. Di ‘peut être honoré par le mensonge comme par la vérité ..
Pourquoi l'Eglise approuve-telle les images naintes?—
Patte que les images, la peinture, la sculpture nous représente mieux que par de simples paroles les vé- rités de la religion, et que, comme
dimanche. [ll :
i C'est pourquoi les Juifs l'obsurveut| ||
Lis Lonucoup d'endroits.|||-
| Les chrétiens, devaient obéissance à]
É leur parle au nom del | Dicu, observant le dimanche au lieu |. du samedi pour plusieurs palsons: |. Ë. Pour bien rmasrciuer la différence chire l’ancienne loi et la loi nou: velle, ie, entre les Juifs ani nîten- dent encore la vènue du Messie ct tes Chrétiens qui ont reconnu sa venue el suivent sa doctrines -Par- Ice quil convient. de sanetifier le four où Notre Seigneur est ressus- Parce que c’est en ce jour Saint Esprit est descendu
Que répondre à quelqu'un qui
|
j
le déclarait en 1925 le Concile d'Ar-.
fes, fes illettrés doivent y contem- pler ee qu'ils ne peuvent compren- dré dans les Ecritures, C'est pour- quoi Saint Bernard disait que les peintures des murailles sont les li- vres du peuple. - 4 NH es T
,
Quand'doit-on commencer à mon- iver le catéchisme aux enfants? —
Dés qu'ils peuvent comprendre quelque chose. On doit leur ap- prendre a prononcer avec respect ie nom du Bon Dicu, le nom de Jésus ét de Marie et des Saints, et l'on doit se servir de catéchisme avec des images en leur expliquant ce qu'elles reprèsentent et en prenant bien garde surtout de se bien mettre à leur portée, c’est-à-dire en leur donnant des explications très sim- ples, .
super- nes autres cultures, comme le riz,
mais avec une praduction-de 328 4 millions de boisseaux, ou 44 millions de moins qu’en 1924, il ne semble guère probable que l’In- de ait cette année un fort surplus exportable, Il est possible que la production du blé s'améliore en- core aux Etats-Unis et cette opi- nion a de forts partisans en cer- taîns milieux, mais s’il ë d'augmentation substantielle à cet- te production anticipée de ‘661 millions de boisseaux, il est pro- bable que les Etats-Unis n'auront pes un gros surplus exportable. Ce- a est un facteur important dans la situation mondiale du blé, parce que les exportations des États-
nis dépassent habituellement 200 millions de boisseaux. Les expor- tations de l’année terminées le’ 31 juillet 1924 ont été de 91,100,000 boisseaux, comparativement à 148,- 826,000 boisseaux en 1923, Pour les ‘ cinq années terminées ‘ a- vec juin 1924, la moyenne des ex- portations annuelles de blé et de farine est de 248,740,000 boisseaux tandis que la moyenne des impor- tations est de 26,997,000 bois- seaux. Les besoins domestiques pour l'alimentation, la semence et a réserve des Etats-Unis sont ap- proximativement de 650 millions de boisseaux, ce qui ne laisse que 11 millions de boisseaux pour ex- portation. Comme le déclare le rapport du Bureau des Récoltes dés Etais-Unis, le 9: juin, les besoins de la donsommation domestique ne différent pas beaucoup du chiffre estimatif de la production, -
Ces faits donnent un intérêt tout particulier à' la récolte du blé ca- nadien qui pousse’ actuellement. Bien qué les prix avancés aient été an fort encouragement à étendre les emblavures, il ne semble pas y avoir une grande différence en- tre l’étendue de cette année et cel- le de 1924. L'estimation prélimi- naire du Bureau basée sur les rap- vorts des correspondants agricoles du-30 juin, a:été publié le!10 juil- let. Les départements provin- ciaux de lAgricülture. indiquent qu'il y a diminution dans la super- ficie en blé dans le Manitoba et une augmentation d'environ 10 p. c. dans l'Alberta. Cependant, dans cette dernière province, les dom- mages par le ver giis ont été si con- sidérables dans certains districts, que de grandes étendues ont dû être semées de nouveau, en autre chose düe le blé, ct l'augmentation de superficie ne pourra pas être très considérable. Le 30 juin, l’état
moyen numérique du blé par tout
le Canada, selon les correspon- dants agricoles, était ä& 102 de la moyenne décennale, ce, qui. avéc
Tunc superficie égale à l'an dernier,
donnerait une production de 350 millions de boissesux, ou 10 mil- lions de plus que la moyenne ; de, 340 millions pour les cinq derniè-: res années. L'Ouest a ele favorisé, de bonne pluies à l'énoque la plus. critique de la vénétation, ét pour- vu que Îles conditions favorables se continuent, le rendement eut irès bien être plus considérable qu'anticipé ici. P'autre pari, RÉ
la tauiours Le risque d'une ranide ex
térioration. Les récolies de Pâr- sentine et de l'Australie sont. des facteurs inceriains dans la sifua.
n'y a pas]
Son future. wois l'élimination pra-|.”
espariateur lan prachain fait DrCs-
esins JASSONT
!
“LE PATRIOTE DE L'OUEST, Meveredis 15 juillee 1925 ‘
ES NOUVELLE
ass ms een ne
been Tee
— re
CUEZ NOUS ET AILLLURS
nee emmener nn = = =
* Aprés sept ans d'expériuient tion, faite au collèce d'agriceuliu
Régina. — Le district de Wey- burn a été victime d’une violente tempête de grèle en plein midi. Le vent soufflait de l’ouest, et en quel- ques minutes, des centaines de mil- le dollars de dommages ont éié causés aux récolies,
péraictit. de vitres el
Fa
iidec.
2000 acves.
nuit, -
le dis) L élé auvèrt
Dieu ne | =
jan te ee tone eme |
_S LT Eee me sm
fe pordu, ‘d'oulres espèrent avoir de “ Sù à bu pour cent de ce qu'ils es-| 4 . La grêle à brisé -nomibrei Î& tonnerre a détruit de Guclph, une nouvelle variélé une grauge Qbpartenant à G, Pa d'avoine vicat d’êlre produite. Le rendément est supérieur de G.4 mi- hois par àcre sur l'O, À. C, No re rt. - ro
a a n % aa x Ü nl 4 cle La grêle fait du domtnage [qu'un orage de ce genre à lieu’ la
Dans’ l'Alberta des pluies récen- tes ont cmclioré la plusieurs éudroits qui çaicnt à souffrir de la sécheresse. | 51 Mazenod 46 En appro- ee ‘ 1 ‘ \s chant de Weyburn, Porage se divi-| Les S0 nremiers élévateure du 23 Richmond 48 Grenfell | sa on dèéux: une partie passant au- ;
dessus de la. ville sans faire de dommages appréciables, Pautre se !mant la, destruction dans frici, Plusieurs fermicrs ont tout
cartel 25 Hanley
Le premiére élévateur du cartel a Je Îer juillet à Bulyea.
ne 2 eee de omneene nie à eue onto on cou anne eue ne méme PR LTÉE ee mA TON ELA 2 Our en re tenu 4 ‘
*S)
Là M | | 2
Des 50 élévateurs qui figurent soûs la ste ci-dèssours, 15 ont été ache- tés et 935 construits où en voie de
me | 2 Balaonie 27 Vercgin ludian Head Quinton 29 Wileox Yetlow Grass 30 Scotsguard 31 Coluville 32 Watraus
Ke a
Le but
6 Dunbiane 7 Milestone
18 Young 44 Birdsview 19 Dubuc ‘ 44 Kinho ComMen-, 20 Ambassador 45 Stranracr Craik Avlesbury
siuation en
22 Horsham 47
24 Blucher 4% Edgeley 50 Alan
C'est à coup sûr un beuu succès pour une première année d’opé- ration,
ue
touristes ont
= ‘ r +
ET >
ché et le plus efficace. taire d’un Ford peut, à n'importe
_ individuel le éfficace.
ES
construction. No. No. \
> imiques harnachés à 4 Bulvea 26 Renown jteuses. Toutes les
visité
ne rite carton mare angine mat menés se cata ce un ee AR TES SERRES DO SRE ETS RS LE QE De Le da mdr pérennes ane den uen
L'usage dé tracteurs lég
1 L'usage se répnn@ de plus en ‘plus des tracteurs légers et écono- e petites bat. | manufnetures 4 aujourd'hui tientient sur le marché 28 Simpson un genre de butieuse qu'un petit tracteur de 20 forces sup: la coui- roie suffit à faire fonctionner, On peut battre ainsi de 500 à 900 mi- .nots de blé par jour smivant. les
ne Je
{ Les touristes sont nombreux
Saskatoon, — En plus de In Lin. son Francaise et du voyage de rU-, !niversité de Montréol, deux cents Saskatoon, Trente membres du ‘Boston Fivid" et du “Forest Club” sont en route
82e
, 8 Dodsland 33 Robsart circonstances, .Pouteix. — A 30 milles au sud D eneRe et LR on 4 Un cultivateur dit qu'il « battu d'ici, fes rêcolles ont été hachèes 11 Rouleau 36 Semans + 7,089 minots de blé en 12 jours a- [par Ja: çcrôle sur une étendue del, a me ee “vec üne machine de cette sorte, ob- C'est la première fois! 12 Humlin 37 SbaunntoR Eonant du grain de meilleure qua- 14 Protck Ft pavtson [lité que s'il eut attendu un gros en- . 15: Distey 40 Mossbank : trèpreneur de battages. Ceci Vonscoy et: Raymore ont cu eus- 16 Kinlev st Cabri 5 permit aussi de faire ses travaux te si Leaucoun à souffrir de la grêle, |! 17 Stoughton 49 Prelate , d'automne en temps voulu,
vriers
sont
terminée
qui pèsera environ 50 livres, tour est de 202 pieds de haut soit Will environ plus de 100 pteds plus hau- L'ancienne actuellement ner Un,pose du cuivre sur le cam- panile que lon a placé sur le haut de la tour.
À environ 200 pieds de haut une galerie fera le tour du campanile pour les visiteurs, recevoir au cours de l'automne les 54 cloches qui feront partie du ca- villon de la Tour de la Victoire,
;
‘Le service, quand on'en a besoin, doit être aisément accessible, prompt
‘et efficace. Le Service Ford est le plus rappro-
Le proprié-
quel moment et n'importe où, s’as- surer le service de mécaniciens qua-
lifiés —à des prix établis.
Voici encore une autre raison pour : laquelle plus de dix millions d’ache- teurs d'autos ont choisi le Ford
coimine étant le moyen de transport
è
Voyez vôtre plus préthe dépoditéive Féré |
u v n ; . ‘ \ : - nl
Q 6
<<
de LT Re Te CEE 0 Le. A tm, dde, D «
plus pratique et le plus
4. NTRÂCTEURS
|
En
4) à &
Le EEE
RATS
_—
a DRE
RE
KT
fs Ë JE
tour,
pour les montagnes Rocheusoé,
À Jeur passage à Saskatoon furent revus par ln Chambre Commerce,
Ottawa, — La our de In Victoi. re du parlement fédéral est prati- quement terminée, On'a posé le tiût dé 28 pieds pour arborer un drapeau de 20 pieds par 40 pieds
La
Les ou- termi-
. On s'attend à
ls do Om Un lunch leur fut sor- vi à l'hôtel du Roi Georges ét 19 Pique-nique fut organisé à In ocre me forestière,
EL EN |
La tour du parlement
A eme oi ! . t ! Lr EE . sÙ \ CT ° Le: À, © RUES 5 SE T ALIDES laver, 15 juillet 1925 "° ” | ; Page 4 vs . LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mesereti, 15 juillet 192 Le nues : DU = EE ES les = SSSR = = 5 a = ï T à È _ ‘ 1 4 0 fie dant à Re T Encouragements recus Entre deux nations .qui savent, 4 LS lticias at de B ÉGCne . ra : en grands coeurs,) : (Suite d Si Riel et les siens n'avaient pas! Honorer les vaincus autant que _ | | elevage été incités à la révolte par des les vainqueurs!" Ans 7 1 _ 5 Ühez nous, au , , Jblancs qui croyaient sans doute y Feti Lés ; 1] (ai É 5, QU plus flagrant mépris “rouver leur profit, (c'est Popinion Un voeu RS <è 4 As dU ; : de tout principel émise par N, PF. Black dans son ES — —— D , pe Enrse . , — e cléinence, d'amour, de paix Histnire de la Saskatchewan, (pa Espérons, c'est un voeu ardent : et d'équité, | 4°. 207) peut-être s'aurIons-nonS que je formé au nom des mes ‘À le face lus à lire ces pagrs sang antes, U Qu que respectant Ja paro e donnée Ÿ LP an Ame facacs een Taune géante eur b ee monde et de la liberté, | quon ne fasse pas de la rébellion! deux fois déjà, elle ne diminuera Du DR, PIERRE V OYEE CES deux gmployés, Cigaie John te soi classique de toute une agitation française! Le Rév pas sa gloire eu nous refusant de RER Van make L'un dépense tout indépendance, fines, ANAL longtemps norés. placer une inscription j ançaise sur ii donne de la force à VE GECONES VW anAnaker. JUL GEDCIIES LOUE eon Pris de férocité, gonflés. d' dans “Fhe Red Fndians of the Plain: | ce monument chargé d'honorer a ” {le un effet celutoire sur vos reine et votre fcie noirs Vamére en met ne partie de ets ! ° gonf onfre (page 197): “Non seulement les! mémoire des descendants de deux ile (sb ffet selute nn men re : salaire, l'autre éñ Met une parte de Côte. cuidance,| Anmiais eï les Ecossais encouragè | grandes races! Îl garde votre colonies ei Eure « ( On a vu des guerriers et des hom- | rent à persévérer dans ce qu'ils ap-| | Ts Îl fortife et construit voire syelotme on du urnes | _. | j ; mes d'Etat, pelérent une agitation constitution- Félicitations Un Essad Vouo Convainers. Îl est préparé d'herbes pures et Dans dix ane, le prersier SCra Sans travail, ; Juges, bourreaux, unis dans un nelle, mais beaucoup des princi- LL , . , esines, et ne contient pao de erozues nuisibles @t ecnduicont à l'usece q. | Le ancssaece ÊEue rs FO en .
75, même altentat vaux citoyens de fPrince-Albert Félicitations également à 150, continuel do drogues. Ce n'eot pa9 une médecine de droguiste. Elle le ceconc ecra Droprietaire Qu établisse. È ., , ‘| montrérent une grande sympathic} ciélé Historique de PFrinee cr est euppléce par des agent opéciaur, ISCrIVEE . Den Lattes Pacman. . Au-dessus d'un gibet qu'un peu- | pour agitation.” “Et ce même pré-| qui « pris sous ses auspices d’ho- DR. PETER FAURNEY & ment, Rien ne contribue davantage au
ple entier renie,| dicant va jusqu'à ajouter: “Je! norer aujourd’hui les morts d hier. DR PETER FAGLRNLE uccès d'un jeune homme ue des bi d
Groupés pour savourer un rûle crois fermement que si les parties] EBe a Fait genes sans doute ges Washingion Blrd. BUÊCEE j que des habitudes È , + Sustmentionnécs n'avaient point en-| paroles du Dr Murvaney qui à fai : F8 : 1
d'agonie! couragé, comme elles le firent, Riel] de cette épaque troublée me, étude d'économie. 3
‘ PE A , « » ie ar sir A LT enpsoiile: #4 a , û aïe ie " É
4 roi À 6 et ses adeptes par Jour appui, l'a-! spéciale: ous pouvons hafr Riel, TT # Droits des Métis gitation n'aurait jamais atteint Je} nous pouvons avoir en horreur Ja . . E
Paix aux morts! Paix aux victi-| degré de révolte ouvertel” À rébellion: mais lorsqu'il se sera é- ! OUVREZ AUJOURD'HUI UN COMPTE : mes inconscientes peut-être d'un ré-| 91 Riel ef les siens ont ëté cou couté un laps de temps suffisant ‘ ‘à vole blâmable en elle-même mais pables, que d'autres se frappent laf pour nous permettre de considérer D'ÉPARGNE À LA à que des circonstances expliquant poitrine! S'il y a eu révolte, d'au-] sans préjugés les évènements de : à sans pouvoir Ja justifier. Car, n'al-ptres en sont la cause! Si l'histoi| cette triste attire, il ny aura pas _ FL - ar É lo nc later Là nierre à cv ne ù , 5 eXCUSer; ne Soyons seul canadien digne de ce nom Ç AT MN ar in TENTE APTE à lons pas jeter la pierre à ce peu-| le Me peut les excuser; ne SOYONS Lun seul ca nd Clters ete Imira- BANQUE CANADIENNE NATIONALE È ple persécuté, Se souvenant de! PS de ceux qui les voucront aux! qui ne se rappellera avec admira : 13 1870, Riel avait formulé une distel Sémonies awils ne méritent pas !|tion et un sincére respect. Gabriel : E
16 oits des is de In Saskc A Dumont et sa vaillante petite trou- _ , : 15 des Droits des Métis de Ia Saskat- La bataille ve de compatriotes qui se battirent Capital versé et réserve Actif,
chewan. Cette requête, dit Mulva- nes,” fui envoyée à Olaswa qui, la init de côté avec dédain.” Cet au-
teur ajoute: “Ce fut là une fatale) on face d'adversaires cinq fois su- . LL erreur de conduite qui devait coù-| périeurs en nombre et munis del Je le sens bien, je n'ai été qu'un nn Of jer au pays un prix plus élevé en! canons et de mitrailleuses. “Is! faible écho de la voix et des coeurs É — ST ass PRÉ
hommes et en argent, Apathie fédérale
“El n'y a pas de doute que Îles
Et c'est ici, mesdames et mes- sicurs, que nos héros sont tombès
n'avaient que des Eusils à plomb, et leur portée était trop faible, dit Mulvanes. (Histoire de la Rébel- lion du NOuest, page 200) Mais les métis savent se servir d'un fu-
si bravement pour une cause con- danmée davance à l'insuccës.”,
(page 47).
des miens et pourtant, c'est en leur nou que je redis cette strophe d'un de nos poëtes, car nous la faisons notre:
“Pendant qu'un peuple acclame
$11,000,000 … $122,381,000
A tee (Ce L D) CÉARARE
6
dite ni aus sil, et ils adaptent aux circonstan- A k 1 | imétis aient eu le droit d'exiger des] &es Jes armes dont ils disposent, un fier triomphaleur, A CA É . S282 1€ NS it S, RL ù ur. , : LA 4 titres pour leurs fermes, et c'était} (age, 275). 4 Je même auteur, en| Pour ces blessés du sort tombés Rèes î une iniquiété, aussi bien qu'une im-! harlant des fortifications de Bato- sur des ruines EE
-prudence de refuser ce simple acte de justice" Histoire de la Rébel- lion, pp. 27-28), Cette demande u- ne fois agréées il n'y aurait jamais
che, dit que “C'est un véritable vit- lage de trous à carabines, coordon- nés d'une manière stratégique, en vue de dominer toute position et
nso- ldateur.
Agenoutllé près d'eux, les mains
Où n'arrive jamais de mot co Toutes Jes bières sont
bonnes—mais il y en a
eu dé rébellion,” affirme le même! hontr aucoup d'énergi sur leurs poitrines, SV
PE ; pue ontrent que beaucoup d'énergie ct} ,, H ; h , . | NA
éerivain dans Son Histoire de la| 44 jabeur, non moins que d'habilité, | J'enfonne un requiem où frémit de meilleures les unes . Nr L
Rébellion.” Et pourtant, de hauts
devaient avoir présidé à leur érec-
tout mon coeur!” & ‘ M que les autres—si vous
Our A OISE A UE ee LÀ We
personnages faisaient entendre tion, (p. 270). Ge qui faisait dire DE Lo rm re) DNS | : . ix. Mer Taché de Saint- RENTE FRE : 1 : A NO AT Lun 5 or ne 3 | jours VOIX: Mr Faché de saint au général Middleton: “C'est un vé- TI PE désirez la meilleure ie (é ASS dr» AN ESS ‘20 4 joniface, l'évêque anglican MeLean! tale Sébastopol!” Evidemment â ialSon "Fançalsé nn ne nil NN NA ZE iÀ de Prince-Albert avaient envoyé! ième en temps de guerre, on cul- qu il soit possible de se RNA. © ON SET 1 CHU Se Là ges Mémoires. Le Conseil du, Ne) fivait Fhyperbole à Batoche !! & rocurer, exivez Lu LE MED PRE ‘4 juest soutenait les réclamations! Cest ici ‘que quatre jours durant, û ] êf P » EXIS k des Métis. Tout fut inutile; à Ot-lén imai 1885, la bataille eut fieu ' a V4 tawa on se croisait les bras. On! Cost ici que, le 12 mai, les mélis, ia Bière de | ‘4 avait bien chargé en 1884, M. Pierce! Gomnençcant à manquer de muni-| Le convoi spécial, mis à la dis- Sasl<atoon Cultivateur, qni désirez nchetor un iraciour, #achelez pas avant d'a- É. voir vu ce que peut faire le Entcn Bicel Mule Granler Type Vous ne 89 Ë
de faire une enquête sur la ques- tion. C'est à ce sujet que Alexan- der Begg fait des réflexions qui ont lieu de surprendre, Pierce dit dans son rapnort: ‘Je ne pus exa- miner les réclamations des gens de St-Laurent (qui comprenait alors Batoche) vu que la majorité ne par-
position des exeursionnistes de Îla “Liaison Française” par les di- recteurs du Canadien National, par- tit de Montréal le 3 juillet avant- midi, A 5 h. pm. il entrait en ga- te À Québec, où une réception en- thousiaste les attendait de la part des voyageurs de a région de
tions, en furent réduits à trans{for- mer en balles des cailloux et des morceuux de fer. C'est ici que sont tombés ceux dont les noms de- vraient figurer sur une plaque com- imémorative chargé de es redire aux générations futures. C'est ici. sur cette terre qui a bu le sang des
rez ga trompé en achetant d'un apeul, cultivateur lui-même, qui poscè- | de le vrai tracteur, ot qui peut vous prouver ec qu'il est, ce qu'il y a de HS mieux, étant le premier en tête, dans un concours conduit par l'Univer- à
| cité de l'Etat du Nebraska. Achetez un tracteur, dont toutes les parties | roulent sur des Vicken Roller Bearing dans un bain d'huile à l'épreuve de Ja poussière; un tracteur ayant un Crank Shaft de 2%; pouces. dan:
lequel passent 2 pintes d'huile par minute, sous une pression de 25 à 45 livres par pouces carrés distribuant l'huile aux boîtes et aux cylindres
Brassée pat la blus an- cienne brasserie de la Saskatchewan,
: | M ait , RE LVTITE . A D , . a , | jaiens que le Ton ste rt insurgés et. des soldats du Pays, Québec. des directeurs de l'Action Th a $ A e 3 s avoir “interprète, “ “Æ en drocsa fo » i, d'a-| C: i sous atron: 5 A Snetn; > ’ : ? Ê 3-7-30 t-du 2ièmé
, OO anron olones 4 | que Se dresse le monument qui, d'a Catholique, sous le patronage de MR NAS iQ im EL n Démonstration de ce Tracteur, sur ma ferme 20 ouest du 2ièmé. mal placés eut ES: po | prés Îles stipulations d'un contrat laquelle le voyage a été organisé LH LHAStaioon TEA Ing SEE CATALOGUE ENVOYER SUR DEMANDE.
ii placer, peu Pa cé :lhitatéral, devait commémorer ic{ celte année, des autorités du che- % L c, LES IR 2 2 DBerse |
, « NE sont Le A ns ‘ at , | . } d* ë e Re, ns LEE co eurE xt —_ re des événements supséruon ta | Champs de Bataille de Batoche, et| mins de fer national ct d'un grand { DRPANRY Lumited ni : < Ex CRÉES IDErLErOE pue. rois qe P PRE LA LATE) rien autre chose, Nous comptons! nombre d'amis, ” : LL Ef AT; DETLEURLE Ageñt pour les districts d'Assinibois et Willow-Bunch. |
: s refus: , ù . ar de , A us ntoivoc , _. , ï Fe n 7 ! M :
sur la loyanté des signataires DOUTE Les membres de Ja “Liaison” ASSINIBOÏA, SASK. BOITE à
parler notre langue, qui est pour- fant une des langues officielles du pays. on s'expose, en eommettant une injustice grave envers ne pOor- tion considérable de la population, à des conséquences fârheuses pouf tout lé Pays. Ouand done le com: prendra-t-on enfin, et pour de bou ?
Etat du pays
Par suite donc de l'apathie des autorités fédérales le pays se trou- vat comme en ébullition. La ten: sion était extrême, et les discours de
Riel n'étaient pas de nature à la- Nous leur dirons que la pater-|pas intéressés , dit-il, à ce que les À fétiorer, Enfin! mais malheureu-| Passonts, ne tronvez rien d'illo- M. l'abbé Ouellette nelle bénédiction de Votre Eminen- nôtres aillent s'établir dans POuest à sement trop tard.….le gouvernement | aique en, cela: , , , . ce nous accompagne et qu’elle re-} canadien. , Cependant, il vaut 1 parut se réveiller et comprendre la} Tn ‘noble sentiment les réunit là, C'est M. l'abbè Ouellette, direc- tombe sur eux comme un encoura-} mieux qu üs s’en aillent dans 4 gravité de Ja situation, Des mesu-! Comme un gage constant d'union [teur des missionnaires-colnisateurs | gement à maintenir totjours en é-| l'Ouest où ils restent Canadiens 11
fraternelle,| du Canada, qui fit la présentation, veil Ja foi héroïque qui est l'héri- | que de traverser la frontière où is É
res de justice tardives n’empéchè- rent pas le Gouvernement Provisol- re de se former le 18 mars 1885.
a
EE
le faire respecter, en tenant compte de susceptibilités fort Tégitimes. Si l'Histoire a des droits, il n'est pas nécessaire d'en ‘buriñer toutes’ les pages dans Flairain! oo te
C'est ici qu'on peut en toute vé- rité vous répéter la parole du voête latin: “Sta. vistor, heroem caleas !
Arrête ici tes pas, voyageur, tu fou-
les une terre de héros!”
Ennemis
sur le camp de carnage, la Connmis-
sion des Monuments Historiques a
voulu les nnir dans un même tii-
Elle nous redit, à sa ma-
omphe! ! d'un voè-
nière, la strophe brillante te canadien:
D'entente cordiale et de paix
HU ee
ll} Nous sommes au rt tout térrains Saskatchewan.
&
torisés à fa
&
lement Avec nous.
fol
améliorés dan
s 44 Cela a montérent aussitôt dans des auto- Ésskatoon, Gask.
mobiles portant à l'avant des affi- ches indicatrices, pour aller ren- dre visite à Son Eminence le car-
dinal Bégin et au parlement qué-; 4 becois,
A L'ARCHEVECHE quoi nous sentons tous la nécessi- | té de venir Lui demander protec- Au palais cardinalice, ils furenti tion ef bénédiction pour ses cen- reeus par le vénérable Prince de | fants, qui ont jadis quitté la doulce l'Eglise archevèque de Québec, qui! province jour aller travailler à avait à ses côtés son dévoué auxi-| l'expansion de la race et de la foi liaire. S. G, Mgr Langlois, évêque-| dans les autres régions que nous titulaire de Titopolis, traverserons iusqu'au Pacifique.
+
Dans sa réponse, le enrdinal se!
courant ces contrées vous aurez un souvenir ému pour ces héros que furent Îles premiers -missionnaires de notre pays et nos ancêtres. C’est à leurs peines et à leurs travaux héroïques que nous devons l'état acluel de notre pays. Nous de- vons en vemercicr Diet
Sovons de vrais Français. Soyez de véritables apôtres de liaison française.” Il termina en rappe- lant quelques souvenirs de ses vo- vages dans l'Ouest, et donna sa bé- uédiction aux voyageurs.
AU PARLEMENT
Après avoir salué au passage Îles bureaux de l'Action Catholique, dont la réclame pour le voyage de la “Liaison” à élé couronnée d’un Si beau succès, les excursionnistes prirent place sur Jes banquettes des députés à la législature de Qué- bee, L'hon, M, Caron, premier mi- nistre intérimaire, fit avec l’hon C. Delâge, suriitendant de l'Instruc-} tion publique, les honneurs du Par-: lement, !
5
la région Si vous désirez un emprunt, entrez en communication
&
.
Le Dr Dorion
M. le Docteur Jules Dorion com- mandeur de Saint-Grégoire le Grand et Chevalier du Saint-Sépul- cre divecteur de 1,Action Catholi- que. fut l’interprète des voyageurs auprès de M. le Ministre de l'Agri- culture,
“M. le Ministre, dit-il, je ne crois
pas qu’il soit besoin de vous dire dans quel esprit est entrepris ce voyage de “liaison française”. Nous
allons répèter à ceux
CL
2
LE L à Fa
e
le
À fic eu | Ÿ à Le
MERS.r Debden, Sa
—
|
tablis -bas qui pourraient se crai- re perdus, ct qui seraient peut-&- ire ainsi disposès à s'abandonner,
| il ict de Del !
! l une famille, faguelle pense à eux. di Nons nous en Allons nous voir. Lil “Et en allant nous voir, nous re- ° d sarderons aussi si quolque part ül filnix a pas de place pour d'autres,
ti| qu'un esprit d'aventure, peut-être
Al hérité des ancèires, attire vers lin-
connu, Qu pour ceux qui, pous-
grisés par le besoin, se lnissent plis.
ser vers la résnblique américaine, Nas vendrions. pricqu'il noi nas : l;: issible de gacdlep fous Tes nôlves | 4
S
des nôtres &- |
qu'ils ne sont pas seuls, qu'ils ont |
&tiCs
dans la province de Québec, que ceux-là qui veulent absolument par-{} tir restent au moins Canadiens.
L'hon. M. Caron
L'aïlocution de M.. Caron peut sé résumer ainsi: “Nous ne sommes
eviendront Americains. Ils se- ront moins exposés à perdre leur langue et leur foi s’ils restent au
M. le surintendant de l’instruc- tion publique, qui paria ensuite, pria les voyageurs de se charger d'un message de sympathie, d’ad- miration ‘et de confiance pour nos compatriotes qui sont établis dans es lointaines contrées de l'Ouest canadien,
A L'UNIVERSITE LAVAL
En quittant le parlement, la “Liaison Française” se reudit chez M. Camille Roy, recteur de l'Uni- versité Laval, à qui'elle fut présen- tée par M. Donat Bergeron, premier prix du «concours de “Liaison Française”, vo
M. l'abbé C. Roy
Les paroles du supérieur du Sé- minaire de Québec furent un peu la contrepartie de celles de l’hon, M. Caron et-une ouverture moins é- troite sur les relations de l'avenir entre les groupes de l'Est et ceux de l'Ouest,
H faut, dit M. Roy, que tous les Canadiens-français n'oublient pas qu'ils sont des frères dans quelque province qu'ils soient, Ce qui im- porte, c’est une union étroite, une union agissante, pour que la gran- de famille canadienne française ne soit pas disloquée, pour que Îles pierres de notre -fover national ne soient pas dispersées, pour que Îles: liens de famille, ne soient pas rompus. Cet isolement des nôtres dans les autres provinces constitue- rait un affaiblissement de la race,
frères éparpillés, tune menace de disparition prochaine de tous ces foyers où brille la flamme de la
€ à la gare, une foule nombreuse s'était réunie pour souhaiter bon voyage aux exceursionnisies, Son Honneur le Muire Samson avait to- nu à les saluer personnellement en son ho et au nom de la vicille capitale. ‘ Le couvoi se mit ea mauche e cs 110 veyaconrs filbrent tlOncst n
4 Le wep
JCTS
|
,
| |
|
un danger d'absorption pour nos |! {|
race, ct, sur nous, du Québec, une | diminution de force de notre ra Le. a}
|
ñ
Ê il
Énss
, CR
Les plus beaux spécimens de produits de la fer
culinaire, Ouvrages de fantaisie, Peintures, ete, etc. à votre admiration.
uernént exPusé
Camp des Jeunes Fermiers Fanfare de Prince Al és
Concours
9 p d & Couces de Chevaux Attractions acrobatiques
F]
8, Bibby, Président . John P. Curror, S
RE RAUU Canada que s'ils vont aux Etats- dit tout d'abord heureux de rece-{ Unis. ° : ° 8 SR FC î ï voir Les voyageurs de la Liaison Bestiaux, Volailles, - Produits laitiers, Racinages, 4 6] Ai à se | «11 . 66 re. 3 Fr + L s 4 4 francaise, Puis il ajoute: “En par- L'hon. M, Delâge Légumes, Plantes, Fleurs, Âvris domestique et É
Cinq ravissanis modèles de bonnets du inatin, pouvant se faire en qulle blanc, et bandes de toile brodée, ou bien en soie, brodée en couleurs, | neutre {ange de dentelle valencienne, Paîrons au Carbone, chacun, 15e. ! d'esprit où de tendance, se prépa- 92.00 suivant le tissu. Coton à bro-{r®, d'après la rumeur qui va s’ac-
ave mé À à
Perforés, SÛc. Tout étampés, 50c à
der M.F.A. 4 écheveaux à 4c.- Grande feuille de papier carbone, bleu où blanc, 15c.
Demandez
Canada, sur réception de 35c. |
/ - + X7
-$y S $ ï & <-
Raoul Vennat GAZ rue SiDonss, Tél Eoi 5068
> ot, Tél. Est S051
_5..BARGAINS EN MUSIQUE "+ {1 recueil de piano et 3 mélodies américaines, 9-3 morceaux de piano, faciles ou assez faciles, et 3 mélodies américaines, Ü 496 morceaux de piano faciles où assez’ faciles. s 43 vecueils de chansons françaises, et 8 chansons américaines, ,% 8-6 Chansons américaines, ©
Chaque bargain, $109, port et assurance compris.
D
PRET RAT CET
pour deux grandes compagnies d'assurance aux en- , en 4 4 “ - droits où il n'y a pas de représentants AJUSTEMENTS EGUITABLES Mentionner l'accupatiof ‘en faisant application, Moose-Jaw, Sask.
rm
{
es
notre catalogue de broderie, euvoyvé franco dans tout le
+
EE SEE
PEER PRES 2
| | | Argent. complant jour voire dGurre
Les expéditeurs de crême réalisent l'avantage des affaires faites au comptant durant les mois d'été, alors que Îles autres opé- rations de la ferme ne rapportent auctii revenu,
È { Les prix de la crême sont bons, le marché des beurres ge main-
| tient ferme et tout indique une année prospère pour le laitier,
Pour recevoir les plus hauts prix, prompte remise et un ser- | vice satisfaisant, expédiez votre crème à
Gashatehewan Greamery end lee .Groënt Ga. Limited
Re
Î Suceursales :— ‘ | ASSINIBOIA, CARLYLE,. CARNDUFF, EMPRESS, Î
F
GRAVELBOURG, MAPLE CREEK, MOOSE JAW, REGINA, SHAUNAVON, SWIFT CURRENT, WOLSELEY,
0 , = ELLE TZ
Une recette pour augmenter ses forces et avoir. Une bonne santé
2
paraître les malaises dont elles se plaignaient, j'ai eu HM'espoiy qu'en prenant ée re- mède je réussirais moi aussi là améliorer masanté. Cest. bien le résultat que j'ai ob- tenu”. Mme Wilfrid Gis- gras, 27, 15ème avenue, Las chine, Montréal.
Depuis près d'un an je souffrais de névralgie, j'étais faible, je dormais peu et-le matin je me levais accablée, Un jour, j'ai décidé de con- sulter le médecin de la Come pagnie Chimique Franco- Américaine qui m'a donné de très bons conseils et ma prescrit les Pilules Rouges. Je n'en suis si bien trouvée qu'il me semble que je ne rendrai jamais d'autre re-
S Mme JOB CLOUTIER, 642, rue Reckinghasn, Berlin, fl LL.
“J'avais de telles douleurs aux reins et aux côtés que ‘tout travail imétait des plus Pémibles, T'étais excessive. i ment nervous et minquié. inéde”, Mme Adélaÿd Robi- tais pour la inoindre'chose. Je dormais peu tant j'avais l'esprit préoccupé. J'ai pris des Pilules Ronges pour re- iatre mes forces ; une voisine M avaitditque totis mes trou bles étaient dus à la faiblesse, ct ce remède m'a si proinpte- eut remise que je s’hésite ücunement à le recomimean- der aujourd'hui”, Mine Tes. Es 542, sne Recking. 8, Berlin, N. FH
pa e Le
Sherbrooke, P. Q.
CONSULTATIONS GRATUITES. Les méde- cins de la Compagnie Chi- mique Franco- Américaine donnent des consultations gratuites à toutes les feinmes qui viennent des voir où qui leur écrivent.
iles Rouges pour les Femmes n vente cher tous mères el sont EAnS
Q el ba re)
& . ge : 7 Outre Îa faiblesse, ë ède le meilleur trasché. Cepuis deux ons, des Eh de cubetituticns vayez
ao les véritables Pi gocnieChinique
reus
de torncs, des douleurs dec 8 Uraillements destor Ge Ayant remarqué, e:
sal
86 les journaux, que nom.
heu
t a ù
de) Pass as “SCSICHNNES, Ch ae
| 4 \ ce
TT Lure forces avec les Pi PA RTOTRS, Qraicut vu dis fimilée, 274, sue SUlents, Montreal.
ci doux, 57, rue Wellington,
l{leur paroisse es restes mortels ses chers enfants.
près une maladie qui a duré deux
LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 15 juillee 1925
F il
F mu issa Tee N : go © intotiialion catholique
Les deux journansx annlais de Cubbcc ont smnoncé que Son Eni- luctce Île cardigal Bégin, n’osant bircudre de lui-même une aîtitude LEcILIve au sujet des clubs sociaux Leuires avait soumis la question at Juscment du Saint-Sière. Nous ne CCuions pas que cette information ait Cié publiée en toute bonne foi; ais d'où part-elle? Ne viendrait- elle pas de milieux intéressés? Don- NCE à entendre que le monde ec- clésiustique hésite-h se prononcer, que (oute l'affaire est.en suspens, c'est Une manière comme .une antre de gagner du temps et de fortifier ses positions au milieu de {a po-
pulation catholique. Coïncidence singulière, une certaine société, d'enseigne, maçonnique
créditant, à lancer une souscrip- tion, à Québec même, eu faveur de ses oeuvres, Celte souscription, disent les informateurs, serait n- morcée par une promenade des en- fants pauvres en automobile et puis, advenant le succès qu'on es- compte, la somme recueillie ser- virait à la construction d'une lo- CSSS F Cr
SE
$ -- à ru, $
ù PB A
Clubs et sociétés neul : Ci 1 F5 Us ss 25 2 | L D'I ETR72TS | LiDs ef socielés neuires
ge où la whilc fer plus far ec toute son im- | pressionnoute ujeste!
Goîte dernicie nouvelle renfer- me-tolle plus de vrai que la pre- micro? Pout-élre que oui, Quoi qu'il en soit, renscigacments pris à bon-
Le £ es el [au pue) es = S LS] A e bee = g en _ +] 2 œ a] en 1
ne source, HOUS NOUS CFOVONS en mesure daffirmicr que la question
des clubs neutres n’a pas été por- ie à Nome. On s'est done tenu et on continue de se tenir, en la tma- tière, aux directions générales de l'Eglise, qui ne tianquent ni de pré- cision ni de’ force.
Le grand page Fie X écrivait à M. Louis Durand (17 'avril 1910: “Vous voulez £rès justement que les procèdés d'action sociale, qui sont véaimont capables de réaliser un grand bien par Île maniement des intérêts économiques et par ln for- mation des élites, s'écartent résoln- ment du peruiciotux principe de la neutralité relfsicuse, et vevôtent un caractère catliolique plein de pré- cision et de noîtoié, dans une union disciplinée.”. °
Léon NII de son colé avait Fait
Sete
«
VELLE
Mort de là Supérieure du Cou- vent.de Gravelbourg
Québec. — La Révérende Socur St-Alphonse, des Soeurs de Jésuis- Marie, supérieure du couvent de Gravelbourg, Saskatchewan, est dé. cédée au couvent de Sillery où elle était depuis quelque temps. La dé- funte était âgée de 67 ans-et comp- tait 47.ans de vie religieuse, Ses funérailles ont eu lieu à Sillery.
Le Patriote offre ses plus profon-|
des sympathies aux religieuses du couvent de. Gravelbourg, ct à tou- te la vaillante communauté des Soeurs de Jésus-Marie.
j .
1:
Les restes de Dom Benoit
N.-D. de Lourdes, Man, — Les pareissiens de N.-D. de Lourdes s'étaient cotisés pour ramener dans de au at
Dom Benoit, mort en France cours d'un voyage." entrepris printemps de 1915. La guerre e les conditions lroubiées qui la siti- virent ont retardé le transfert de son cercueil de ce côté-ci de l'o- céan, Le 30 juin dernier un train du C. P. R. l’amenaîit à destination et désormais le célèbre hiographe de Mgr Taché repose au 1rilieu, dé
—æ
+ ie : es
Deuil à l’Hôtel-Dieu de Nico- Jet
Nicolet.—La supérieure générale des Soeurs de PHôtel-Dieu de Nico- let, la ‘Trés Révérende Mère Al- phonsine Martin, est décèdée àa-
mois. La défunte qui était âgée de 53 aus, comptait vingt-ncouf ans de vie’ religiewse. File était la fii- le de M. et Madame Louis Martin, de cette ville. . Te
Une croix lumineuse à
Québec
Québec. — Comme Montréal, la ville de Québec aura fort probable- ment sa croix lumineuse, “Si ja suggestion du Dr Paradis, échevin, est adoptée, la croix élevée devant le monument Cartier-Brébeuf, à St. François d'Assise, il,y a plusieurs années, sera illuminée.
Cette croix est érigée à l'endroit où Cartier a passé l'hiver, en 1535, sur les bords de la rivière Lairet, à Stadacona, Elle serait vue de toute la ville, le soir.
EE RS Nr
fihamine dn Las Chemins de Fer.
A anr ) Ë ac …
Soumission pour dormants en bois mou.
—
Des sourmissions cachetées, adres- sées an vousdigné et cendensées “SOUMISSIONS POUR DOkK- MANTS"”, seront reçues au bureau de l'Agent Général des dormants, chambre 802, Edifice de la “Cana- dian Express’, rué MeQt, Mont- réal, jusqu’au lundi midi, 8 noût 1925.
Ces dormants de chemin de fer devront être de sapin Douglas, d'é- pinette (Hemlock), de pin (Jack), de tnmaris (Tamarne) ou de cèdre. Ils devront être coupés entre le er octobre, 1925 et le Îer mai, 1928 et remis entre le ler innvicr, 3928 et Je 30 septembre, 1926, £. o. b. sur les chars des Chemins de fer Nationaux, daccorg avec la spécification den dormants, Né. 5 3 W-1.3, datée âu 26 imillet, 1923, .
Tous les dormant, à l'esception de ceux de pin, devront être écor- cés. Les formules de noumision peuvent être clientes de Pâgent des dermants, à Moncton, Forento et Winnipeg, eu de lAgent Général des dermants, Montréal.
Reulas les soumissions en forime seront acceptées par la Compagnie La soumission la plus Basse n ent pas nécessairement aecopiée,
WT, GRAN, Anont Général des dormants Chomin do fer Candions Natianons, . ‘ Montrésl, Oué Le 2 jnillot, 1025.
Québec, — Doux miracles ont êté rapportés à Sie-Anne de Berupré, a semaine deruaiére. Mile Marie MekKenzie, âgée de 16 ans, de Dé- troit, Mich,, qui depuis son enfance souffrait d'un déplacement 4 une hanche, a été guérie après avoir passé tie journée eu prière au sanctuaire de: Sie-Anne,
Roméo Bilodéanr, de Biddelord, Maine, a été guéri d'une infirmité au-pied, Depüis plusieurs années il ne marchait qu'avec l'aide de béquiles. Au sortir de la, messe il put marcher sans aticune aide. DR RE CEET ES
Grand pélerinage américain à Ste-Anne
Québec. — Plus de douie couts américains de Boston, de Manches- ter; de Lowell ef de plusiéurs au- Îres centres amérigains se sont ren- dus en pèlerinage à Sainte-Anne de Beauprè,
- Cest La première fois que les a méricains viennent fi "aussi grand nombre rendre hommage à 1 bon- pe sainie Anne, . & & TOUT ne "RE . Le” ‘Le pare honcéc léc Chevaliers - pen |
Rome, — Sa Sainteté Pie XE vient de remettre au Chevalier suprême, A, Flahcrty, ne médaille d’hon- peur. | His .1À cette occasion le Pape à loué l'oeuvre éminemment humanitaire et chrétieune des Chevaliers de Co- Tomb et les a bénis ainsi que leurs familles,
RE CRC TU Vol de un million ‘de lires au "Vatican
/ . Rome.—Les trésors sans prix de) reliques religieuses, historiques ot |!
artistiques du Vatican ont été vio-
lées par des vandales qui $e sont in-|!
troduits daus le trésor de $, Pierre et s’enfuirent emportant. tn certain nombre d'objets estimés d'un à trois millions de lires.
Les criminels employérent toutes ù les précautions nécessaires, se ser-|l
virent de gants et 1e laissèrent pas
d'empreintes digitales, ls forcèrent |
la porte de la pièce adiacente au trésor et entrérent dans une des chambres où se trouvaient lés ob. jets précieux, Après avoir fait le sac de la chambre et s'être empa- rés d’une demi-douzaine d'obicts qu'ils pouvaient transporter faci- lement, ils prirent Ja fuite, Faissant derrière eux une échelle dé corde, ‘des torches électriques ct dés ou- tits de cambrioleurs.
Les objets volés comprennent un anneau d'or d’une valeur incom- parable serti de saphirs et de dia- mants, qui orne le doigt de fa sta- ie de saint Pierre dans Ja Basili- que à certaines occasions: un né- cessaire en or pour célébrer la messe, donné à l'église St-Pierre par le cardinat Merry del Val; une croix d'or présentée pas ke roi A phonse XHIII d'Espagnes une croix d'or sertie d’éméraudes donnée par la vépublique de Colombie ; une croix d’or présentée par le cardi- nai della Volpe: un.vase d'argent orné de dianants qui avail appar- tenu à Pie IX; un cihoire qui fut lrissé dà, vu que les voleurs era. vaient qu'il était d'or, tandis qu’il m'était que d'argent,
Au taux actuel du change, la lire
‘vaut 4.68 sous. .… Le cardinal Merry de) Val, ar. chiprètre de St-Pierre, a déclaré hier que les pertes subies par St- Pierre dans ve vol s'élevaiont à plus d'un million de lires (ŒEnvi- ron 529,800 au tmx du change),
Ieurensement que les voleurs ne savaient pas sans doute que Îles obiets les plus vrécious étaient près de Jà et qu’ils n'y ont pas tonché. … ,
Le Saint-Pére s'intéresse persoun- nellement à l'enquête at suict du
sou-
L'oudoce de ves velours on
vol m'est commis sur Îo iorritaire du Vatican, qui n'est La 5 Ja iuridiction, de l’état, ei o7 Î lempressement de Pi hendor les crimineis : raporochement qui ie onire {
PEolice et res pouveils onnonRe
cent mie Îcs
Ld . Les celiurcs LCUx
l'imporiante déclaration qui suit |
‘Un jeune canadien-franeais, M!
nm
or
: 3 DR RER
rer, Diese Jours ni 116 pris Gti 2e IMG
“Jamais nous n'avons engagé les catholiques à entrer dans des ns- saciatious destinées à améliorer le sort du peuple, sans les avertir en mème temps que ces instifutions devaient avoir la religion pour ins- piratrice, pour compagne et pour guide,”
Dans une lettre an pouple italien le même poutife disait: "Oui, gè- tévalement il faut tenir pour sus- pectes et éviter les sociétés qui, é- chappant à tonte influence voligi- euse, peuvent être facilement diri- gées et dominées plus où moins
par les francs-maçons: if faut évi- {|
ter de nième celles qui, non sele- ment prétent leur nide à fa secte, mais en forment pour ainsi dire la pépinière et latelier d'apprentis- sage... Souvent cette pliilantropie que l'on oppose avec tant de pom- pe à ia charité chrètienne, n'est qu'un faisser-passer pour fa miar- chandise maconnique,”
Le RP, JP, Mothon, Domini- cain, expose aussi fidèlement que brièvement x règle de conduite que nous trace l'Edlise, lorsqu'il écrit dans ses Institutions canoni- ques (t. Lo urt, 1678, par, 21: “Les liques catholiques doivent s'ab- stenir, dans les ocuvres d'ordre so- dial, de dépenser leurs énergies mo- rales et leurs ressources pécuniai- res dans les oeuvres neutres, ne s’üuspirant pas de la doctrine ca- tholique, el n'élant pas soumises aux droits et à la direction de PE- glise.” Qu'on pèse bien ce texte si
+] chargé de sens.
La question des clubs et des su- ciétés neutres n'est donc pas nou- velle, On sait ce que l'Église en pense. Au lieu d'attribuer à Son Éminence le cardinal Bégin l'iu- certitude, le doutes au lieu de se le représenter comme à la recher- che d'une solution, chacun se rap- pellera plutôt La mise en garde très claire que le vénérable archevèque adressait Pan dernier aux fidèles de son diocèse,
- Un certain nombre de catholi- tes québécois sont entrés dans des clubs neutres et méme dans cet- te société au rituel suspect dont
CESSE
‘ e- =
DEL Le but de cefte Coapérative esé ce-
Jui d'une grande ussocialion pour l'avancement d'intérêts muluels,
Expédiez nous vos produits _ CRÈME OEUFS VOLAILLES BEURRE
N'importe laquelle de nos 27 crè-
merics (la plus rapprochée) sera
heureuse de vous faire parvenir Île prix courant du marché.
Vous recevrez nafisfaction de votre vropre Compagnie.
EXPEDIEZ-NOUS VOS VOLAILLES Saskatchewan Co-Operative
Creameries Lid, REGINA + - - SASK.
CRE ERNEST COLFRON __ AVOCAT Laflèche, Sao.
Pour le meilleur CHARBON QU BOIS appelez
| 9004 l'The Northern Cartage Co. Ltd.
ASPIRINE
Méfiez-vous des contre fa cons!
“A moins que vous ne voyiez le nom de Bayer en croix sur le pa- quet ou les pastilles, vous n’obte- nez pas les véritables aspirines Ba- ver reconnues sûres par des il lions et prescrites par les médecins depuis plus de vingt-irois ons con-
tre
‘Rhumes . Maux de tête Maux de dents Lumbafo Nephrite Rhumatisme Névralgie Douleurs
N'acceptez que Îes “pnstities PAS pirine de Bayer”. Chaque paquel non décacheté contient un mode d'emploi éprouvé. Les hoîtes facile ment maniables de douzg pastilles ne coûtent que quelques cents, les
€ bouteilles de 24 ct de 100.
Aspirine est Jo marque de Balorh- que (enregistrée au Canada) de la manufacture de Mono-accticarimcs- ter de salicacide de Bayer. Guoi- qu'il soit bien rocofint que Le] EnoË Âspirine signifie produif de Loyer, afin de nretéger le publie centre Îes leontrefacons, nous CIanperons Gr tes tablettes de la eomnannic Mayer
te] £ 6
Sa ina Le de Payer on CHOÏE ;
EN Gr Du eme po Le pi me)
pharmaciens en vendenÿ aussi des |
re cénérealo de fshriqus, Ie :
amont 24 a nee enr
nous parlons au début de cet artt clé Leur bonne foi a été surprise, sans doute, Quelques-uns, se ren- dant compte du danger, ont quitté définitivement ces sortes de clubs et de socidlés, Hs ont bien fait, Les anires he larderont pas, espérons- le, à üntites loue exenumle,
On se gardera d'encourager, de quelque favon que ce soit, tes ins fitutions quelconques de cartett- re social qui visent à la neutralité religieuse, (SE ©)
Siret rate è We CENTS Lee I CERTES
l Reéxse REA ETS
EL RG LLONPTOEETS ASE ES
Reconne le meilleur deguis 1857
(Minent infntile
éprouvé par le
temps Gratia-. Livre des Détiéa pemandez À The Garden Co,
Vo
LE MAS CRE A
SR RE LE EEE
=
€ e Vrets AU enr DE SOB, Engraisoé de 45 fivreo SH y à quelques années je fus prise d'une maladie d'estomac” é- cvit Mme Atuétie Pearson de Chica- go, HD Gtuis malade aprés char aue repas ef perdis mon appétit, Je devins très mia are. Le Novore du Dr Pierre nra complètement rétablie et j'ai en- graissé de 45 fivresf” Ce remède vé- gétal bien connu améliore ta diges- lion, augmente l'appétit, végulurise
complètement
EU Washington Blvd,
Livré esempt de douane au GCa- uudu,
Sn arrêtées de fa ||
con permanen- te par mède
le re
- sic et Crises. Simple traitement à domicile, Plus de 35 années de succts, liers de témoignages de toutes les Faites venir J: détails
parles du monde, brochure gratuite donnant complets,
Ecrivez tout de suite à
TRENCH'S RÉMEDIES LIMITED) 7
1177 St. Jarmes Chambhera 79 rue Adelaide Est (Découpez eccl)
! * Li Lé l'avoir du bois et des maté“!
| la valeur de votre argent, venez nous voir,
Nous sommes ici. pour|| vous servir.
MeDIARMID LUMBER Léd.
Co.,
<<
DRS GREEN & BDORGAN CHIROPRATECTENS Service Neurwcalomètre
Àsoimibota
{ ! i ! } J Î À ' ï
et
Fournitures pour Laiteries Crèmeries Beurreries
et ; Fromageries
Toutes commandes ou demandes (d'informations recevronf l'attention
| de PVO f, IA
u \
TT
36, llace d'Youville
nn en ï
Chivago, Li
French “ ? contre Lbilep-{f
Des mil-{|f
Toronto, Can. |i
les selles et est hon pour Le systé- Fi me. Ce n'est pus un article de com [à merve, des ngenis spéciaux Île four- if nissent directement du laboratoire li du Dr. Peter Fahrney & Sons Co, lé [riaux de construction pour!}
F'Page 34
SRE EN Pr)
iottre de Mme, Âyare disant Comment le Composé Végétal de Lydia E, Pinlsham Fa cod le ons (QE) SRE Villes, Snslke“J'ni pris > Composé Végétal avant mon der niet accouchement, car je me sen- ais st mal que je'ne dormais pas Fa nuit, avec douleurs dans le dos et les hanches, et le jour, je pou- vais À peine faire mon ouvrage. Je mai jamais nccouché aussi Faciln- ment, et c'est mon sixième bébé, J'ai hui Huelque' chose au sujet du Composé Végétat de bydin PF, Pink han dans le ‘Farmers Tolegrim, ct j'ai écrit pour avoir un de vos livres. Nous tavons pas de phur. mMacie jet, mais j'ai vu votre romè. de annoncé dans le catalogue de 'l, Laton, Je suis l'épouse d'un arr culteur, done jai à faire les {ra- vaux appropriés, Mon héhé est una jolie fillette en santé qui, À an naissanee, pesait 9 livres. Je ma porte bien, après avoir préparé un grand Jardin depuis sa naissance, (lille est aussi bonne qu'elle pont l'être), Votre remède est le meil- leur pour les femmes, j'en ai parlé et même éerit à mes amies. Mme Annie 1, Ayurs, Spring Valley, Sne- katchewan, !, : Le Composé Végétal de Lydia KE Pinkham est excellent pour les mè- res dans Pattente, elles devraient en prendre durant toute du périodé,
foutifie et lonifie le uystéme en géhéral, afin de le faire répondré aux dessoins de Ta nature sur tous rapports, Tous les pharmiiciens ven EÉsuayoz.lo
dont co remède fiable.
B L GUAY
Constructions pur control CENTREPREN HUE)
du Coîllèye Mathieu :
GRAVELBOUNRG, - - - HASÏK ||
Horloger-Bijoutier
agent pour
RADIO
Westinghouse
Le meilleur au meilleur
marché.
Gravelhourg, Saak.
sous a direction des
LI SOLURS DE 'ASSOMPTION DE); i la S Ve
où lon élèves reçoivent avec und
M édiention hoignée, l'enscignenmont dpréparaloire aux exumeng do loi! Province,
Attention particulière dunu6o 1à aux futures institutricen bilingues. B | Adreute:
SOEUR SUPERIEUR, ; . Battloferd, Saok.)}
prregmg nie. Lime 2er +
Pencionnat Notre-Dame du Sacré-Cocur, Prud'homano Saoit. L
| Désirez-vous donner à vos enfants une éducations soignéc, un cours d'études tel que demandé par la ovince de la Saskatchewan? A- dressez-vous aux religieuses da la Providence, ‘
Outre le français qui reçoit uno attention toute purticulitre dans les classes, on enseigne La musique, lo dessin et les travaux à l'aiguille 9 tous genres,
Les jeunes filles désireuses da 0 livrer À fa carrière de Penseigne- ment trouveront dans cette institu- ion chtière facilité pour se prépa- rer aux différents diplômes requis à cet effets elles sont donc admises & tout âge; les garçons 6on accci- tés jusqu'à leur treizième année.
Pour plus amples renseisnemonts, SalresseT h Révérende Mère Supé* rieure,
"COLLEGE D'ÉDMONTON dirigé par Îes TE
PRES SÉSULTEO T et agréré à lUniveraité Pavel COURS CLASSIQUE bilingue, à ba
arés de bachelier et donnant Ge cts à toutes les carrières, eCcétr doce, droit, médecine, ete, COURS COMMERCIAR Ci anglais, tenue des livres, clavigraphio, et Ge nographie, ete. Gollation, do «lis plémes d'affaires . DOUCLE COURS PREPARATOINL, franenis et anclais, préparant aux Leours Classique et. Cammereint Adeczzos Rôv Pèro RECTEUR
LE
Collèro des Jruites DOMONTON oo os ©
se française, conduisant GUR êC--
+
uillet 1925 + CT oi
155
“LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi,
ed
fut jadis svhip général du parti
plus un industriel en vedette, à la tête d’une des. plus grandes tricote-
ee de mac my RL e ° ST VC conservateur à Ottawa et comme . : CARTÉL DES LES NOUVELELIS tel fut intimement mêlé à l'orge Ua et d À L LUE | L. dé © | dr e s hu es ù
‘ N EEE napataetentmp der À esters nique neren-ransmerehenrmmntpetententens mnt] . . ts
|
GRAI CHEZ NOUS ET AÎLLEURS
Chgaue âere de terre, ensemencé de grains, autre que le blé, est oh or LES M) ries. 4 Duse M. Barnjum élu dé ‘ : opte dans l'é er en ns . RER suté de Queens, est déjà connu avons " Quel cntsé dans l'évaluation faite par le gouvernement; sur elle aussi Put le pays, à cause QU avons Un approvisionnement concidézalta |
e da propafll gande retentissante qu'il a condui- |} de d’un bout à l’autre du Canada en faveur d'un embargo sur l'expor- tuotion du bois à pulye_sanadien ; 3l a dés intérèts matériels impor- tants dans Ia Nouvélle-Ecosse, où
doit repeser notre objectif. 0 est donc nécessdire que chaqug cultivateur qui cème de ces gréins : | ‘
quarcl
| cais a été défait aux dernières élec-
ions sénatoriales par le radical La majorité de ce der-
Daudet est de 143 voix.
D] ji
_— Une pulperie d'une Mnnseau.
M x : «
Winnipe .
_ Signe un contrat
capacités de 209 tonnes, au coût de nier sur Lants ans N'Ros i à ae 2 ue EE De onu EM LL où dl em de Petourner. Un 1 aréé mous. C'e. Île euccés assuré du Cartel. qu d'rant een DL 'mOiS d dune. En reconnaissance au général des autres députés, consenrafeus \ ms Te dre boss Sa construite à one me Mangin es cher rés agressif de à | lexandre, Mans, par la “Spanish Ri- Te AT rot trés APS Ü ni dé : riété : on couservatrice, & Hal Ün permis de ‘ventes locales sera donné, sur ver Pulp and Paper, en socièté a-| Paris, — En récompense des | POPPOS tons a présence, dans la |
vec JD. MeArthur de Winnipeg services du général
de ! Mangin, arti-| Fort-Alexandre est situè à Vlem- san de la grande
victoire de nouvelle députation, dé quafre dé-
demande, à tout membre du cartel. ‘La seule ccndition requise a3t de fa’re connaître au bureau putés acadiens, tous conservateurs,
a
4 ü
| chef, ces ventes, à la fin de la saison. bouchure de la rivière Winnipeg France sur l’Allemagne, la ville de AIM, Aucoin, Leblanc, Robichaud et | |! . À ji 1 ue nr eee DS ne une _ ä environ 795 mi es au nord ce e cet- Paris donnera à fa CUVE du gé: | d'Entremont, cé dernier de la vieil | TRenoinniée Gour la aualiré lé een qua ch: LÀ À te ville, 1 pis al Ja sonne je 50, QD francs, le famille d'Entremont, famille qui, IRENCHNEE F la qualité dé sés'marchandises || Pope ee : La construction de ce moulin tandis que la ville de Metz lui à, ,: st ne faisons erreur: a donné ae ” rm oo 11 Énvoyez aujourd'hui votre contrat à la doit commencer dès maintenant, voté 30,000 francs. Ces deux som- | | Ant Siècle le premier député de À L 2275 de Es HE PEURN, gérant ne ee ere més sont données pour l'éducation je francaise à l’assemblée 1é- : « # Le Le si < cs :
des'enfants du grand général, tive de la Nouvelle-Ecosse. La
Moins de téléphones que
| Saskatchewan Wheat Pool
isla EL Ÿ Dee : Fe “pres : ss ; UE a - Féputation * conservatrice, on le : | ; 4 Edifice Sherwood, Régina, Sask.. d automobiles Menace au Gouvernement voit..reuferme des figures a come ra — ns ——. : : TT nte" té des noms déjà connus de notre .- Fe ==) à ° Détroit. — Le nombre des au-i . | français province. Jl reste à voir quel gou- Uù Pasnnhlet. du tomobiles. aux États-Unis (épre OT cochi . | Yernement elle va donner à la plus ARTE BITDRT TR LRI 3 ceiui des téléphones dans la pro-! France, — Marcel Cochin a mer anciénne dés assemblées : législa- (CANADIEN FIRANCAIS) 4 portion de 10 à 8. Les.vécentes sta- nacé le gouvernement de France fives de langue anglaise qu'il v ait : D | — . k. î listiques montrent qu'il y a 2 mil- d'une grève générale des ouvriers | y Canada, - (G, P.) cé PR Le BL nes en 8 99 4 Lt lions d'automobiles de plus qu’il'si la guerre marocaine ne cesse pas. ue | EXTS E RC 1e a à ni Reel « d cn os t DES v a de téléphones: Les automobi Ge fut J'attitude les ouvriers d'u- LA R . _ LOLALL À CSC : ) AC LE ) - - à les sont au nombre de 17.730,236) ne des principales manufactures ArUusan Prige GCralis sur denauc 3 € pes RS IC UaIT Ê alors qu'il ny a que 15,369,454 té- | de France à une réunion tenue ré- ——— us Prix Gé is sur clemanle É. | | léphones. ei cemment, ‘ s La revue mensuelle de la Socié- _ Padrescet aû s. Noîre “HUILE HUIT JOURS NICE” est: j RE si — : |té des Artisans continue d'offir à : Lente me e® er 4 Purement végétale . Invention pour arrêter les | Une annonce sur la tour Eiffel ses lecteurs une série d'articles in-[ . DR. JOSEPH BOULANGER ; 4 Conforme aux rubriques trains Paris, —.Le besoin que le gou-|, Le public désireux de connaître Edmonton Alberta | À èo Flu ani } "erneme "anCais à ù ; lle résultat du grand concours 1€ É …. Îrès Aide À perin. — m8 ingénieur alfa Een pt À arcordee, Voyage À Rom. % LONGER deg = À - Non-nflammable aurait trouvé un prorédé de sécu | une, concession permettant à un fa- renseignements précieux, Sur ee 2 | not Pris e À id 7. rité pour les chemins dé EDe qui bricant d'autos de se servir de la! districts qui” se sont disputés al sens — 0 EE "ie ER Ga. 50 Île gallon (Bi on gra tuit) empécherait Je train de € pate tour Eiffel pour une annonce élec- | palme, 15 sont qualifiés et ont obte- NT me À RIRE TES TE DE TR A En : e 29 enr , les signaux.” Getle bee ve rique. Cette réclame couvrirainu un billet gratuit pour le Voya- & LAINNEER I 2 LD: LD SLIVMAS Désmarais éù Robitaiile Ltée Sont an ispositif, ouvre une van |trois faces de la fameuse tour, Le!8e en Europe. | | . BNREGISTRES * DCR à 9 at dis] Devant ces résultats très salis- LA MAISON AVEC SERVICE POSTAL DE LA SASKATCHEWAN
nouve ] +e à a transgressiqn des sfnaux par le train, de sorte que les freins
nom de l'auto s’étendra du mier étage au troisième, . :
és Le:
pre- { LEP Quartierscéndraux des robes do l'Onent Ë
faisants, M. Rodolphe Bédard, pré- L obcs # TANVGUR DT MANUPACTURIER GENERAR,
ORNÉMENTS D'EGLISB et ARTICLES RELIGIEUX M. sident général, s’empresse de re-
: bio ee ! Lure “mé entr n action Ë : i ô i . MONTREAL OTTAWA à sir comprime TE pespace de D'un continent à l’autre mercier les Taaon Artisans qu'il Cuir, de harnais punné à lhuile noire, fameux euir brun vour 5 A & ; Tates sec 8, ’ salue comme “lâme palpitante de licoux et guides, laccts supérieurs pour courrois pour réparations À 81 et 83 pas Notre-Dame Ouest 121 rue Rideau quelques secondes. en avion la Sociëté. RG l'att ‘ u de selles el ciaunenres é à J - D ee nero ememnnann ne ane ce members ent 2 cent +0 "* , pe M. Henri Roy attire aussi l’atten- Bchautillinne envoyés graiuiloment sur Gemande AS EE 1 I TE = = Décohatulme) . .* , “s. “ . " : 0 , ] 4 4 “ ET ns Les Canadiens aux Etats-Unis! Paris, — Le lieutenant Pau) Ta-ltion des membres dela "région de|il. Wm, ©. NORMANDIN, Propriétaire, DELMAS, Sach,
L'ART magnifiguement réalisé, subjuguers et enthoueinemers la penrée plua que ne Le pourrait toute sufre choc. Ra puisuanee eat réelle et lorsqu'il s'applique à des fravaux ecclésiastiques, devient uñe grande puisanncet pour Î. Sen,
L'on peut l'obtenir dans les praduits suivants de nos etudine: AUTELS, TABLES de COMMDNION, CHAIRES en Marbra,
Segglioln, Riürtalico. . STATUES en Morbre, Or-branse, Pierre, Rigalico.
: STATIONS DE CHEMIN DE CROIX (Groupes en Relief). VERRIERES en verre antique on opalin. ABAT VOIX, ajustement breveté Paprata, FONTSA RAPTISMAUX, on Marbre et Rigalico. CRECRES DE NOEL. ; Catalogge, photographies ou déssins soumis sur demande.
_ BOMPAGNIE STATUAIRE DAPRATO Limitée est + fpstitut Pontifical d'Art Chrétien
066 Rue St-Denis Montréal, P.Q: CHICAGO — NEW YORK — PIETRASANTA, ITALIE
“TRACTEUR TILLSOIL” | Pour plus amples informations écrivez à Canadian Tillicoil F'aran Motors
ESPN APS SE nt ren CEE ee Po
E na À LS PS TD
CF
IH
ELA
il
. + AJ
mn
e PT EF , pe a institué une délégation apos-| céré ies qui i At rot : ! à BA pa ;
MARCHANDS DE BOIS EN GROS Folique nor CL Et ae cérémonies qui demeureront lonss-| stimulant patriotique teut-en nous|il viendrons’ sur ce sujet. mais naiiondué pas plis 10RC De pren"? Re 1 NE CA nommé Mgr Constantin Ajuti, mem. LR dans ‘la rméinoire de la foule! donnant, lPoccaston de. cueillir de ossuver ves érouses. Paifes Je, nou eoulcmpnt pour V8 en
| ‘ Boïs de construct bre du conseil national italien pour Un fil présente, Décial d' , : substantielles receiies pour nos proivetion, mais surtout pour célles de vas eulants. ae!
Ù : Ts “oeuvre de “oparation de Wt Un témoignage spécial d'appré-| oeuvres paroissiales, | nos £e aontune à nos vonrésgentants, Cor HS
À SPECIAI l'oeuvre de la propagation de la foi. cation et de félicitation doit être | La nan d messe du jour fut.chan- nos agents. ou or ivez À nos rss gue ES
-£ me D anvetemete net TT adressé par Îles paroissiens et Jlesitée mp: abbé Tombn, Drôtrt S vous R'atpos 'assuPeiUcé DIS EVR °
Rois de construction ascoil ROME. — On annonce que lelamis au R, P. Pilon. MI, pour son LAURE tbe om, Dre à rando, ER
frès Révérend Père .Léo Kicrhels, ton. Wilcoesan gl ons DENIS, L général pour l'Oncst, Verte ©
_ ne ere = re oran ES pme Roms gen gqe mme 2)
LE pen TT
il d'être nomrné tds l'ordre des Passionnistes. On le
plus de 40.000; États des Grands Lacs et surtout dans Plllinois, plus de 300,000 ; dans le New-York et les six'Etats de la Nouvelle Angletorre, près de 800,- 090 (recensement 4e 1920) dont pins de 400,000 dans le seut Mas- sachusetts.
De juin 1917 à juin 1919, 90,000 immigrants se sont inscrits aux États-Unis, de juin 1919 à juin 1921, 122.000: dans les neuf premiers mois de 1923, 127,000, Or, si l’on ajoute l’émigration, il faut compter 300,000 émigrants par an, soit 25, 000 par mois,
à no RCE TPE ie MVL Em
LES NOUVELLES EN QUELQUES LIGNES Sainte-Agathe, Man. — À Sainte- Agathe du Manitoba, où Sainte-Agn- the des Plaines, comme disaient les anciens, de très belles fêtes ont marqué le 25ème anniversaire de
çaise, à Montpellier, France, font manquer une conférence comimu- niste annoncée à grand renfort de
rascon, aviateur francais et “as? de! la dernière guerre, hien qu'il une jambe de bois, entreprendra au cours du mois de juillet nf en- volée aérienne de Prris à New- York, dans un avion spéciniement construit pour ce vor:sv.
.Qn sait qu'une bourse de #25. 000. a été offerte par un Américain, M. Rav:rond Ortiea, à re'ui qui le
renier, fera Ja traverse de YA antique en aéroplaune. Ce sera une envolée de plus de 8,000: milles.
a
3
Le nouveau gouvernement de la Nouvelle-Écosse
M. Rhodes, nouveau premier mi- nistre de la Nouvelle-Écosse: n’est pas inconnu à ceux qui ont fréquen- té le gouvernement. fédéral, surtout de 1908 à 1921: il v a même été président des Communes. C'est un avocat mélé à plusieurs indus- tries importantes et: qui, s'il n’est pas un homme d'une ‘éloquence re- marquable, à des qualités qui l'ont déjà signalé à l'attention du public, outre qu'il compte une expérience parlementaire de’plusieurs années, M Stanfield, élu dans Colchester,
ait tronale.
race”, . Il examine, cette fois, le fonc-|!
Montréal au sujet de la fête pa-
a eu lieu le 9 juillet courant, au bureau-chef.
Puis, le rédacteur, Albert Lé- vesque continue la série de ses ar- ticles sur la mutualité,-énergie ré- demptrice, ef sur “l’Union dans la
tionnement de la mutualité et ses
principaux caractères selon 10. le|
imode de formation, 20. le fonde- ment scientifique, 30, lorganisa- tion intérieure, 40. l'organisation extérieure.
Quelques pages sont aussi con- sacrées à rappeler la fondation de “PÆrtisan” qui date de janvier 1900. 7,
Des détails importants'sur le vo- yage en Europe sont fournis et “la vie des succursales” se continue débordante d'activités,
Les fonds accumulés au 31 mai atteignent 88,185.373.21 et effectif des membres 72,000 près.
On se procure “PArtisan” gra- tuitement en le demandant au ré- dacteur, ‘936, rue St-Denis, Mon- tréal. +
au-dessus passeront à un, grade su- périeur. . Ù Mile Georgiana Beaudoin, 8 ans,
Par un malentendu regrettable
la date êt le programme de notre|,
piqauenique du 28 juin n’ont pas
Une réunion préliminaire |'
l'iguorer, c'est dans celui de. Passurance. -
© Le mari s'assure. Péhsez donc un homme ça en vaut la p
À cause du ralentissement des affaires durant le mois de juil. let, hou accorderons des pris spéciaux sur loules comman- des de Complets ou Pardes- sus ‘ ‘ Fi
Vous épargnerez de l'argent
la fondation du couvent des RR. = 2e | SS. des SS, Noms de Jésus et del, = Pme : ‘ … ei ge " Marie. . us TT en nous confiant voire com- " ne y : ® ° . : q . Qu. — 5 G M Jon 7] Les Centres Franco-Canadiens mande ou cours CS eo moi. MeNicholas, UP. de Duluth, Mian. . du ur ‘ z or 4 est transtérà au siège d‘Indianapo- || GEUVICE SPECIAL DU “PATRIOTE DE L'OUEST Nous réparons et pressons 1 lis. C'est le septième évèque de ce l'| NE lés cornplets et les à divcèse. IL est le seul évêque do- RE RER = = — = . 1 1 « tuiosi n e Late Unis + ve: ‘ . . , , : EU # à ninicuin aux Pts Unis. STORTHOAKS, Sask. programme très pboré a jenu les PaATCCSSUSe À JOLIETTE. — Par un décret de .. | Vanrèe.midi 0, qui-vive tout à ‘ x PES : SG, Mer Guillaume Forbes, évêque {Suite de la page 7) l'après-midi, Souliaitons que ce JT A Fi LR Tr : « # il ANLe ornhes, Ccquc : , + * A Drécédent . BUT Fr. é:- ec , é de Joliette, une nouvelle paroisse be scolaire qui .promèt d’être fruc- Procurer al cours des ut qe es dE PO mit ‘ à a élé fondée dans Ste-Elizabeth,} MEUSe ae u UrSs, des annees lu il Pa _ =: AR A [a s. comprenant ke bas de Ste-Emilie ct su résultats des n AL été 1e ions . manifestations dussi |à À d EC RATER OF : CE < le rang Ste-Rose, Elle portera left à l'école Boïton on te tres] ns Be F ‘ : ot “R NMATIIE à \ . nom de Notre-Dame de Lourdes et | FELSSIS. ne Le son il: TAILLEUR POUR DAUES ET MESSIEURS ‘A COLLEGE MATILEU — GRAVELBOURG, SASK. le curé sera M, l'abbé Cuthbert Fa-[ Grade VIT — Cécile Hañdfield, PRUD'HOMME, Sask. - |! À } dirigé par les Pères Oblaits de Marie Immaculée, fard, professeur au Séminaire. Marjorie Niven, : Edith Bowes. ———. | fi EE _ _——— Grade VI Wilfrid Dubois, 67%,[ __Du 28 juin au 3 juillet nous a- ne É _... COURS CLASSIQUE et COMMERCIAL bilingues, à base fran- BUFFALO. — L'organe officiel À e a Giès 57%. ce . vons eu une retraite préchée par le|k —— | à aise, donnant une formation complète dans les deux languen, du diocèse de Buffalo, The Catho-|, Grade V, — rthur Handfield. | Rév, Père Couture: tous les exer- = ne 4 Le COURS CLASSIQUE conduit aux degrés de Bachelier-ès- lie Union and Tümes, vient de per- 6 John Bowes, 60%, Jim Bowes{cices ont été suivis par les fidé- à Arts de Université d'Ottawa, et prépare les jeunes gens à toutes dre son .directeur-gérant, A. Mc- GUte, Hilda Gies. 58%, : les avides d’entendre la parole du ES = st D lés earrières, au sacerdoce, au droit, à la médecine, ete. see Lean, qui ci mort. supifement à 4% LED Eee EE RE LS bon Père. Lépérons que tous, nous |}! & 14 , j j f sav : son bureau de travail. Un prêtre| 4, CORRE » 11%! nous rappellerons longtemps” cet-{|} FRS CR RM ES 2 el ï ‘iémétire des diplômes de cours commercial et académique. iomps de lui, donner Pabsolution. Grade UT —.Poùl Henri Beau- les enseignements qui nous ont été}! ï 7 É © Lé COURS PREPARATOIRE conduit soit au cours classique, de McLean seat, fait let envi doin 22 Robina Gies 70e Fran donnés. 30 ui L - à soit su cour eommercial les plur jeunes élèves qui iraient ble répuiation de Journaliste, jp ter, RODINQ DIS Te ER) —Le 30 juin avaient lieu deux : 4 à i à goi iellement À BAR decéz QVancés. p j s qui ne séraien nu ns coise Hrandfield 37%, Wilfrid Gies ? mariages: Mile M.-Rose Michel u- La seule compagnie d'aceurancervie qui soi essentie À (} J h Bi pl Paur pi les renseignements s'ad k BOSTON. — Soi Eminence le|° Grade TE Blezy 40%. . nissait sa destinée à M. Edouard - CANADIENNE-FRANCAISE. à dl . Sur plus amples renselk REVEREND PER au: cardinal Q Connell a confirmé 1200 PATES ue ra greongianne, Beau Lafrenière. Et Mlle Liliane Lafre- Près de cinq millions d’affaires nouvelles en 1924. | à 4 n d "erftEs $ » in ere à Al- C4 Lu LA € 6e à M. , St- ‘ne e 7 L ‘ # , p Ë. {l Collèce Mathieu EUR. nuelle en la cathédrale de la Sainte Russel Gies 62%. ‘Roland Hand- Albert, pres GR diner Servi ‘chez LES FEMMES ET LES ASSURANCES a 4 M. Gravelbourà Sank Croix, à Boston: Uue foule a field se Wilfrid prie 55%. M. Lafreniére, les heureux époux . Tout le monde sait que däns les temps anciens da fenine : ne ménse remplissait ce vaste édifice... (Trader =. Arsène CRignan 9 | sont partis pour Banff, Nos meil-|}} considérée comine une quantité négligenble, une ête de SOMME à fs Se mm me el H ——— Clémence Mana 1%. WW Gies lcurs voeux de bonheur. destinée à toutes les ouvrages. Elle ne dut son relèvement qu É RCE mm mm ge LONDRES, — Le vaisseau def 6gc Eilna GE ST arav GieST — Dimanche, 5 juillet, avait lieu l'influence bienfaisantg de PEglise Catholique, et auJonre bris: à == Le ù ER — - [guerre Simpson des Etats-Unis alt Enr es mé no Stanley notre pique-nique annuel Cette fè- core chez tous les peuples qui n’ont pas Feu les bienfaits d Ua ure à : Le e .2189 secouru neuf missionnaires catho-! çpurar 86w Blnoanée Rowes e fut un vrai succès; bon nombre tianisme, là femme est toujours considérée comnie à î À . d Ë Facteur El iilsoil Jiques de Maryknoll, Ils étaient Shuter JE. PO red He. d'étrangers y assistèrent. Les re- inférieure, ‘ : | e À ‘ ‘ ÂS °<BO ere pañ, les Chinois Margucrite Logan Cia cry 50% È 70, cettes sont au-delà de nos espéran- ._., Mais dans nos sociétés modernes. elle a depuis Jonetive dans | - : . ee SRCRTEE à ‘ Primaire francais. — Slizé Beau-l . . ;\ pris son rang, ef dépassant peut-être la mesure, ONE énatie € Par les laboure, eo battages et tous les autres travaux | paris, Les catholiques ‘patrio-| "2" 76%, Gabriclle Bouchard, + ‘toutes les sphères de la vie sociale, menaçant SEE" | de ls ferme ayez un M Ut dl | SHELL RIVER, Saut. |}| Homme da, des douines qui jusqu'ici sémbalent te EE D de & 7 qi7 . ss Lig Ê an- Les élèves ayant obtenu 50% et clusivément réservés. t | nement ; | l en est un cépendañt dans lequel on semble pratiquement |}
eine, ||
réclame, et où le révolutionnaire : à : M es pré | à wire} 4 obtenu le plus haut pourcentage | paru dans le “Patriote”; néanmoins|}} fais unie femme!—On assures les bâtisses parce que eltes je | à Ë ,
Calomer promettait de dénor‘er
vicaire général du diocèse de Jaro, aux Philippines, vient d'être nont- mé évêque du nouveau diocèse de Ponce, à Porto Rico. : S. G. Mgr Byrne est né à Phila- delphieZil n'est âgé que de 33 ans.
ROME. — Par décret de la Con- grègation de la Propagande, le Pa-
CR, natif de la Hotfande. vient Supérieur Général
dit un très capable lincuiste
CUT KNÎVE, Saoke.
L'A. C. F, © de la paroisse de Cut Knife a paÿé tribut à.son pa- tron, St-Jean-Baptiste,. le 26 juin passé, Disons que tont s'est passé dañs VPordre et à°ln satisfaction ‘des plus exigeants, : La micsse de circonstance à donné: lieu à des
sermon si bien anproprié à la cir- constance," °°. La deuxième partir de la jour. née à êté Dion de 3 pubiie: jee fut une fête champélre dont le
LE) . -
cette fête de paroisse aîtira chez
Mgr Brodeur n’avant pu se ren- dre à l'invitation de M. le curé qui, lui-muême, était indisposé nous n'a- Yons pas eu de sermon, de circons- tance, ni aucun discours patrioti- que.
Nous esp
nale reste avant tout pour nous un
missions envirornantes, ci parmi les visiteurs, nous avons FemaiTaqunt A l'abbé Lebel, missionnaire eclo- nisateur, et M, le curé doval de deb
us pérons quand même que| la célébration de notre fête natio-|
Delt
TT
me _
Hnient ce serait une perte. Qu assuir
On n’en fait plus une
esclave, on’la consul
cas graves, mais comme valeur dans fn maison, On
tout le reste.
souffrent parce € < véPilé n* ns" Été eCmpFISEe an soufirent parce que cetie véric mA pus Cr fonriemps DO
À Ts Monniniacent enéctal pour le -Manitols, injagent £j Ü pour
SIT rue Langevin
e {a récolte ©
ontre la &FC
te mème dens 105 Ja classe apres
nes, eb de, plus © ca d'une mere de celle du °C inont et Gt
GieRanits
7 a ea un | ne ns à 3 “ LEA K_ieraicec “Deux monstres: Dieu et Patrie!” et elle à l'honneur d'être Ia pre- ( a | tar Récina ou Winnipe ! trie mière de toute Ii Alasse, .: nous un grand nombre de visiteurs! {| parcè que Ia gréle ça fait du dommage, ca. occasionne des Less à î ç c 4 TT, 88» û " n rh& Re ‘ ii Haut Ge PRES et acertt ; # 5 ee pes ROME, = Mer Edwin-V. Brrne. Does qui omblérent tous très bicri sell) Quelques uns assurent même leurs animeux. Bref on assure tout, e | ne | i s gens, | excepté lt formé, bxcepté Et mère de funille. . |
De
Nous FC-
T9 LL
mn
. ms go am TEE = ts _— rs : — Les Centres Franco-Canadiens SERVICE SPECIAL DU “PATRIOTE DE L'OUEST"
li ———
TITANIC, Soi.
nos distingués visiteurs a déjà “été publiée,
7 l'bieufaisarte,
La récolle dans le sud de la pronince
«
seinblèe, prochainement, pout la
La récolte qui semblait arrêtée! bureau de Poste comme assistant, dans sa éourse depuis quelques| Nos félicitations.
jours, a repris son élan avec une) vigueur nouvelle, grâce à une pluie:
Le cultivateur se verra done en-
IL v en avait de tous les! cote le privilégié de Dieu, ea c'est
__L'orage qui a passé sur notre endroits ct ils étaient tous surpris! l'abondance qui s'annonce pour Jocalité le Ler juillet a causé dés dé 1 Scente du rain de se voir! l'automne, ù
Sert : ns homer ct interpeller AIT » | use! nsidérables dans çer-" st l par d’in- onts assez CONS ciens camarades et connaissances,
£a . . 3 et LL f lu
ins endroits; peu S'en est fal le qui s'est vu ici à
ins EL des portes de vie à en-; Ge qui s'est vu ici à Hoey, se verra qu ee Sans doute partout, mais ce qui, registrer. 1ici, nous a donné an grand avan-
À, Charles Jamont, aidé de M, J.
anvicus, se trouvait à rentrer SE Que Nous avons. BE. Mae oin dans Le erénier ponheur de posséder nos amis plus ue “a tvint un coup de tonncer-| ongteps, CE avons pu nous com- guan( ja OA à Lerre tous les deux aires réciproquement nos fm- re qui jes jeta à EC US CS QUUXe pressions.
; moins atteint, pu SC Jisjouses rivalisèr
M: met que AL, SAUVE X, les faieuses rivalisérent de bonne en- ere ds Jambes complétement dur et échangèérent leurs idées paralvsés, gisait inerte «ur le sol, le feu se communiquait à léta : Le partout à la fois; l'instant était critique, mais grâce au sang froid de à damont et de ses filles, M. Mauvieux put ètre retiré à temps, et ii ei CFA quitte, espérons-le, a- ee ane bonne peur et quelques jours de l'epos. , "Sur treize chevaux dans létable, six ont été foudroyés instantané- ment: les autres oni pu s’échap- per. : L
C'est une grosse perle pour o. | Jamont et M. Gustavè Maudin, de mans Duck Lake, le propriétaire de la GRA JELBOURG, Sack. ferme. HI n’y avait pas d’assuran- ———— ce, | Ce "M Thibeault, euré de Coderre _-Voici le résultat des examens! était en visife au presbytère la se de fin d'année, pour les élèves del maine derniére. ©
D Pi N LE Fu î Li . t ° ts l'Ecole St-Jean-Baptiste, par ordre Chez M. Philippe Soucy est dé de mérite. . , cédéc une petite fille de trois mois.
Grade VIT, — Eugénie Fiolleau,| Nos meilleures sympathies à la fa- Blanche Puinat, mille, ve
Grade V, — Elie Fiolleau, Ar-| —-Mardi à neuf heures ct demie mand Bio, Paul Bouthoux, Bcreh-| dans l’ég'ise de Sainte-Philomène Ans areand Constance pouthouxe de Crvelbouts, un service
Grade . —— Marce outhoux,1 chante Morius Fiolleau, Léon Arcand, Mère
vrade HE — ,Alphonsine Bou-|du Couvent. des Soeurs de Jésus- thoux, Jean Puinat. Qnrie de Gravelbourg, décédée à
Grade IL, — Yvonné Rio, Philo- Québec, mèue Fiolleau, Alice Bouthoux, Chire Robin. . ee
Pris d'assiduité depuis Île janvier: er, Armand Rio, 110 jours sur 110: 2e, Yvonne Rio, 109 jours sur tin. k Institutrice: Mlle Jeannine Fortin,
ne 1, 0 um ,
BONE MADONE, Sack.
Bienvenne à-l« Liaison Françai- se. — Malgré le mauvais état des! chemins. car il avait plu la veille, Bonne Madone a tenu parole et é- tait Jà à l’arrivée de nos chers compatriotes du Bas-Canada, c'est- à-dire des Provinces de lEst. Nous aurions beaucoup perdu, ct le petit effort fait a été largement récompensé, comime nous nous y
Pa note gaie n'a pas manqué et l'on pouvait dire une fois de plus: Le Canadien comme ses Pères, ni- me à chanter el à s'égaver”, En un moi il veut lutile et l'agréable, Merci à tous de cotie inoubliable journée passée à Hocy, |
Nota: Un spécial ‘merci à Mes- sicurs Georges, Revov, Zotique Bes- selle ct Eugène Thibault de Bon- ne Madone, qui avec leur Curé, 4° vaient tenu à représenter Jour pa- roisse,
ML :
Jseur au collège Mathieu de Gravel-
l'abbé Adélard Leclaire, rentplacant ME le curé Maillard,
Une retraite paroissiale, pré- chée par le Hévérend Pére Couture, lominicain, commencera le 12 juil- er, . 4
M, Louis Braconnicr, maire de la municinalité rurale de Gravel- bourg, a été nommé gérant du ma- gasin de liqueurs, qui ouvrira pro-. chaincment dans l'annexe de l'H6-| tel Ranger, a
—M, et Mme PH. Coutu et M. et Mme Ernest Cadieux sont partis en voyage pour une quinzaine à | Yellowstone Park, EN.
altendions d’ailleurs. Ca été pour! —Gravelbourg sc prépare avec nous tous un réconfort, un encou-|entrain pour la réception de la
rasement et une grande espérance pour l'avenir, . La longue et intéressante liste de
“Liaison Française” qui aura lieu le 19'-juillet,
Autorités laïques et re-| juin.
vovage à (ravers POuest, | COUTS
pour le repos de l'âme de ifi x , Le Tarn ‘magnifique 4 Saint-Alphonse, Supérieure] tro) “
—M. Pabbé Louis Lussier, nrofes-l grès.
+
WILLOW.BUNCH, Sos.
—La mort vient de frapper cru-
Tage, c'est que nous avons eu Île element M. Hormisdas Buisson, en
| Jui enlevant son épouse mée, âgée de 234$ ans, décédée au Sanalorium de Qu’Appeile, 1e 28 ‘La dépouille mortelle fut tranmsportée iei, et inhumée Île Jer iuiet, au uitieu d'un grand con- de paroissiens, qui prirent part au deuil de rée, M. Buisson désire exprimer ses remerciements à tous ceux qui ont svmpathisé avec lui dans cette dou- loureuse épreuve, _ Remerciéments tout particuliers & Mlle Grand Che; valier A, Nadeau, qui à pris Pini- tiative d'organiser les cérémonies des funtrailles et les démonstra- tions de synipathies avec l'aide des autres membres de la société, Mme E, Bonnenu, venue fêter | la Stloan-Baptiste avec nous et vi- siter ses parents et amis, est repar- tie chez son frère, M. Elisée Belle. humeur, à River Hirst. - Les for et 2 juillet ont été mar- qués par une superbe exposition a- grivole, dûc à l'initiative el au dé- vouement de M. G@ Boulfard, prési- dent des fermiers, de M, &, *)
la famitle éplo-
graduë d'Oka, et de quelques au- tres” cultivatours influents, qui ont à coeur Pavancement de la cult- re raisonnée el scientifique en no- tre région, Nos félicitations à nos
fut! excellents organisateurs: un succès
consonumé lent en-
cprise of nous espérons bien que
ce m'est Là qu'un premier pas, qui
sera suivk de beaucoup ‘d'autres,
sur Ja voice large ouverle du pro- N ,
‘ : . + Ont su captiver l'attention el
bourg, .a décidé de passer ses va-| Padmiration des visiteurs, de non cances parmi nous pour aider M.|hreux spécimens de race cenregis- vicaire, | trés, ainsi que de beaux échantil-
tons des divers grains cultivés ici. des lots de légumes d’une variété et d’une précocité remarquables : des conserves alimentaires de tou- tes sortes; des ouvrages à l’aiguil- le et au crochet, dès peintures, ete. De nombreux prix furent gagnés,
On regrelle que l'espace trop res- treint ne nous permelte de men- tionner les noms des heureux lau-
iréais et la description des objets
primés,
—Le c'ub de Crib continue-ses intéressantes séances, Dimanche dérnier, les merbres se réunis- sajient chez M, Z. Desauicls, où l'ac- cueil Île plus charmant les atten- dait. La soirée fut des plus animées et les parties très contestées, La dernière réunion a eu lieu chez M. J. S. Duperreauit. Nouvelle as-
irèse … | Eniant-Jésus |
HISTOIRE D'UNE AME ECRITE | PAR ELLE-MEME
ss
mme
1878-1897 . ‘
— 22 —
Ma Mère, je ne pourrais vous ex- pliquer aussi bien ces tristes sen- üments de la nature, si je ne les avais éprouvés moi-mêmé; et j'ai- merais à me bercer de la douce il- lusion qu'ils n’ont visité que moi, si vous ne m’aviez ordonné d’en- tendre les tentations des novices. J'ai beaucoup appris en remplis- sant la mission que vous m'avez confiée; surtout je‘me suis vue for- cée de pratiquer ce que j'ensei- gnais, - . Qui, maintenant je puis le dire, V'ai recu la grâce de n’être pas plus attachée aux biens de lesprit et du coeur qu’à ceux de la terre. S'il m'arrive de penser et de dire une chose qui plaise à mes soeurs, je trouve tout naturel qu’elles s’en emparent comme d’un bien à‘ elles: cettr pensée ‘appartient à lEsprit- Saint et non pas à moi, puisque
PEcriture, il dit à ce monarque : ‘Je vous ai élevé tout exprès pour faire éclater en vous ma puissance, afin que mon nom soit annoncé par toute la terre.” Les siècles ont succédé aux siècles depuis que le Très-Haut prononça ces paroles, et sa conduite n'a pas changé: tou- jours il s’est choisi des instruments parmi les peuples pour faire son oeuvre dans les âmes,
Si la toile peinte par un artiste pouvait penser et parler, certaine- ment elle ne se plaindrait pas d’è- tre sans cesse touchée et retouchéc par le pinceau; elle n’envierait pas non plus le sort de cet objet, sachant que ce n'est point au pin- ceau, mas à l'artiste qui le dirige qu’elle doit la beauté dont elle est revêtue, Le pinceau de son côté ne pourrait se glorifier du chef- saint Paul assure que. nous ne pou- d'oeuvre, exécuté par son moyen: vons sans cet esprit d'amour, don-| 1 il n'ignorerait pas que les ar- ner & Dieu le nom de Père, A1 est|tistes ne sont Jamais embarrassés, done bien libre de se servir de moi| qu’ils se jouent des difficultés et se vour donner une bonne pensée à servent parfois, pour leur phisie, une âme, et je ne puis croire que des instruments les plus faibles, celte pensée soit ma propriété. les: plus défectueux.
D'ailleurs, si je ne méprise pas . Ma Mère vénérée, je suis:un per les belles pensées qui unissent ‘a tit pinceiu que Jésus a choisi pour Dicu, j'ai compris, il y a long- peindre son image dans les âmes temps, qu’il faut bien se garder de}‘ue vous m'avez confiée . Un ar s'appuyer trop sur elles. Les ins-[tiste a plusicurs pinceaux, il Jui pirations des plus sublimes ne sont }®" faut au moins deux: Le premier 5 rien sans les oeuvres. I est vrail.qui est le plus utile, donne 1e que d'autres âmes peuvént en re- [teintes générales et couvre comple- üirer beaucoup de profit, si elles
tement ” la toile en fort peu de témoignent au Seigneur une hum- temps; l’autre, plus petit, sert pout ble reconnaissance de ce qu’il leur
les détails, Ma Mère, c'est vous. qui permet de partager le festin d'un
me représentez le précieux pin- de ses privilégiés: mais si. celui-ci] CCaU que la main de Jésus tient . Se complaît dans sa richesse et fait la prière du pharisicn, il devient semblable à une personne mourant de faim devant une table bien ser- vie, pendant que tous ses invités ÿ puisent une abondante nourritt- re et jettent peut-être un regarè “envie sur le possesseur de tant de trésors, ‘ . - Ah! comme il n'y a bien que le bon Dieu tout seul qui connaisse le ond des cocurst Comme les cré- afures ont de courtes pensées ! Lorsqu’elles volent une âme dou es lumières surpagsont les Îours, cles en concluent que to divin Mai. ire les aime moins. Lt depuis Quand done n'a-t-il nus le droit de
PR Ed
srand travail dans l’âme de vos en- fants: et moi, je suis le tout petit qu’il daigne emplover ensuite pour les moindres, détails, . La première fois que le divin Maître saisit fut vers le &
tt
temps de grâces.
come Un au. Carmel,
En entrant
âgée que moi de huit gré la différence des
timité. t v: ion qui semblait propre
avec amour, lorsqu'il veut faire un
son petit pinceau, ce décembre 1892; je me rappellerai toujours cette époque
je. trou- vai nn novicial une compAafne plus ans: ef, inal- années. il s'é- {nblit entre nous une véritable in- Pour favoriser celte affec- à donner
HA S er { ie tre des fruits de vertu, de petiis entrer ions smiriuols nous furent permis:
expansif et ouvert; mais, d’un au- tre côté, je m'étonnais de voir combien son affection pour vous, ma Mère, était différente de la inienne; de plus, bien des cho- ses dans sa conduite me parais- saient regrettables. Cependant le bon Dieu me faisait déjà compren- dre qu’il est des âmes que st mi- séricorde ne 5e Hasse pas d'atten- dre, auxquelles il ne donne sa lu- mière que ‘par degrés; aussi je me gardais bien. de vouloir devancer son heure,
Péfléchissant un: jour sur cette permission qui nous avait été don- née de nous entretenir ensemble, comme:il est dit dans nos saintes constitutions: “pour nous enflam- mer davantage en l'amour de nn- tre Epoux”, je pensai avec tristes- se que nos conversations -n'attei- gnaæient pas le but désiré; ct je vis clairement qu'il ne fallait plus craindre de parier, où bien. alors cesser des entretiens qui ressem- blaient à ceux des amies du mon- de. Je suppliai Notre-Scigneur de mettre. sur mes lèvres des paroles douces et convaincantes, ot plutôt de parler. lui-même pour moi. exauca Ma prière; car ceux qui journent leurs regards vers lui en seront éclairés, ct la lumière s’est levée dans les ténèbres pour ceux qui ont le coeur droit. La pre mière parole, je me. lapplique à moi-même, et la seconde à ma contr- pagne qui véritablement avait le] coeur droit. +
A l'heure marquée pour notre en- revue, ma pauvre petite soeur vit bien dès. le début que je n'étais plns Ia même, elle s’assit à mes cô- tés en rougissant: alors, la pressant sur mon cocur,-je Jui dis avec ten- dresse tout ce que je pensais d’elle.| Je lui montrai en quoi consiste le véritable amour, je lai -prouvai qu’en aimant sa Mère Prieure d’u- ne affection naturelle c'était elle- même qu'elle aimait, je lui confiai les sacrifices que j'avais été obligée de faire à ce sujet au commence-| ment de ma vie religieuse: ct bien- 1ôt ses larmes se mélérent aux miennes. Elle ‘convint trés hum-| blement de ses torts, reconnut que je disais vrai, et me promit de eom-| mencer une vie nouvelle, me de-} mandant comme une grâce de la- vertir toujours de ses fautes. À partir de ce moment. notre affec- tion devint toute spirituelle: en nous se réalisait Poracle de PEs-| prit-Saint : “Le frère qui est aidé] nor son frére est comme une mille fortifiée.” O ma Mére, vous savez bien que |
|
lnis seulement lui dire que Île vé-
satisfactions naturelles, plus sa ten- dresse devient forte et désintères- sée.
Je me souviens qu'étant moin Jante j'avais parfois de si violen- tes tentations de me satisfaire ct de trouver quelques gouttes de
unidement devant
comparablement plus profonde que
se servir de lune de ses créatures Le Usenet N: x our dispenser à 2 ses cr Fa na chère compague me chaïmait s’il s'était conceniré dans “ne affee- nourriture qui Îcnr est nécessaire? par son innocence son caractère | et de me.c einponne è © rampe
cs BE
vous le vovez, je suis trop petite
Lie distrihuerai vas trésors à l'âme
ie a’avais pas l'intention de détour-| ner de vous ma compagne, je vou-|
vitable amour 5e nourrit de sacri-i fices, et que plus l'âme se refuse de}
joie, que j'étais obligée de passer! voire cellule | eui lui sont chers one tendresse in-|
Dur 6 aù 10 à cu lieu à Willow- Bunch une retraite feriée pour les icunes filles: tune quarantaine ont assiste. Le Rév, Pére Bégin, SA, du collège d'Edmonton en était le prédicatour.
S:
JOËVILLE
LE, Sesk,
CE
Bienvenue:
L oo e
La Compagnie de bois Citizens de Winnipeg vient d'ouvrir la pre- mière cour à bois dans le sud ici à Joeville, et nous uvons le plaisir de saluer le gécaint de cette mème Compagnie, M 4-0 Rov qui est ar- rivé, jendi dernier, prendre char- ge de sa nouvelle position. M, Rov n'est pas un étranger au milieu de nous puisqu'il counait une partie des gens du sud depuis une dizai- ne d'années, @ il fait de nouvelles connaissunees tous les jours. I est bien disposé et très satisfait de sa nouvelle besogtie. Ceux qui en doutent n'ont qu'a faire affaire à la cour à bois de Joeville ct ils ver- vont par eux-mêmes qu'ils ne peu-
vent faire niieux ailleurs, quant au prix et à la mesure, Comme fe di. le. nouveau gérant: “Nos in-
sais
Mariage,
Mercredi, le 17 juin, en l'église de St-Victor, M. Wilfrid Lamonta- goe de Jocville, conduisait à l'au- {ol Mile Héléna Poirier, fille de (eu Gustave Poirier de SEVictor, La cérémonie fut présilée par M, Île curé en présence de M. Urnest La- montagne, père du marié. de M. Gustave Poirier, frère de Li ma riée et d'un'grand nombre de pa rents et d'unis, Mile Poirier ap- partenait à + la congrégation des Enfants de Marie, elle se consacra à In trés sainte Vierge et fut cou- ronnée avant Ht grand'messe par la présidente ct ses assistantes, Un magnifique - banquet présidé par M, le curé réunissait après la mes-' se'tous les parents et amis à la ré- sidence de M. O. PBupuis, Un bou- | quet de fleurs naturelles fut pré-| senté à la mariée, Plusieurs chan: sons canadiennes appropriées à In circonstance furent chaniées pen-!
dhnt le repas, où lentrain et ll
gaieté n'ontreussé de régner: M. le curé sut trouver des puroles élo- gieuses à l'adresse des familles Poi- tier et Lamontagne: il souhaila aux nouveaux mariés une longues vie de bonbeur et de prospérité, M, ct Mme Wilfrid Lamontagne partirent dans l'après-midi pour un voyage
de noces à, Régina: nos meilleurs]
voeux les aééompagnent, Nos élèves des écoles de SEWie-
tor et Maisonneuve ont pris part au ÊTES
nes epnee nt De ee one ennemies done en ee ee
4 : 2 mbempeg de nue pere
de Pescalier pour ne point retour- ner sur Mmes pis, me venait à l'esprit quantité de permissions à denander, nie prétextes pour donner raison à ma nature ct la contenter. Que je-suis heureuse maintenant de nr'être privée dès le début de ma vie religieuse! Je jonis déjà de Ia récompense promise à ceux qui coinbatlent courageuse- ment, Je ne sens plus quit soit nécessaire de me refuser les con- solations du coeur, car mon coeur est affermi en Dieu... Parce qu'il l'a aimé uniquement, il s'est agran- di peu à pou, jusqu'à donner à ceux tion égoïste et infructueuse.
Je vous aï parlé, ma Mère bien- aimée, du premier travail que dé. sus et vous avez daigné accomplir par le petit pinceau: mais il mé- tait que le prélude du tableau de maitre que vous Jui avez ensuile confié,
Aussitôt que je pénétrai dans fe sanctuaire des âmes, je jugeai du premier coup d'oeil que la tâche dépassait mes forcas:: ef, me plat- cant bien vile dans les bras du bon: Dieu, fimitai les petits bébés qui. sous lPempire de quelque fraveur, achent teur tête blonde sur lépiut- le de leur père, et je dis: “Scigneur,
pour nourrir vos enfants; si VOIS voulez leur donner par moi ce qui sonvient à chacune, remplissez mi netite main: et, sans quitter vos bras, sans méme détonrner la tête,
qui viendra me demander sa nour- riture, Lorsqu'elle la trouvera de son goût, ie saurai que ce n’est Das à moi, inais à vous qu’elle Ja doit: au contraire, si elle se plaint cl trouve amer ce que ie Jui présente, ma paix ne sera pas tronblée, je tâcherai de lui persuader que cet- te nourriture vient de vous,.et me garderai bien dans chercher une autre pour celle.” .
En comprenant ainsi aun‘il né tait impossible de rien faire paï inoi-mèême. la tâche me parut sim- plifiée. Je nr’oceupai intéricure- ment et uniquement à munir de plus en plus à Dieu, sachant que le reste me serait donné par suf croit, En effet, jamais mon espé- rance n'a été trompée: ma main s'est trouvée pleine autant de fois au’il a été nécessaire pot nonrrir l'âme de mes soeurs. Je vous l'a-
voue, ma Mère, si javais agi Eu-
irement, si ie m'étais appuvée sur mes propres forces, je vous aurais sans tarder rendu Îles, armes.
De Join, il semble aisé de faire du bien aux âmes, de Îeur faire al- mer Dien davantage, de les mode- ler d'après ses vues ef ses pensées. [De près, al faire’ du bien possible, sans le.
| le soleil pendant Îa nuit,
(}
l propre voie, j mais L Jésus leur indique, HE? ce
pas encore Île plus difficile:
n’est
| d'observer les. fautes, | gères imperfections lvrer une guerre à Eort
»
de Jonas bien exeusable
au coniraire, on Sent que est chose aussi im- secours divin, que l de ramener ;ur.noîre hémisphère : On sent l'au’il faut absolument auhlier ses coûts,: ses conceptions personnel- les et guider les âmes. non par S1 voie, par son chemin à soi, par le chemin particulier que
er Lau me coûte par-dessus tout, c'est | les nius lé- et de leur di-
LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 15 juillet 1925
RS es ne
La fête du Sacré-Cocur de: Jé- sus a été célébrée avec une grande solennité Le 21 juin à St-Victor Le Rev. Père A. Dutills, OM, et pro- fesseut du collège Mathieu est ve-
mu prêter son concours à M. le eu-'
ré pour Ia circonstance, EE donna le sermon à la grand'messo sur Îles holes caractéristiques qui distin- guent la véritable Eglise de Dion des autres religions inventées par les hommes, Le soir, il v eut té. ception des nouveaux membres dans la Garde d'Honneur du'Sacré- sacur, et procession du Très saint Sucrement en dehors de Péglise, M. l'abbé Labrovque curé d'Assiniboia portait l'ostensoir assisté du Rev, Pére Nuliflr comme diacre et de M. le curé connue sous-digere, La statue du Sacré-Cocur Gtait portée par des Cadets du Sarré-Coeur, Deux roposoirs avaient été placés sar de parcours de ln procession: lun .ehez M Alphonse Patonde, pes on fare de l'église, Sur le foontiepice de l'église, Le Rér, Père donna un éloduont sermion sur ln nrécenes de Notre-Seianetr dans bisiots oucharisties Le ehounr de chant et la fou'e entonnérent le Pater Noster, Puis li procession nénétta dans l'église at éhant du Masuifient, et se termina par la bé nétdichion du StSacrement. L'acte
f
Vous ne devez pas encourir les risques
de perdre
Assurez-vous
contre la
PR LUTTE UNDER API RIDE PTE AT SRE LUS ETAT LEA
C’est l’époque dangereuse pour la grêle.
Les réclamations sont prompiement payées
1 JOHN. S. F'OWI.IE, Lirmmited
Edifice de la Banque flinpériale, -
Pallais dire! malheureusement pour moi, —- mais non, ce serait de la lâcheté — je dis donc: heu- reusehicht pour mes socurs, de- puis que jai pris place dans les bras de Jésus, je suis comme Île veilleur observant Peunemi de la plus haute tourelle d'un château
fort, Rien n'échappe à mes regards; : souvent je suis clonnée d'y voir Si
ut trouve Le prophè- de s'e- tre enfui de devant la face du Sci- gneut pour n@ pas annoncer la ruine de Ninive. aimerais micux recevoir mille reproches que d'en adresser un seul; mais je sens qu'il est trés nécessaire que eclle beso- gne me soit une souffrance, car lorsqu'on agit par nature, ilest fm- possible que l'me en défaut com- prenne ses forts, cle pense tout simplement ceci: Ja soeur chargér de me diriger est mécontente, et son mécontentement retombe sur moi qui suis pourtant remplie des meilleures intentions,
Ma Mère, il en est de cela com- me du restes il faut que je rencon- ire en tout l'abnégabion ft ln sa- crilice; ainsi je sens qu’une jetire ne produira aucun fruit, J je ne l'écrirai pas avec une crrtai- ne répugnance et pour le seul fo. tif d’obéir, Quand je parle avec une novice, je veille à me morli- fier, j'évite de lui adresser des questions qui satisfairaient sua cu- riosité, Si je la vois commencer une chose intéressante, puis Das- ser à une atire qui nPenniie, Sans achever la première, je me garde bien de lui rappeler celle inferrup- tion." car ii me semble que Pon ne peut faire aueun bien en se recher- chant soi-même. - .
Je sais, ma Mère, que vos notits agneaux me trouvent sévère! Gils disaient ces lignes, is diraieut que cela n'a pas l'air de me coûter
chair, je
le moins du monde de cou- rir après eux, de leur montrer leur belle toison salie, ou
flocons de laine qu'ils ont acCrD- chés aux ronces du chemin, Les petits agneaux peuvent dire tout ee qu'ils voudront: dans le fond, ils sentent que ic les aime d'un très grand amour: non, il n'y à pas de danger que j'imite le mercenaire qui, voyant venir le loup, laisse le troupeau et s'enfuit. Je suis pré. te à donner ma vie pour eux et mon
«ent, Jamais, avec lu grâce
Dicu, je . mission était de les Dien et à vous, Ma ici-bas le Dicu vent aimer ef respecter. tres j'avais beaueoun appris. bord jai vu
te différence oblige à ne pas cerfaiors, ie sens qu'il fat re petite, ne point craindre n'humilier en avouant mes lutte et mes défaites: alors elles avouen eHes-mèmes facilement les qu'elles se
isont: que je
es perspectives d'une bo amais Cl8 mel
ee mr mn ratobnt +4 one mere ut nm nn ad dr mn 5 NN pd nm ne
lant que;
affection est si pure que je ne dé- sire même pas qu'ils la contais de n'ai essavé de m'attirer leurs coeurs: Pat compris qe mi conduire à Mére, aui êtes isible qr'ils doi-
Pai dit qu'en instruisant les aur- D'a- que toutes les unes ont à peu près les mèmes combats; et. d’un autre côté, qu'il v 4 entre elles une, différence extrêmes cet e5 attirer de la même maniére. Avec faut me fai- de
fautes reprochent et se FEIOUS- les comprenne par €x-
17 Page ?
_—
ilu par
me, Cette cérémonie religieuses: Le Rés, Pére Maugnan, Supé- hissa une impression profonde, rieur du Collège Mathien, ainsi que
Les enfants de Maric ont don. “bb E & à né dimanche dernier une magnil jun M. Pabbe Faucher, curé de Fer | mANt { ' SOI and était aussi en visite au pres- fique soirée qui fut géantdement ape fjitère, la scuninc dernière | préciée, Elles ont joué detrx pié-| ‘ AE. D es FENIeRE comiques intituléess “En bonne at nscal Lalonde, élève eu matcommode et le médecin malgré SONège Mathieu et Marie Lalonde, ui Les nelrices Pnrent Mes Ut couvent de Willow-Buuvh sont
D AS Brunet, Lupien, D. Lésor el V. Du de retour dans leur fumille, ' } MN M et Mie Eusène Lalonde, mare
bois. Bes acteurs furent Lauren: hand < le v AE ou 20 Benurogard, Raymond et Mis Me es sont cle soon dl Un VOYAEN Un , , ‘ Q 4 IX + ï rice Gaudry. Me Sahourin de deux mais dans PEL HS ont assisté aus fétos dt 7ôtime anniver.
ace
compagnait a piano, M, le curé Der %
pis , Pi : D aire du Collège Bourget, près Mon. trént,
remerci el féfieita les acteuts de leur intéressante soirée, Nos pite ces sont dignes ef mornles 3 elles M, Alphonse Lalonde est de re- peuvent ètre éroulées méme parc tour d'un vovage à Lasalle. Mani les enfants. M le eueè remercin t9bn aussi les assistants des paruisses environnantes d'étre venus de si lüoin pour assister à noire fête vt: de où ; FLE NES LR LU RE ne Du NCA Ces! Vacanres! La porte de HE a nous étre “quelques ol, Le évole s'est Tecmeé, Les petites abeil Leg. Père Dot teinte lue ni Les unstiieuses se sont vivoléos, riens de Veux foi et 1 rl nl pour prendre leurs joveux “hats et ion paroissiale, Vous savez faire, ves et inslitiniriess Heureux de les choses L'une manière digne de. “e renser durant ANS 2e US PA RE té hi D fl I y prendre un vepes bien mérite, et +R HRAIRER RTS DER 1 | se préparer por une hotivelle an.
at mou mn ttes cu
STORTHCARS, Sask.
sieurs soirées eotme eee ei el sans vous flatior, faissez-moi vous Suite À da paue 6)
4 RAA, EMA RL DEMANDA PAS ER APE AS PO RD ARR OS AO SLT TESTÉES) PU Fe _ nb he = et +
HITS
commen à eve mmmtiee nome
votre récolte cetle année.
FA usjonradl'irani | sans farnte
PRODAE ROIS PAM PAPE PIRE EN NOT STAR EL STRETE
Venez nous voir
20 mnt ce abat nee eeene me tea né inner rem panne 04 Lara de nue bete nano nie end A+ om
Prince Albert, asc.
périence: avec autres, pour rés | dire que je lu doune ertle fine, Si ir, cest fi fermielé qui convient, pe'est De jainais Fevenir SH OURe lehose dites s'abaisser deviendrait faiblesse,
Le Scigneur or'a fait colle grace de n'avoir nulle peur de la guvrre: atout prix, if fant que je fasse mon devoir. Plus d'une fais fai en. tendu ceeit “Si vous voulez obte- Luis quelque étose de moi, ne me
conter on réve et lui dire que Jésus bi veut pour son Qu'en pensez-vous % 4e répondis siniplement qu'elle pouvait blen en demnnder la perntission,
Counune fe enréme ne touchait pus à sn lin, vous avez été surprise, ma Mere, d'une demande si pré uiaturtes ot, visiltement inspirée
prenez pas par la force œisis pur par de bon Dieu, vous avez répondu a douceur, antrement vous a laque des eannélites doivent sauver ne HE # Abonné ee voix , : i:
iFez rien Mais je sais que Boltfés gmes plutot par Ja prière que
n'est bon juge dans sa propre cat
se, et qu'un enfant auquel le ei rurgien fait subir une doutourense opération ue manquers ps de je ter Les hauts eris et de dire que le “ronéde est pire que le mali cépen dant s'il se lrouve guéri quelques jours aprés, il est tout hoeurenx de pouvoir jouer él courir en cost de méme pour des fmest bientot celes recontifissent qu'un peu d'a ,mertume est préférable nr suere et ine craignent pas de Pavouer.
Quelquefois c'est un spectaote vraiment féerique de constater Île changement qui s'opère du jour au lendenrain,
On vient me dire: rraison hier d'être sévère; au con Lmenconent, cela ua révoliée, mais Laprès je nie suis souvenue de tout et jai vo que vous étiez trés juste, En sortant de votre celfule, je pet suis que c'était Fini, je me disiis: Je vais aller trouver potre Mére el lui dire que je n'irai plus avec na soenr Thérèse de PEénfant-Jésus, mais j'ai senti que c'était le démon qui me soufflait cela; et puis i m'a semblé que vous prihez pour mat, alors je suis restée tranquille et la lumière commence à briller: maintenant fetnivez-moi tout à fait, c’est pour cel que je viens?
Et moi, tout heureuse de suivre fe penchant de mon coeur, {1e SOTS vite def mets moins anters.,, Oui mais... je m'apercois qu'il ne faut pas trop s'avances.,. un MO poutre rait détruire Le bel édifice construit dans les Parmiest SE jai le malheur de dire la moindre chbée qui seni-
par des leffres, En apprenant celte le déeisiog, je dis om chère pe- tite socgrt ST faut nous mettre à l'ovuvre, prions beaucoup; quelle joie Si, à Be lin du earème, nous 6 Lions evauctes! 0 miséricorde in finie du Seigneur! A fa fin du card- ie. une ame de plis se consacruif ï désust C'était un véritabie mie vacle de La grâce: miracle obtenu par da ferveur d'une humble vicet
Qu'elle est donc grande fa puis-
voiue avant toulours libre accès lou ee qu'effe demande, M
“Vous aviezl point nécessaire, pour être
je serais à pluincdref , En dehors de l'office divin que
digne, de réciter chagte jour, je
les prières; cela me fait mal à la tôle, y en a tant! Et puis, ellés sont toutes plus belles Les unes que les nutrest Ne pouvant donc les réciter toutes, et ne sachant quelles choisir, je fais comme les enfants qui ne savent pas lire: Îe
il nte comprend,
4 vors Je viol,
lors j'ai recours à la prière, ie iette un regard intérieur sur ke Vierge Marie, cet Jésus triomphe toujours \ Alt c'est La prière et Le sacrifice qui font toute ma forec, ce sont mes armes invineibles; elles pet vont. bien plus que les paroles, toueber des coeurs, je de sais par expérience,
Pendant le carême, il y 4 deux ans, une novicé -vint me {rover ravonnante: “Si vous SAVIEZ, HE ditelle, ce que j'ai rêvé cette nuit. étais auprés de tit soeur qui ect si mondaine, et ie voulais Va détacher de toutes les vanités du monde; pour cela je lui expliquais ces paroles de votre cantique : Vivre d'amour:
aimer, Jésus, quelle perte . {féconde!
Tous mes parfums sont. à toi [sans retour.
Je sentais bien que mon discours pénétrait jusqu'au £ond de son ânie, et j'étais ravie de joie, Ce math, je pense que le bon Dieu vent peut-
+ #
sent divinement mon suffisent.
es un échoveau bien
done. allezvois chercher vous nous enseigner?”
ve
à suivre
je hi éertvais à Paques pour lui ra-
épouse !
no-
sance de da prière! On dirail une
auprés du roi el pouvit obtenir n'est exaiL cé, de re dans un livre une bel- le fogmule composée pour Ha cir- constance Silen fait ainsi, que
je suis houroyse, quoique bien in-
n'ai pas le courage de in’astreindre à chercher dans les livres de bai-
lés-
dis tout Simplement at bon Dieu ce que je vettx Jui dire, el toujours
Pour moi, la prière, c'est un élan du coeur, c'est un Sruple regard je cest un cri de re- e“cunaissinee ct d'amour au milieu de Péprenve comme at sein de Ja
ble atténuer des vérités de fa veille, Lioio! “Eufin c’est quelque chose je vois ma petite soeur essayer de délevé, de surnaturel, qui dilate se raccrocher aux branches... À- l'âme ot.Punit à Dieu. Quelque.
fois, lorsque mon esprit se troitve dons une si grande sécheresse qu ie pe pois en tirer ane $tle bonne pbonsée, je récile trés lentement an Paler où un Ave Marin: ces priè. res seules me ravissent, elles nouris- âme et Jui
Mais où en étais-ie de mon suiet? Me voici de notfveau pcrûue dans un dédie de réflexions... Pardon- hez-mai, ma Mère, d'être si peu pré- ciset Côte histoire, jen conviens, embrouillé, Hélas! je ne saurais nuücux faire: décris enmtme les pensées me vien- nent, je pêche au hasard dans Îe potit ruissenu de mon coeur, ot îe vous offre ensttite mrs priiis pois- sons ronrme ils se laissent prendre,
Ven étais done aux novices qui souvent ine disent: Mais vous 0- vez une réponse à tont. ie croyais cette fois vous embarrasser.7, où ce ŒuC
D
! deuf de l'association ou-ta-the-Rav,
" pagné de son aide de camp. le ma-
Page 8
&: ES = Princ e Âïbert la joje qu'il éprouvait de se ren EE — EE nn a — Re © %æ = |. DETTES A Re marin >. À jE UE contrée encore avec Mmes Duggan © A © P ® a No ei A c eine ( à Les At Ï A 06 42 ne Le Ji) PIBIIES AFFiCure : LinCO- AIDE E et Goley, avee qui, i)-avait travail À Pèler fa ge Dosésain à, Notre- Jane de LOUTUes 6 SAUIL-LAUEICNL, | i Tanif CHES 1 V OÙ , é si longtemps dans monton ct À Us ST EX JEEs © 2 : « _ 5 up 1} M. l'abbé Arès, propagandiste du | Saskatoon, puis nous epcourage à | a F à à & f . à ais & 4 ai mennñen mlAnanra AeŸ UT mrrnm a || Patriote, est revenu samedi dernier bien être fi éles à associa- Î dl jh È L ie SAS le 16 jen 18t intulye ; (e D e l} (oi C Cot il TROIE DEMANDES | de son voyage de l'Est, où il était tion, Eoutes, in vous. devez pr ES Û C ARS 6) Le S ASIL ë juiiLe Le nrntte ne : pr Jui G ns À Locction raison, chambres, | allé assister à Pordinafion de son/n'avoir qu'un but : .travailler ? E9 4% Q 2164410410 © e orntre REA 4h. À A3 sai AE macasins, ete, "| frère, Armand, qui lui aussi viendre ieu, l'Egli e Canada: rd £ Ÿ oeie ù moaipgnis à la OYOoite Ce 1041-14 OÙ ON NO 46 .{ sons peu and, qui lui aussi viendra | pour Dieu, l'Église el te Canada: [| ACCOLOCEC di LQut iceie cui COMMUNE & 8 LOL ë DE JU la GB UT je LE rendre Perdu, roux À an £ ï A . sé Ne AN Ê hi o _ @ + _ = À a ES _ À ER & LA De À Eù F2 EN A A E É à 95 KR + : 1h SO Je prapatandiate veenmenentt Dans ane délente at'eutjion pour À autr (e jour dans ia Sa SON. Les. prêires SORL ER LS “1 11e Ü É | Ün Er du mot addiiose y | dès dimanche, son, rude gravail, ct les quelques dames Canadiennes- ï 2 a ‘ k 9 da ’ 4 { a À Ke en 5 b É La ner annonce, S inser.l se rendait dans ce but à ertville, | françaises qui étaient présentes, Île k; A £ D Ù “TA | À CUT vu F v2.00. | —Notis avons eu le plaisir de sa- | Père Jan a bien voulu adresser Ja À à 2 ê 0) AEALRE ts Ka, Cie Le Ce 1! Ë NAISSANCES, DECES. Ms. | . ler aux bureaux du Patriote le parole en français. Ce qui a été f =: ‘t |) 20 où PMERCIEMENTS NM: nouveau collaborateur que là con- ort apprécié. L Re = { 5 5 Dar insertion. À | -révation des Oblats vient de con-| Mme 1 alHocu- em ne RE = = = == ——— sacrer à la rédaction de hoire va. Pres es Cles nous Hanna Es : TT : T7 à ‘ + qe SRPETIEI ten A : Easter + ant journal, le R. P. A. Toupin, O.! en résumé le résultat de la conven- ; ’ | dreau avait été, député provincial MINNEAPOLIS.-—-L/Etat du Min-|48-7-8; rejetée, \d4 7-8; voie, 86 7-8, ee | F1. 1, depuis quatre ans vicaire à | tion qui vient d'être tente à Ha: Une rumeur de 1912 à 1916. nesota a eu à souffrir de grosses] Orge, — No, 3 C.W. 92; No. 41! ASSURANCE nn la grande paroisse de Notre Dame miltont, Out. et qui remporta un! qe [LG rumeurs cir- os ——— tempètes de vent, de pluie et de C.W., 90; rejetée, 85 1-4; fourrage, ASSURANCE VIE TZ de full. Bienvenue et succñe! grand ‘succès, ensuite nous fit le ANinnipeg, — ei FUNERrS Québec. — Les Ehoulements, |'arêle: 4 Fe el de e10û quo, de He RO NW. 2.28: No. ? les incendies rs care CG * + , * aus ——. « . aus ds , , 5, Accidents ga
æ EN
’ .
CERTES ST DIRES
LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 15 juillet 1925
eutent que Îe cartel fera un troisiè- Kamouraska et plusi-
“Murray Bay,
| dl { ;
ruinées,
ranties
» 7
—-Nous avons recu nos “pèlerins | romnte rendu du travail de la ligue : ‘ nationaux” de la “Liaison Françai-| des femmes catholiques dans sa pro. me paiement ur de DE AE 40 Lei eurs sit es villages on été SUCOUES dommages à la propriété. GW. 224; No. SW … 2.08; reje-! et vente de terres, lots, etc Eu. se” de notre mieux, car nous les| vince À Joley s donna le FOUVEAN De codu vpar un tremblements de Itrre, , ds 21705 ir ‘éène Guctin, $ Ha où
X, € us les] vince. Mme Coley nous donna le {cents La valeur du produit at- | Québec. — Le gouvernement de] Seigle. — No. 2 C.W., 1.011-2; 3 gène Gucrtin, St-Paul, Alta, 35
avons reeus avec le coeur, Leur passage a été rapide, ne leur per: mettant guère de prendre contact avec leurs compatriotes de l'Ouest: mais d'autres rapprochements sui-
vront. - appronriés et on a procédé à Fé- t D ir L | \ DL . | , Au nombre des distingués visi-| Iection des officières pour Panne OR ses petils compagnons Jorsau iles études compense it re Prince-Albert soirs d'Omand No. 93, un teurs nous jus l'honneur de! courante . . L'Écpagac au secours de la quite pou EU et dus ans lat de Uitulaires qui ont atcompli Pores ras 811.80 | ins \uteur où institutrice pouvant rencontrer ? + l'aphè C: Gao di-] Au nombre de ces dernigres nous : France ail ÂGÉ q ï ie années d'études 8 + SE enseigner les deux langues avec teur : ML SémInAITe Ge Queé- |» ÿ s les noms de Mme Rra- . TT | ET Ni ES Ce : as . succès . à hoc: ainsi que l'honorable A. remarquons le ne de Ame! | a CALGARY, — Mie Janet Bur- Marché aux arains de Prince. Marché aux animaux de Win. “ Er bonne expérience; avons Sauvé, MP.P., chef de Vopposition| Laporte élue vice-présidente, Au Paris. — Le gouvernement esna- gard, àgée de seize aus, s'est noyés ££ | ki es sidence meublée, L'école doil à la Législature de Québer et M, JL. Cours des nominations, la honne gnol ct le gouvernement francais'en se baignant dan: tn étang ÂAlbert . pes ‘commencer Île 10 août Swlre tee ° an ho | l'ouest de Calgarr. Elle était La Tendance à la baisse; porcs gras! çer à H, Soulier. Kinistino ” | . ‘ , SANO, sask,
Quellette, M.P.P., du Comté de Dor-
programme, à suivre lors de noire prochiine convention, à Printer Al. bert même et dont Ja date sera an noncée plus tard. M, l'abbé Bail largeon, a aussi dit quelques mots
teindrait donc $145 où $1.50 GLAMIS, Sas 4 n- 4 Dr pence | LANMIS, Sask, —— [Le jeune ef DÉRUCRE de nu Mopérative des j ant de M. James Qurriee de dns
d ! ‘ 4 ‘ es -ê s nn . Producteurs de blé du Manitoba, : S£St NOTE dans un
U. ; d’eau, MO DAe & ; auc ar: ! : . : ; n'a pas voulu faire aucune déclare | f S'amusnit avec cing où six de
se sont entendus, afin ûe courdon- |
(la province de Québec, ministére
C.W., 96 1-2; rejeté, 2 C.W,, 95 1-2; rejeté, 94 1-2; voie, 1.02 1-2.
“ie. ET | EL ve
Marché aux animaux de :
du Secrétariat provincial, met à la disposition d'étudiants Ganadiens- français, à désigner par les auto- vités compétentes, 15 hourses pour
812.; Agneaux de choix, $12; mou-
mat QT 2 QE
.
Sr eee mntemmaune
"INSTITUTEURS DEMANDES
a,
ON DEMANDE pour Je Pistrict
âce et l'évidente 1 volonté, ur u | : ire SUR cs ns chester, ge ea Enfants ‘4e Ma uer leurs forces militaires rontre! fille de M, et Mme l'hilippe Bur-| x, 1, 8143; No, 2, 81.38: No. 5, Agneat Mais nous avons salné d'un hom-| sje ont nccenté les charges qu'on les marocains, Le sénéral jun gard, - 181,33: No. 4, $1.23. | tons, 54, à 56. me ie 14-19 p inage tout speéctal. nos con rères et leur roposait, on! élé remar uès disposera à AVC € Q , , i re as N ‘ —_—— LE L TT NS eu EEE eur proposa q hommes contre Abd-el-Krim. i WINNIPPG, Man. --La famille | Le marché de la fermière L'ARRONDISSEMNT scolaire du
amis de plume M. l'abbé Tessier, veprésentant du “Bien Public”, Jean Landrieu du “Figaro” de Paris, M. Jules Dorion de “L'Ac‘ion Ca-
ir {Dnval de St-Mean-Boptiste, Man, a leu trois de ses membres dangereu- sonent blessés dans une colision Lautemobiles, M et Mme Henri
Le livre de Mer Grouard ÎLES NOUVELE. 8 EM
Marché aux grains do
Winnipeg "Blé. — No. 1 nord, 1.65; No. 2
Beurre, 20c, à 25c; : Oeufs frais, 25c; ‘
Village de Dollard demande une institutrice. bilingue düment qua- lifiée pour la Saskatchewan pour prendre charge de la classe des
De) nl ul à LS potque de Québec, MF, Rilodean Le livre de Mgr Grouard: Souve-| QUELQUES LIGNES D let le icune bébé de M Wil jeûhes, Sals 81100,0 en La “Pregsr"'s M °C Gautier, ré-l airs de mes soixante ana d'aporto-. —— uval elle jeune DCbDE UE de ” LATE . 56 7-8; . unes, Sabre 6100.00 par an- LARGE Re » ° …— L'épouse de feutfrid Duvni sont tes viriines, .61 7-È; No. 3, 1.56 7-8; No. 4, née, S'adresser à M. Win. Past
dacteur du “Droit”. A tous nous disons un franc: Au revoir. MM, JA. Bonnrau, N. Cvr. Elni Duret et Eugéne Duret, venus de Debden pour saluer les excursion
lat. vien d'obtenie de l'Académie CARON, Susk. femwsise de prix HKabien, 1000 Ajex. Ronudreau, francs, :vient de mourir, ‘le Minnesota, vint s'établir = se Jaw on 1902, en 1905, son me)
Î
de Caron, Sask. Elle naguil dans: a Moo-! Le feu fices du quartier menble de la compagnie Metc
PORTAGE LA PRAIRIE, Man— LE a détruit deus grands édi- inhitriel: Pim-
Le Congrès de YA. C. JL C.
ouvrit un magasin à Garon,
| li
i alte’s 1
Durum, — No, 1, 1.47 7-8; No. 2, 1.43 7-8: No. 3, 1,36 7-8. Avoine, — No. 2 CW. 62 3-8;
En ester]
‘er
No. 3 C.W,, 55 3-8; extra 1 fourra-
Sec.,, Dollard, Sask, 18-19 €
TON DEMANDE une institutrice où
instituteur bilingue pour l'arron. dissement scolaire de Harrivale
nistes de a Lisison Française, ont t d ès le laisse deux fils: Acthur et} Milling, évalué à #146.000, et celui É ES No. 402%, O
enu à visiter e5 bureaux du Pa rem or e un ren succes ‘ à e fouisse eux Alss Ar . J l ARS AL LL k s où 55 3- $ À cf -0; . 2 TT er ot 0. 2 * uverture S Cl $
tricie. 1 P " La rares Boaudreau. Feu Alex, Boau-lde la Western Prairie Foundry, 18e, 55 3-83 À 9. 4, HA 85 No ” TAXI f TAXI {. | le 17 août, : Satresser à Na
Son Honneur Ie Lientenant-| Montréal.—En la paroisse de St sn PTE TAG RS RE s "sé $ Gcofroy, Rathlow, Sask. 17-22.
Gouvernenr de na Saskatchewan,| Pierre de Montréal, se sont frnues, 2820 20 D EE QE ER ———+ nes TT I Re UT 2 Le ON DEMANDE pour l'arrondisse.
honorable W. Newlands, nccom- jor Allard. seit rendu à Rateche, vendredi dernier, rehaussant de sa présenre ki cérémonie du dévoile- ment dn monument des Braves de
Ja Répelion. A son retour iei ülférents cercles de eette associant = , e a été l'hôte de Ia Société Historique! tion venus de toutes Les régions, FUI . Veuille: > Loisoi . LR: LE Us, 5, < uilez donner rehscignements e de Prince Alhert à l'hôtel Avenue. | Les anmôviers assistérent en grand ASASEN - . . spécifier salaire depot Eat ; Te sénéral Patterson, prèci.] nombre à ce Congrès qui reçut le ‘ c ‘ - Donnez la préférence à un dresser à Monsieur LP. Côté û -P, Côté,
au Canada, sers à Prince-Albert mercredi je 22 juillet prochain, 11 adressern Ja parole au théâtre Qr- nheum. à 8 heures nain, On le dit très renceigné et dishosé à rénon- dre à toutes auestions posés rola- Hveomert ou chemin de fer de ln Baie d'Hudson, et du future termi- pus,
—À Y'occr-ion de dours nocrs dar gent, M. A. Knox, W Bet Mme Knox. ont êté fèlés et féliciiés nar leurs
SERRES - eq Q, me
les assises solennelles annuelles de l'Association Gatholique de Lt Jou- nesse Catholique Canadicune-Fran- caise. Ces réunions ont été cott- vonnées du plus entier succès, Nom- breux étaient les délégués des dif-
plus grand encouragement par la présence de deux arehevègues, NN. SS, Béfiveau, archevéqne de Sainte Boniface et Gauthier, administra- teur apostolique de Montréal. Les Pères Oblats avaient généreuse ment offert l'hospitalité aux mem- bres de VA. ©. à. © pour ce enn- grés qui Ctudia PAssociation ele iMéme dans se rapports avec Ja vie naliouale, La vie catholique @t la vie sociale.
La première séance fut consacrée
0] cs
Alidiume Fue Quest
- . Prince-Afbenmt
Service de jour of de nuit
Securité absolue
Le Grand: |
compatriote.
Tél 2096
J. BEAUCHAMP
Boîte 515
Service rapide et courtois |
went scolaire du Village de Mont. martre, On instituteur où institu- trice pour la position de Prinei- pal. L'école combte tros elas. ses, Le. certificat ne doit pas être inférieur. à un 9bme casse,
Scc-Trés, Montmartre, Susk, 17. L'ARRONDISSEMENT scolaire Pot. rier (Village de Ponteix} deman- de pour le Ler septembre, une ins- titutrice bilingue dûment quati- Fée pour la Saskatchewan, Priè. re de faire connaître vos qualifi- cations, votre âge ek le notubre d'années d'enseignement, Salaire SELO0.00 par aunée. S'adresser à Al Jos. Eugène dodoin, secrétaire, Pomeix, Sask, 5 €
nombhraus amie, enmedi dernier àl aux affaires de routine. Le prési-: . us leur résidence à Colleston. dent général, M Joseph Blain, fit: M Les Commissions | TT M. Alex Lefort, suvin'endantlune revue de la vie de Association cs Commissions scolaires ge dé-
sire Ps uteurs bilingues
du district Nord-Ouest do Ta Ban- ane Canadionne Nationale, est de passagr à Prinen Alhert,
Le terroin de l'hôtél de Ville, à été vendredi soir Tr rendez-vous] yon gennd nombre de ritovens, nn rréciant ur de res beaux ennecrts, gue nous. donne notre fanfare du- vant In belle snisan, | À
Mme FE Morrier a nris masra| fé, sur Je train d’excursion de La Linison Francais. en qualité de ve présentonte dun Patriote, faisant 16
vavage en si bonne compagnie, ius-| paroisses de son diocèse des cer- | qu'à Vancouver. ilcles de l'AC.J.C. 57 Victoria SL. sonable à un acheteur sérieux ;
i i Î LS d H mn iv # —Plusiours grounes d'exrursian- Mgr de St-Boniface, qui assista , Acta Arthur FE. rhébautt, Poniex, | . Winnipeg Sask. - *(-19
mistes étaient à notre comn lorat fe touristes 19 comaine doernièrs, va- nant de Washington, D.G. de Cali-
au cours de l'année qui vient de y s'écouler,
À an séance solennelle d’ouvet- ture du Congrès, $. G. Mgr Gauthier apporta une parole d'approbation complète pour l'oeuvre de PA.C. JC. qui est, dit-il, la plus belle oeuvre post-scolaire que nous n- vions. 11 pramit de faire de cette oeuvre le suicl d'une prochaine let. ire pastorale et il insisiera aupres;
3 " & + War i à . : A des membs Es Anne lerre D se Couliczuous une commande d'essai.
Mercerics ct Articles de fantaisie. Du
\
à toutes les séances du Congrès. an-} porta aux membres de l'A C. TJ. C Je salut fraternel de l'Ouest et il, loua sans réserve le beau travail!
Assemblass couplet d'étoffes et de liscus vériés. Vêtements pour Hommes et Garçous. Botlines et Souliers. Suus-rêtements pour dames et demvisellss. ° +
NOTRE RAYON D'EPICERIES déborde de provisions de première. qualité.
>
& Myers Limited.
| Voluilles®, |
; Poulets, 25e. la Ib;
49 3-8; No. 6, 1.09 1-4; voie, 1.57 |.. Poules, 12c. la lb.; -{ Patates nouvelles, 4c.
Représentants de
particulièrement les instituteurs de cette catégorie qui sont sans emploi sont priés de commun auer avec le Chef du Secré'ariat de PA, CF, Cu as du “Patriote de ‘POuest”, Priuce.Albert, Sask.
À VENDRE 960 acres cloturés dont 900. en culture avec S80HDUD de bâtisses, Ces tertes touchent. à Pouteix, Vendra à un prix rar
ARR ANÉT TEL PET ET RUN CERN CR ON DION OP PSC RTE JTE SE ST NC PTE SN AE PSS NO NET ER NC NS RE RE NEE 2
HT 7e DR LA 2 Go er PR Cr a mr A 5
ë rue actant Je français ter prix: auto d'un amitiioninai- UNE RO ones nnent re, $141,500.00 ï vaisoutible k chez
Sornie nf de Péginr. Qualques-tns À es . x s , ri . se rendant à Rod Deed Lake, nonr| accompli par cette association CN Une collection complète A des PTE mudéiéygde tout ce que peuvent porter les : L cher, dans un: bon centre de la nue bonne partie de pêche. et Ja] notre pays-pour Le plus grand bien . … 6 | Saskatchewan Commerce étr- t e partie de nêche.… cet ] | À : James 8 | k brise des hois. "| de l'Eglise et de la patric. Se | | bli Abandon pour cause de ma. n A . ‘ n ù s: Ï 0 ace “ atri à ‘ Nous avions le plaisir de sa-] La 2ème journée commença par Donne PE, DER un iiteron ep : e Los A — un adie, S’adresser au Patrite, { tuer aux hureanx du Patriote en. | Une messe de communion Avec ser- A Poccasion de Puposition vous: visitersz prochainement Prince:Albert. Faites Manitoba Saskatchewan] Boite 14 .. IP | medi pnrès-midi, Monsieur ?t Ma-[ron par le Père L. qôté, Ont de nolie magnsin vos quartiers genéraux, 7éus: nous fexez plaisir et vous êtes EN | — ES ! dame “J.-1. Fournier, Jeur f'le An-} Les assises sO"ennenes qe 2h r ES le Li b | HOMMES DEMANDES ; énnin et eur neven M. Philimme|d.C. se sont ferminées par te 62 ascurés d'une curdiale bienvenue. ‘ re mm Rouffard de Fournierville, Saek, | ARC solennene. En pièce de ne | EE! CN DEMANDE, homme pour mag | Fe ACER RES fnt I» nrenriè ee urchesne Shrotes ep: » © o 1 sin général, centre canadien, si {{ re & s'établir dans la région qui[M. le Chanoine ROUE TEEN jt Off . erAÉ2C I: Î dl P € il d als rovince, expérience néces À porte aujourd'hui son nom. Ts fant|seur À l'Université Laval TN dit LiTES SPeCiA es LIVE a SeMalne € SES El de la PE nable D Serre D , , ue PA, CG. TI C a la confiance de| | jé 1 #) saire et capable. Position perm? î rrésentement Rob: DDR qe ESRNE tous les Canadiens-francais qui FPE SE . EE | nente, S’adresser au Patriote, ä vince en automobile. Partie de Four- ‘ es MAT ne , PE. ED 4” È ‘ 1 14 LS ite 2 Ut 419 P mierville jeudi matin, Je 9 courant. pensent bien Payer, qu'elle est ae XNOSE iQ : AE qd Boite 24 : 119 3 is sont venus coucher à Saskatran | école alu re UE ont otisme INSTETUTION religieuse désire à anrés une course d'ou felà de 49% raie et unc écoles Ce pé A NSTI UTION, relie euse see milles. Le lenlemain sen ren-| Sain. L : VISET : GRAND MAGASEN VONS onnier, S'adres Payne | « daient à Duck Lake pour enlurr lex] Les conclusions du Congrès fir- > 2, LE FA D LL Ë AS À FRA N donnier. S'adrenser aù Patrin'e | exeurstannistes de In Linicon Fran-| rent tirées par laumônier gènèral - - — us - de l'Ouest, £ ote No & Los Ÿ oise avant de continner leur ran-| de l'Association, le R, Père Gol- | . — î — nn — donnée à travers l°s prinepaux cen-| clough, S. T. a mn mo mi I On demande un forgeron en- À ON DEMANDE ler po AH à tres. franro-cavadiens, Ils sont en- = Dub . En Lens STE s naissant quincaillerie et D À rhantés des honutés naturelles de La France et la Chine mm Ent RACE français catholique à £ nes agricoles: absohment es j rette partie de Ja province es de Ta — HN AISNE CPP TRE PE STE BORNE ARTS ENTENERNNEE ASE E TEST EEN SANTA St-Victor, Bask. - St-Victor pes- il quil PR tion tout de luxuriante anpnarenre des champs. Paris. — La Chambre francaise } PCR RESAN CEE PEN PETER SE TEE 1 sde nt ot i soumetire 4 cation COUR Ce gronne d'amis est narti hirr coir |, patifié de son vote les deux trai- | : : sède église catholique, 2 ma- suite avec Îre, CÉTEnqee se nonr Albertrilla qu'ils tenaient f,4és élaborés à la conférence de Wa-| ; a nm 2 4° ARE . gasins, un bureau de poste, un | renres el saut nn Gadresser h pici ; Sriger v : : e - ë ; x vent arrir el loger, à : visiter avant de se diriger vers 6} shington. n À ; y Ë restaurant, un hôtel avec sal- À L Fo De . St-Bricux, 17-180 : sud, Ron vovage et arils An. , ss deux traités assure Ja 6 = ELA HE 5 a Louis DEmMAaY, : : NRA : L'un des deux traites ure AIR , = : ee ; couvagent leurs amis à venir nus! aivogarde des droits ct des inté- | F4 né) le de billard, | ne ne ET | ‘ h e nie : fr De < A ù